Parlez avec vos mots de l'emplacement de votre maladie ainsi que des conséquences sur votre corps et votre vie en général pour les prochaines semaines ou les prochains mois. Vous aidez ainsi votre proche à comprendre progressivement de quoi il s'agit sans avoir à utiliser le mot "cancer" par exemple.
Proposez à vos proches et amis de faire quelques recherches pour mieux se renseigner, de vous accompagner lors d'une consultation ou de se rendre à une conférence médicale. Car il est important que vous disposiez d'une oreille attentive et compréhensive, à qui parler dès que vous en ressentez le besoin.
Pour aider votre tout-petit à comprendre la permanence de la mort, dites-lui simplement que quand une personne meurt, c'est pour toujours et qu'elle ne revient pas. Pour le rassurer, mentionnez-lui qu'il est possible de penser aux bons moments passés avec la personne décédée et que cela fait du bien.
➢ Rappelez-lui que la maladie n'est pas contagieuse si tel est le cas. ➢ Expliquez-lui que la maladie n'est pas une punition et qu'il n'en est en rien responsable. ➢ Aidez l'enfant à comprendre les réactions du proche malade (pourquoi il est fatigué, pourquoi il ne peut pas communiquer, pourquoi il est énervé, etc.)
Toutes nos pensées vous accompagnent dans ce moment difficile, bon rétablissement, bien amicalement. Dans cette épreuve, vous pouvez compter sur notre soutien. Meilleurs vœux de rétablissement. Courage dans cette épreuve, nous vous adressons nos meilleures pensées de bon rétablissement.
Pour être aidant, il suffit d'écouter et d'offrir notre disponibilité. Dire "je suis là", "tu es important pour moi et tu peux m'appeler quand tu veux", "s'il y a quelque chose que je peux faire pour rendre ça moins lourd pour toi, je le ferai volontiers".
Parler de la mort aux enfants est utile pour leur construction psychique et leur développement et pour les deuils qu'inévitablement ils auront à faire dans leur vie. Il ne faut pas attendre un drame éventuel (mort d'un des parents, d'un petit copain…).
La mort est l'état irréversible d'un organisme biologique ayant cessé de vivre. Cet état se caractérise par une rupture définitive dans la cohérence des processus vitaux (nutrition, respiration…) de l'organisme considéré.
Il suffit de dire le principal sans rentrer dans les détails, par exemple : « Il y a eu un accident important dans sa maison ». Il faut poser des mots simples, sans dramatiser. Il est très important de montrer à votre enfant qu'il est en sécurité chez lui et qu'il ne doit pas s'inquiéter.
Par courrier, avis de décès, cartes de décès, faire-part et réseaux sociaux. L'avis de décès dans la presse locale, régionale ou nationale est un moyen habituel pour faire connaitre le décès d'un proche. Cela permet notamment de communiquer sur l'heure et le lieu de la cérémonie.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
Les généralistes développent souvent une immunité aux virus au fil de leur carrière. En période d'épidémie, ils redoublent toutefois de vigilance. Plus que la grippe, c'est surtout le risque de surmenage qui leur pend au nez.
La « fin de vie » désigne les derniers moments de vie d'une personne arrivant en phase avancée ou terminale d'une affection/ maladie grave et incurable.
"la mort" désigne la mort en général. "la morte" désignerait une femme ou fille morte. Ça peut aussi être un surnom pour se moquer de quelqu'un qui ne parle jamais.
Dans le folklore occidental moderne, la Mort est généralement représentée comme un squelette portant une robe, une toge noire avec capuche, et éventuellement avec une grande faux. La Mort est alors connue sous le nom de « la Grande Faucheuse » ou tout simplement « la Faucheuse ».
L'expression fait référence à des liens très forts entre deux personnes, qu'elles soient amies ou en couple. Elles se font le serment que le lien qui les unit durera toute la vie, et même au-delà, dans la mort.
On pense parfois bien faire en leur cachant le décès d'un proche, mais ils ne manqueront pas de le sentir, à notre contact. Il est donc essentiel de leur dire la vérité. Tous les spécialistes de l'enfance s'accordent sur la question. Il n'y a pas d'âge minimum pour annoncer à un enfant la mort d'un proche.
Méditer et apprivoiser nos peurs
En somme, il faut méditer et garder constamment à l'esprit tout ce qui nous fait peur – la mort, mais aussi la maladie, le deuil ou la déchéance – pour l'apprivoiser et ne plus en être effrayé.
Le sujet de la mort ne devrait pas être un tabou. A l'origine ce mot désigne les sujets que la religion interdisait d'aborder car elle les considérait comme sacrés ou impurs puis par extension le mot désigne tous les sujets que nous évitons d'aborder par crainte et/ou par pudeur.