Définissez des limites claires pour votre chiot, et stoppez le jeu en criant « aïe », dès que votre chiot mord trop fort ou qu'il s'en prend à vos vêtements. Ignorez votre chiot qui mordille pendant quelques instants, pour qu'il comprenne les conséquences de son mauvais comportement.
Emettez un cri aigu et fort, même si le chiot ne vous a pas vraiment fait mal, et détournez vous du chiot. C'est beaucoup plus efficace que de le réprimander ou de jouer de manière plus rude. Ignorez ensuite votre chiot pour lui montrer que le jeu a cessé dès qu'il a commencé à mordiller.
Mordiller est aussi une façon de jouer pour le jeune toutou. Il comprend vite qu'il peut attraper des objets avec sa mâchoire et en décortiquer certains avec ses dents. Mordiller les mains de ses maitres est aussi un moyen d'attirer leur attention. Toutefois, cela ne doit pas devenir une habitude.
Au même titre qu'il peut mordre d'autres chiens. Lui ne considère pas cela comme de la méchanceté. Il sera alors important de ne pas le punir en contrepartie. Vous devez pousser un petit cri afin de lui faire comprendre qu'il dépasse les limites.
L'action par l'inaction. Si vous constatez que votre chien agit mal afin d'avoir votre attention, le meilleur moyen de le punir sera de ne pas lui en donner. Si vous êtes constamment sur le dos de votre chien lorsqu'il fait une bêtise, vous pourriez l'inciter à en faire.
Pour sa punition, vous pouvez le mettre dans votre garage (s'il n'y a aucun objet rangé), dans les toilettes… Une pièce pauvre en stimulations lui permettra de comprendre qu'il a eu un mauvais comportement. Pour des bêtises qui sont peu graves, vous pouvez juste ignorer votre chien.
dire un “non” incisif à votre chien. Dès que votre chien détourne le regard, félicitez-le d'un ton joyeux avec un “ouiii !” et donnez-lui la friandise. Le but est que votre chien comprenne que renoncer c'est gagner. Cet exercice est à répéter, et surtout à compliquer petit à petit.
Avec leur communication corporelle, ils nous font aussi comprendre qu'ils ont pas envie d'être câlinés. Ainsi, si à l'un de ces moments nous essayons de toucher notre chien, notre caresse peut être mal interprétée et il peut nous mordre.
Lorsque votre chien vient vous saluer, tout excité, saute comme un cabri, court dans toute la pièce, se couche sur le dos dans l'attente d'une caresse sur le ventre, ou remue sa queue avec enthousiasme, vous pouvez affirmer sans vous tromper qu'il est content ! Ces signes évidents reflètent le bonheur de votre chien.
Ignorer son attitude
Dites-lui un « non » ferme ou encore « arrête ! », « pas sauter », « stop ! », etc. Le terme doit être court et précis ; choisissez-le une bonne fois pour toutes et n'en changez plus afin que votre chien ne soit pas perdu. Prononcez cet ordre de manière claire avec un geste de l'index.
Ignorez votre chiot qui mordille pendant quelques instants, pour qu'il comprenne les conséquences de son mauvais comportement. En général, une quinzaine de secondes suffisent. Si votre chiot mord à nouveau, à ce moment-là, quittez la pièce pendant une minute environ.
Votre chien vous suit car il est anxieux lorsqu'il se retrouve seul. Il y a certains chiens qui suivent leur maître de partout pour une autre raison : ils font preuve d'hyperattachement à leur maître et ont du mal à rester apaisés lorsqu'ils sont seuls.
Différentes raisons peuvent expliquer qu'un chien grogne régulièrement sur son maître : Le maître est trop agressif vis-à-vis de son chien. Le chien reçoit des punitions qu'il ne comprend pas. Le chien a peur et ne sait pas comment s'exprimer autrement.
En effet, un chiot qui mordille les mains est quasiment certain d'obtenir une réponse (qu'elle soit positive ou négative). En effet, généralement l'humain va lui dire “non” ou encore le repousser. Le chiot attire votre attention. Il en va de même si le chiot mordille une paire de chaussures ou un pied de table.
Il est vrai que le grognement est un moyen de communiquer pour votre chien. Habituellement, on essaie de respecter ce signal, puisque l'étape logique suivante est la morsure. Vous pouvez cependant aider votre chien à mieux apprécier vos caresses en évitant les zones où il n'aime pas se faire toucher.
Choisissez les zones appréciées par l'animal : l'avant du cou, le dessus de la tête, la nuque, le dos les flancs... Chaque chien a des zones plus ou moins sensibles, tout comme le maître aime caresser certains endroits et pas d'autres." Plus que les mots prononcés, c'est surtout l'intonation qui est importante.
Avec les autres chiens, un individu dominant pourra se montrer agressif, provocateur ou bagarreur, et exprimera sa dominance par des attitudes caractéristiques : posture du corps droite et rigide, oreilles et queue dressées, regard insistant, défiance, bousculades, morsures...
Selon une étude publiée sur le site de prépublication scientifique bioRxiv, adopter une technique d'éducation « répressive », c'est-à-dire consistant à crier sur son animal ou à tirer sur sa laisse, le stresse et le rend dépressif.
Pour débuter l'entraînement du rappel, le plus simple est de choisir un mot. Ce mot va vouloir dire à votre chien « Viens ici, près de moi ». Un mot est préférable à un geste, car votre chien ne vous aura pas tout le temps à vue. Utilisez toujours le même mot pour ne pas confondre votre chien : viens, ici, devant…
Le top 20 des noms de chiens les plus populaires en France est : Nala. Maya. Lucky.
Les règles d'or d'une punition juste et intelligente
La première règle à respecter repose sur un principe simple et indiscutable : le chien doit être puni dans le moment présent, c'est-à-dire si et seulement si vous le prenez en flagrant délit !
Le fait de capter l'attention de votre chien vous permet d'avoir un chien attentif aux ordres et à l'écoute. Pour cela, vous pouvez utiliser un ordre (un petit mot court, par exemple « Look ») : à chaque fois que votre chien vous regarde et capte son attention sur vous, dites lui « Oui !