– loquace :une personne loquace (même origine que "éloquent") parle volontiers et abondamment mais ses propos sont souvent de peu d'importance ; – prolixe : un discours prolixe est trop long, chargé de détails inutiles. Bref, on s'ennuie !
volubile adj. Qui parle beaucoup, très vite et avec aisance.
Adjectif. Qui recouvre le fait de parler pour parler, souvent de parler pour ne rien dire. (En particulier) Qui a une fonction de pure civilité et ne veut rien dire en soi. « Je vous prie » est une phrase phatique : on ne « prie » pas vraiment l'interlocuteur auquel on s'adresse.
En principe, il vous suffit de prendre la parole sans attendre qu'on vous l'offre, mais je vous suggère de faire aussi un petit geste, pour capter le regard du verbomoteur. Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut.
La logorrhée peut être un symptôme d'une affection psychiatrique : bouffée délirante aiguë, état maniaque d'un trouble bipolaire, schizophrénie, trouble anxieux, ou hyperactivité par exemple. Dans ce cas elle est souvent associée à une tachypsychie, c'est-à-dire une accélération du cours de la pensée.
La logorrhée est un terme médical qui désigne une surproduction verbale. Une personne logorrhéique ressent un besoin intarissable de parler. Son flux de paroles est précipité, diffus et continu. La logorrhée est souvent associée à une tachyphémie, c'est-à-dire à une accélération progressive du débit d'élocution.
– loquace :une personne loquace (même origine que "éloquent") parle volontiers et abondamment mais ses propos sont souvent de peu d'importance ; – prolixe : un discours prolixe est trop long, chargé de détails inutiles. Bref, on s'ennuie !
Loquace signifie qui parle beaucoup. Quelqu'un de loquace a tendance au bavardage, il apprécie parler. Ce terme est aussi souvent utilisé à la négative pour désigner quelqu'un qui parle peu : "qui n'est pas loquace".
Est bavard celui qui parle beaucoup.
Mais qu'est-ce qui pousse les gens à trop parler? C'est le plus souvent une question de personnalité, mais aussi de circonstances. «Certaines personnes peuvent avoir énormément confiance en elles au travail, par exemple, mais perdre tous leurs moyens face à un individu qu'elles admirent, déclare Camillo Zacchia.
Les bavards paraissent "plus sympathiques"
“Les deux premières études ont mesuré l'existence du 'biais de réticence', c'est-à-dire l'idée selon laquelle parler moins dans une conversation vous rend plus sympathique”, rappellent les chercheurs.
outrecuidant adj. Qui se croit supérieur aux autres.
L'égocentrique monopolise toujours la conversation et n'écoute pas ce que les autres ont à dire car trop centré sur sa personne. L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc. L'égocentrique ne s'intéresse pas aux autres sauf pour savoir ce qu'ils pensent de lui.
Les ultracrépidariens : des personnes qui donnent leur avis sans avoir de connaissances sur le sujet.
Quand on parle trop, même si l'on dit des choses intéressantes, les autres finissent par se lasser de ces échanges non-constructifs et inégaux. C'est pourquoi si vous avez tendance à trop parler, axez votre comportement sur l'écoute : quand vous discutez avec quelqu'un, ne faites pas que parler de vous.
Contrairement aux idées reçues, parler tout seul n'a rien d'anormal. Cette habitude peut certes paraître étrange vue de l'extérieur, mais elle est bien loin de cacher un quelconque trouble psychologique.
1. Qui parle beaucoup, aime à parler : Écolier bavard. 2. Qui est incapable de garder un secret : Se défier des bavards.
Qui est doué d'une intelligence pénétrante et subtile, qui saisit ce qui échappe à la plupart et peut établir des prévisions. Synon. clairvoyant, lucide, pénétrant, sagace; anton.
Dans un dialogue équilibré, les deux parties interviennent également, mais les narcissiques conversationnels ont tendance à ne parler que d'eux-mêmes, affirme Kate Campbell, thérapeute conjugale et familiale.
Le professeur de sociologie américain Charles Derber a donné un nom à cette légère tendance égocentrique à attirer les conversations à soi : le narcissisme conversationnel. Dans ses travaux, il décortique sans ménagement notre société de plus en plus individualiste.
Essayez de dire ce que vous avez à dire en 20 secondes et donnez l'occasion à la personne qui vous écoute de partager aussi des informations. En général, essayez de ne pas parler plus de 40 secondes d'affilée. Si vous parliez plus longtemps, l'individu qui vous écoute pourrait se sentir irrité ou s'ennuyer.