Essayez de dire ce que vous avez à dire en 20 secondes et donnez l'occasion à la personne qui vous écoute de partager aussi des informations. En général, essayez de ne pas parler plus de 40 secondes d'affilée. Si vous parliez plus longtemps, l'individu qui vous écoute pourrait se sentir irrité ou s'ennuyer.
Parler d'un tiers crée une connivence, une complicité entre les interlocuteurs. Selon Frank T. McAndrew, professeur de psychologie au Knox College, dans l'Illinois (États-Unis) et auteur de nombreuses recherches sur le gossip (commérage en anglais), il s'agit de mettre en place un jeu d'alliance.
Apprendre à faire des critiques constructives. Attendez un peu avant de parler. Essayez de ne pas présenter votre critique juste après que la personne ait terminé de faire quelque chose. Si possible, félicitez-la dans un premier temps, puis faites-lui part de vos critiques un peu plus tard.
Trouve des distractions. Lorsque quelqu'un parle dans ton dos, il peut être difficile de te concentrer à l'école ou bien sur ton lieu de travail. Oriente ton énergie vers des activités positives pour te distraire au lieu de te concentrer sur la négativité générée par les commentaires.
En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde. Selon elle, on critique les autres de manière à conforter la posture que l'on a prise, une posture "sécuritaire" adoptée en fonction de l'environnement dans lequel on se trouve.
Regardez-la dans les yeux et dites-lui d'une voix calme et sérieuse : « OK, ça suffit maintenant, je sais que tu crois que c'est drôle, mais ça m'énerve, je voudrais que tu t'arrêtes ». Si elle ne s'arrête pas tout de suite, vous pourriez lui dire : « je te demande sérieusement de t'arrêter » avant de partir.
Laissez la personne s'exprimer jusqu'au bout, ne répondez que lorsque vous vous sentez prêt. N'hésitez pas à lui demander un moment pour réfléchir. Et faites le tri : ce que l'on vous a reproché ne remet pas en question la totalité de votre être", conseille la spécialiste.
Observez son comportement.
Il s'agit d'un signe évident. Toutefois, vous ne devez pas supposer qu'une personne parle de vous juste en observant son langage corporel comme rire, vous fixer, chuchoter en votre absence ou mettre un terme à une discussion lorsqu'elle vous voit.
Posez des questions comme « Est-ce à moi que tu lances cette pique? » ou « Que voulais-tu dire en pointant tes pouces vers le sol pendant que je parlais? » Ensuite, si votre Sournois répond en se moquant encore de vous, dites quelque chose comme « On dirait bien que tu te paies ma tête? » Il est important de lui ...
3) Juger, c'est enfermer les autres dans des cases et diminuer notre propre ouverture d'esprit. Le jugement est une sentence qui confine la personne qui la reçoit dans une réalité qui n'est pas la sienne (les enfants qui subissent des jugements ou des étiquettes vont caler leur comportement sur eux).
La tendance à juger à l'excès tient au fait d'avoir été soi-même une cible. Il s'agit donc de retrouver comment, à quelle fréquence et pourquoi des jugements vous ont été imposés. En identifiant ces blessures du passé, on prendra conscience des raisons qui incitent, au présent, à en infliger à soi-même et aux autres.
N'entamez pas la conversation comme si vous tentez de convaincre la personne que votre opinion, votre point de vue ou votre façon de faire est la bonne. Essayez plutôt d'apprendre et de tirer des leçons de ce qu'il dit. Ne manipulez pas la conversation afin de parvenir à vos fins et d'écraser l'autre personne.
Essayez de dire ce que vous avez à dire en 20 secondes et donnez l'occasion à la personne qui vous écoute de partager aussi des informations. En général, essayez de ne pas parler plus de 40 secondes d'affilée. Si vous parliez plus longtemps, l'individu qui vous écoute pourrait se sentir irrité ou s'ennuyer.
L'égocentrique est une personne qui ramène tout à elle. Tout ce qu'elle dit, ce qu'elle fait, ce qu'elle pense, ce qu'elle entreprend a plus de valeur que ce que font les autres. Il peut nous arriver à tous d'avoir parfois des comportements égocentriques.
Éloignez-vous de la personne.
Parfois, l'évitement est le moyen le plus simple pour ignorer une personne. Si celle-ci vous énerve, faites l'effort de vous éloigner d'elle autant que vous pouvez X Source de recherche . Vous pouvez éviter les endroits que la personne a tendance à fréquenter.
Quand quelqu'un vous provoque verbalement et essaie de vous pousser à bout, choisissez tout naturellement de l'ignorer et de ne pas lui répondre, voire même de quitter la pièce sans mot dire. Cette méthode va embarrasser la personne qui essaie de vous toucher, et celle-ci se retrouvera penaud face à votre silence d'or.
À FAIRE : Dites aux gens qu'ils comptent.
Avant toute chose, assurez-vous de renforcer votre relation avec la personne. Dire des choses comme : «Avant de dire quoi que ce soit, je veux m'assurer que tu sais que je me soucie de toi» ou «Je veux te respecter et apprécier ton point de vue» .
Dans un dialogue équilibré, les deux parties interviennent également, mais les narcissiques conversationnels ont tendance à ne parler que d'eux-mêmes, affirme Kate Campbell, thérapeute conjugale et familiale.
Parler trop fort peut être un signe de perte d'audition. Les autres signes de perte auditive neurosensorielle comprennent la difficulté à entendre lorsqu'il y a beaucoup de bruits de fond et l'incapacité à comprendre clairement ce que les autres disent.
Les personnes psychorigides manquent en réalité souvent de confiance en elles. "Il faut", "c'est comme ça et pas autrement", "il n'y a que cette manière de faire qui soit la bonne": ces injonctions reviennent sans cesse dans la bouche d'une personne psychorigide.