La méthode la plus répandue et la mieux connue aujourd'hui est celle de l'empreinte carbone. Elle permet d'évaluer l'impact climat d'une activité en comptabilisant les gaz à effet de serre (dont le CO2) émis en un an, rapporté au financement en capital ou en dette.
Les deux principales références sont : la norme ISO 14031, qui définit une méthode de suivi en continu de la performance environnementale ; l'empreinte environnementale des organisations, qui comptabilise les impacts environnementaux d'une organisation par le biais du cycle de vie de ses produits et services.
Elle s'appuie sur les étapes suivantes : - un cahier des charges pour en définir le contenu, les limites et, le cas échéant, les études complémentaires, - une analyse de l'état initial de l'environnement dégageant les enjeux et les objectifs environnementaux, - une évaluation des incidences des orientations du SCOT sur ...
4 indicateurs environnementaux
Le réchauffement global et les émissions de gaz à effet de serre. La consommation en eau. L'énergie primaire.
L'agriculture représente près de 30% des émissions de gaz à effet de serre mondiales, les pesticides et engrais utilisés pour faire pousser nos aliments sont responsables de nombreuses pollutions et affectent largement les écosystèmes.
Le concept d'impact environnemental désigne l'ensemble des modifications qualitatives, quantitatives et fonctionnelles de l'environnement (négatives ou positives) engendrées par un projet, un processus, un procédé, un ou des organismes et un ou des produits, de sa conception à sa « fin de vie ».
L'indicateur d'impact : c'est également une mesure du changement, mais basée sur la part attribuable à l'activité. Elle prend donc en compte la part de changement qui aurait opéré, toutes choses égales par ailleurs.
L'évaluation environnementale est un processus visant à intégrer l'environnement dans l'élaboration d'un projet, ou d'un document de planification, et ce dès les phases amont de réflexions.
L'étude d'impact préalable à la réalisation du projet est réalisée sous la responsabilité du ou des maîtres d'ouvrage.
L'étude d'impact sur l'environnement (EIE) est un processus qui, au tout début de la planification, cerne et évalue les risques d'incidences environnementales découlant d'un projet prévu.
Lorsque l'on étudie les effets à long terme d'une action, avec le souci d'englober les différentes dimensions possibles de ces effets, on parle d'« impact ».
La démarche de réalisation d'une étude d'impact comporte six étapes distinctes : la présentation du contexte du projet, la description du milieu récepteur, la description et l'analyse des variantes de réalisation, l'analyse des impacts de la variante retenue, le plan de gestion des risques d'accidents technologiques et ...
La démarche d'évaluation environnementale se traduit par la production d'un dossier d' étude d'impact pour les projets ou d'un rapport environnemental pour les plans/programmes. L'évaluation environnementale fait l'objet d'un avis d'une autorité environnementale.
La mesure d'impact revient à quantifier les effets générés, positifs ou négatifs, pour une structure dans sa globalité ou pour un programme en particulier. Il peut s'agir des effets intentionnels ou non, directs ou indirects, des parties prenantes internes, externes et sur l'ensemble de la société.
Mesurer l'impact devrait être l'occasion de dresser le bilan des investissements au regard de vos objectifs d'impact, et de maximiser l'impact de chaque projet au cours du processus, y compris en contrôlant les impacts négatifs potentiels imprévus que vous pourriez avoir négligés.
Le Global Biodiversity Score est un outil conçu par la filiale Biodiversité de la Caisse des Dépôts (CDC-Biodiversité), dont l'objectif est d'évaluer l'empreinte biodiversité des entreprises et des investissements.
Environnement naturel : climat, géographie, faune, flore et tout ce que l'on trouve dans la nature. Environnement culturel : les objets fabriqués par l'homme ou ses activités socio-économiques.