Plus la valeur IQA est élevée, plus le niveau de pollution atmosphérique est élevé et plus le problème de santé est grand. L'IQA varie de 0 à 500, chacune des valeurs étant divisée en plages plus petites.
Toutes les heures, un indice de la qualité de l'air est calculé à partir des cinq contaminants suivants : l'ozone, les particules fines, le dioxyde de soufre, le dioxyde d'azote et le monoxyde de carbone. Maximum des concentrations moyennes sur quatre minutes observé au cours d'une heure donnée.
Un système de qualificatifs et de codes couleur est associé à chacun des sous-indices : bon : bleu ; moyen : vert ; dégradé : jaune ; mauvais : rouge ; très mauvais : pourpre ; extrêmement mauvais : magenta.
Pour savoir si l'air est un peu, beaucoup ou trop pollué, on utilise un « indice de la qualité de l'air ». L'indice ATMO calcule et note chaque jour dans plus de 80 agglomérations la qualité de l'air. Pour vérifier, polluant par polluant, les prévisions de pollution sont consultables sur le site Prev'Air.
Vérifier la présence d'humidité
Pour qu'une maison soit saine, l'humidité est à fortement éviter. Ainsi, il est crucial de contrôler si jamais des indices d'humidité sont constatés. Cela est représenté à travers une odeur de moisi, de murs ou ben de plafonds filigranés, et autres.
La seule façon de tester le monoxyde de carbone consiste à installer des détecteurs de monoxyde de carbone dans chaque pièce. C'est le seul moyen de s'assurer que ce gaz dangereux n'est pas présent dans votre maison.
On distingue les moisissures par les taches noirâtres qu'elles forment sur les murs et les plafonds, ou encore à l'odeur de moisi qu'elles dégagent. Causées par un taux trop élevé d'humidité, elles peuvent coloniser des endroits très différents — bois, plâtre, papier, tissus, climatiseurs, plantes.
Pour l'achat d'une maison, vous devez vérifier l'état de la toiture, de la charpente, des murs (pour détecter les traces d'éventuelles fissures), les plafonds et les sols. Sans oublier de vérifier l'installation électrique, la plomberie, la chaudière ou encore la cheminée.
Lorsque l'air est trop sec, il peut être difficile de dormir correctement. En plus, dormir avec un humidificateur aide à garder la peau et les muqueuses hydratées, ce qui est important pour avoir une bonne santé. De plus, il réduit les risques d'allergies et de rhinites.
Si l'hygromètre affiche un taux inférieur à 40% c'est que l'air de votre intérieur est en effet trop sec et qu'il vous faut investir dans de l'équipement spécialisé pour remonter votre taux à un niveau idéal. Pour rappel, un taux d'humidité idéal se situe entre 40 et 60%.
Le taux d'humidité idéal se situe entre 40% et 70%
Au total, ce sont 4 millions de personnes qui souffrent de mal-logement ou d'absence de logement personnel. Jeunes diplômés, personnes âgées ou migrants… Aucune population n'est épargnée par la problématique.
Pour l'air intérieur, les normes européennes se situent entre 30 et 70% d'hygrométrie. En France, les médecins s'accordent à resserrer la zone d'air sain entre 40% et 60%.
L'air que nous respirons tous les jours est constitué à 99% d'azote et d'oxygène, 0,9% d'argon, et d'autres gaz présents à l'état de trace.
Selon cette étude, la Turquie est le pays le plus pollué d'Europe, avec une note de 6,1/10. Sa concentration de particules PM 2.5 est de 41 µg/m3 et les émissions de CO2 sont inquiétantes à 4,33 tonnes par habitant.
Les toxines provenant du plancher, des tapis, des téléviseurs et les ameublements pelucheux contribuent tous à la pollution de l'air ambiant et peuvent vous rendre malade.
Stachybotrys : cette moisissure noire est très dangereuse et difficile à détecter, on la trouve généralement à l'intérieur des logements. Elle produit des mycotoxines qui peuvent provoquer des saignements pulmonaires, cela peut être mortel chez les animaux et les jeunes enfants.