L'infection au virus de la variole est hautement contagieuse et se transmet très rapidement d'un individu à un autre. L'infection s'effectue par la transmission de gouttelettes et de particules, depuis une personne infectée, à un individu sain.
La variole ou petite vérole était une maladie infectieuse d'origine virale, très contagieuse et épidémique, due à un poxvirus. Le mot variole vient du latin variola, -ae (qui signifie « petite pustule », avec l'influence du mot varius, « varié, bigarré, tacheté, moucheté »).
Au XIXe siècle, une nouvelle méthode préventive beaucoup plus sûre fait son apparition : la vaccination, inventée par l'anglais Edward Jenner. Ce procédé éradique définitivement en Europe le fléau de la petite vérole !
La variole est une maladie très contagieuse et mortelle provoquée par le virus de la variole. Cette maladie est maintenant considérée comme éradiquée. Il n'y a pas eu de cas de variole signalé depuis 1977. La contamination se fait par inhalation de l'air exhalé ou des expectorations émanant d'une personne infectée.
fém. 1. Vx. Maladie éruptive qui couvre la peau de pustules qui laissent des marques.
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
Ne pas manger ou toucher la viande d'animaux sauvages. Ne pas partager la literie ou les serviettes avec des personnes qui sont malades et qui pourraient avoir la variole du singe. N'ayez pas de contact étroit avec des personnes malades ou susceptibles d'avoir la variole du singe.
En décembre 1979, l'Organisation mondiale de la Santé a déclaré que la variole avait été éradiquée à l'échelle mondiale et en 1980, l'Assemblée mondiale de la Santé a recommandé que tous les pays cessent les programmes d'immunisation systématique contre la variole.
Administration du vaccin contre la variole
La vaccination est réussie si une petite boursouflure apparaît après environ 7 jours. Dans le cas contraire, la personne reçoit une autre dose.
Dans la plupart des cas, si vous avez déjà eu la varicelle une fois, vous ne l'aurez plus. C'est ce qu'on appelle l'immunité permanente. Toutefois, dans de rares cas, une personne peut l'attraper une deuxième fois, surtout si elle était très jeune lorsqu'elle l'a eue la première fois.
La variole est une maladie extrêmement contagieuse due au virus de la variole, un orthopoxvirus. La mortalité est d'environ 30%. L'infection naturelle a été éradiquée. La principale préoccupation vient du bioterrorisme.
La variole est causée par une infection par virus de la famille des Poxviridae, du genre Orthopoxvirus, qui causent également d'autres maladies humaines (dont la vaccine ou la variole du singe).
Une petite cicatrice peut demeurer après la guérison, qui peut prendre de 2 à 5 mois. Le vaccin BCG provoque souvent une enflure du ganglion lymphatique qui se trouve sous l'aisselle ou au-dessus de la clavicule – il s'agit d'une réponse immunitaire tout à fait normale.
INDICATIONS DE LA VACCINATION
La vaccination antivariolique a été obligatoire en France entre 1901 et 1979 (loi du 2 juillet 1979) pour la primovaccination (avant l'âge de 2 ans), et pour les rappels à 11 ans, 21 ans et tous les trois ans pour les voyageurs, jusqu'en 1984 (loi du 3 mai 1984).
- Le virus de la variole est aujourd'hui conservé au centre de contrôle des maladies d'Atlanta (Etats-Unis) et dans un centre de recherche russe, à Novossibirsk. La France n'en dispose plus depuis l'an dernier, mais il n'est pas exclu que certains pays aient conservé la souche.
Toutefois, dans les cas de varicelle, les lésions sont surtout concentrées sur le tronc, alors que les éruptions dues à la variole sont davantage présentes sur le visage, sur les bras et sur les jambes. Les symptômes de la variole sont beaucoup plus importants (par ex.
La vaccination contre la variole a pris fin en France et dans l'ensemble de l'Union européenne en 1984.
Qui peut être vacciné ? Les personnes adultes contacts à risque élevé de variole du singe tels que définis par Santé publique France peuvent être vaccinées, incluant les professionnels de santé exposés sans mesure de protection individuelle.
Aujourd'hui, la vaccination antivariolique n'est plus obligatoire en France depuis 1979 en raison de l'éradication de la maladie mais aussi des effets indésirables potentiellement sévères.
Aucun médicament spécifique n'a été testé cliniquement pour améliorer la santé des patients atteints de la variole, car la maladie a été éradiquée. Les antibiotiques ne sont d'aucune efficacité contre les virus et les antiviraux n'ont pas été testés.
Il s'agit d'une immunité à médiation cellulaire. Cela explique que le vaccin peut « ne pas prendre ». Dans ce cas, les tests restent négatifs, et une nouvelle vaccination s'impose. Cela explique aussi que les tests peuvent devenir négatifs (disparition du BCG vivant dans l'organisme).
Le vaccin peut être administré uniquement aux personnes ne présentant pas de symptômes. Pour les personnes ayant reçu un diagnostic de variole simienne (cas confirmé en laboratoire), la vaccination n'est pas nécessaire. L'infection naturelle semble procurer une protection suffisante contre une réinfection.
? Vaccination contre la variole du singe
Une vaccination avec un vaccin de 3e génération peut être proposée aux personnes identifiées comme contacts à risque, ainsi qu'aux professionnels de santé exposés au risque sans mesure de protection individuelle.
Dans 3 cas sur 10, la variole entraîne le décès du patient. Pour les patients qui survivent à cette infection, les conséquences, à long terme, s'apparentent à des cicatrices cutanées persistantes. Ces cicatrices sont particulièrement visibles sur le visage et peuvent également affecter la vision de l'individu.