Impossibilité de prononcer certains mots, confusion, difficultés d'élocution... ce trouble du langage est assez fréquent. Bien souvent, il s'agit d'une séquelle d'accident vasculaire cérébral, de traumatisme crânien ou encore de tumeur cérébrale. L'aphasie correspond à la perte partielle ou totale du langage.
Parler très régulièrement !
C'est ce qui va vous permettre de développer des automatismes. De trouver les mots justes. D'enchainer les phrases sans problème. Personne ne peut parler de manière fluide s'il parle rarement.
Tout d'abord, pour apprendre à parler, il est bien de commencer par l'écriture des textes. Mettre nos pensées sur la feuille nous discipline énormément. Autres choses, nous pouvons mettre un cadre concernant le volume de notre travail, ce qui nous aide à apprendre à parler plus court et plus clairement.
Invitez-les à parler d'eux. Développez l'écoute active, par des mouvements de la tête, en reformulant le discours de votre interlocuteur, en rebondissant sur ce qu'il est en train de vous dire plutôt que de penser à votre prochain monologue. Laissez de la place à l'autre, mais sans vous effacer.
Les causes
La « difficulté à parler » peut avoir des origines diverses. Il peut s'agir de situations bénignes comme celle d'une personne qui a « perdu sa voix » dans le cadre d'une infection des voies respiratoires ou de situations graves comme celle d'une personne victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC).
En tant qu'adulte, il vous est certainement déjà arrivé, à un moment ou à un autre, de chercher vos mots. Lorsque cela se manifeste, on dit communément qu'on a «le mot sur le bout de la langue». Un trou de mémoire peut survenir n'importe quand, mais en particulier lorsque l'on est très fatigué.
Faites des essais avec votre respiration.
Essayez d'inspirer par le nez et de faire descendre l'air le plus profond possible dans votre ventre. Puis, alors que vous expirez, dites bonjour. Écoutez la hauteur de votre voix. Pour comparer, faites le même exercice, mais en respirant par la poitrine ou la gorge.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Un manque d'attention et d'intelligence ? L'explication la plus fréquente de cette tendance à perdre fréquemment ses affaires a à voir avec un facteur cognitif : l'attention. Nous ne sommes pas entièrement concentrés sur ce que nous faisons et c'est pourquoi ces oublis se produisent.
Quand faut-il alors s'alerter ? Le fait de se rendre compte de ses petits oublis est plutôt bon signe, signe que le cerveau va bien.
Le ginseng qui est souvent considéré comme un stimulant de la mémoire et de la concentration. Proche du ginseng, l'éleuthérocoque qui aurait une action sur la mémoire mais ses effets sont plutôt considérés comme des effets anti-fatigue.
Le sommeil est essentiel au bon fonctionnement de la mémoire : les insomnies ou l'apnée du sommeil peuvent donc causer des trous de mémoire fréquents. L'amnésie peut aussi être d'origine cérébrale : épilepsie, maladie de Parkinson, Alzheimer, sclérose en plaques, traumatisme crânien…
À table, prenons le temps de mâcher. Bien mastiquer facilite la digestion, renforce la dentition et peut même aider à maigrir!
contrefait[Ant.]
Ne pas mâcher ses mots signifie que l'on parle de façon très franche, sans faire de détours. "Ne pas mâcher" renvoie à l'image d'une personne qui ne mâcherait pas sa nourriture avant de l'avaler, autrement dit, qui avalerait tout d'un coup.
Il peut s'agir de l'aphasie mais ça peut aussi provenir d'une toute autre cause. Une cause par exemple motrice, une maladie musculaire, une maladie des nerfs moteurs qui empêche la prononciation des consonnes. Il faut donc un diagnostic neurologique.
Pour réapprendre à parler après un AVC, il faut entrainer le cerveau encore à contrôler la parole. Pour effectuer cette tâche, vous appuierez sur la neuroplasticité, qui permet à votre cerveau de former de nouvelles voies neuronales qui prendront la relève de vos fonctions de la parole.
Ne parlez pas trop fort.
Faites en sorte de baisser votre voix quand vous parlez aux gens et attendez le bon moment pour attirer leur attention plutôt que de parler si fort que l'on soit obligé de vous écouter. N'interrompez pas non plus brusquement les gens pour essayer d'exprimer votre point de vue.