On recommande d'avoir entre 150 000 et 250 000 euros de côté pour pouvoir passer les premiers mois sans encombre avant que l'affaire ne devienne rentable. Vous n'avez pas cette somme en apport ? Vous pouvez vous tourner vers un prêt brasseur ou d'autres types d'aides et de subvention pour ouvrir un bar.
Si vous souhaitez reprendre un bar mais que vous ne disposez pas de l'apport nécessaire pour acheter le fonds de commerce, vous pouvez opter pour la location-gérance. Il s'agit d'un contrat, entre vous et le propriétaire, qui vous permettra d'exploiter le bar en échange du versement d'un loyer.
Bien évidemment, la communication et la fidélisation joueront une place importante sur la rentabilité, mais comme dans tout commerce, le nerf de la guerre se trouve dans l'implantation du local. La réponse est oui, un bar peut-être particulièrement rentable, à condition de bien choisir son local.
Il n'est pas possible d'ouvrir partout un commerce servant des boissons alcoolisées à consommer sur place (licences III et IV). Il existe des zones protégées par arrêté préfectoral dans l'espace public. Il existe aussi des quotas qui limitent le nombre d'établissements ayant le droit de s'installer.
Développez votre carte des boissons, un moyen de gagner plus d'argent avec votre bar. Si votre bar a un thème, jouez avec celui-ci et créez des boissons qui vont avec. L'idée d'avoir des cocktails uniques les encourage à essayer de nouvelles choses. Dans ce cas, ils se sentent à l'aise dans un bon bar.
Afin d'ouvrir un bar, il faut disposer d'un permis d'exploitation. Pour l'obtenir, le demandeur doit suivre la Formation au Permis d'Exploitation sur la règlementation applicable aux débits de boissons, à la santé publique et à l'ordre public. Elle dure trois jours pour le nouvel exploitant.
Dérogation sur demande : les jeunes âgés de plus de 16 ans (c'est-à-dire 16 ans révolus) et de moins de 18 ans peuvent être affectés au service du bar dans un débit de boissons à consommer sur place, sous réserve de l'obtention d'une autorisation administrative préalable (agrément) délivrée par le préfet de département ...
OUI il faut avoir 33% d'apport du fond (imposé par les douanes) ou 25% du total avec reprise des murs. Mais il est possible d'obtenir un pret brasseur qui entre comme apport personnel.
Le chiffre d'affaires est très variable d'un bar à l'autre : de 30 000 € à plusieurs millions d'€. Quel budget pour ouvrir un bar ? Il faut compter entre 80 000 € et 300 000 € pour reprendre un « petit » bar, en fonction de la valeur du fonds de commerce.
Une rentabilité élevée pour les franchises de coffee shop
De belles marges, une rentabilité élevée et un apport personnel de 60 à 80 000 euros pour un investissement global pouvant aller jusqu'à 300 000 euros… Le secteur du coffee shop est indéniablement à étudier par les candidats à la franchise.
Lorsque les boissons sont consommées sur place, on parle plus couramment de bar, de pub voire de troquet ! La réglementation pour ouvrir un bar vous impose d'obtenir une licence 4 pour pouvoir vendre des boissons ayant un degré d'alcool supérieur à 18°.
La marge habituelle du tarif des boissons dans un bar se situe aux alentours de 60 à 75%.
Le local, élément indispensable à l'ouverture d'un bar
Cela va de soit, il est indispensable de disposer d'un local adéquat pour ouvrir un bar. Seul un local commercial peut permettre une telle exploitation, pas la peine de penser ouvrir une buvette dans votre jardin ou sur le champs d'un voisin en toute légalité !
Cette formation a bien un coût, qui est en fonction du type de licence sollicité. La région d'implantation du débit de boisson est aussi un facteur influent. Le coût est de moins de 500 euros pour les nouveaux exploitants et de moins de 300 euros pour un renouvellement.
La maîtrise des achats : un bon point de départ pour optimiser la rentabilité d'un bar. C'est une évidence, mais il n'est pas inutile de rappeler que pour accroître la rentabilité d'un bar il est essentiel d'optimiser la marge entre le prix d'achat des boissons et leur prix de vente.