On sait qu'au Canada, via le Québec, on dit plutôt chocolatine. Dans les pays germanophone, on emploie plus volontiers le terme « Schokoladencroissant ». Dans les pays anglophones, notamment les USA, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, on dit « chocolate croissant », notamment dans les grandes enseignes comme Starbucks.
Le pain au chocolat, aussi appelé chocolatine, couque au chocolat, croissant au chocolat ou encore petit pain et petit pain au chocolat, est une viennoiserie constituée d'une pâte levée feuilletée, identique à celle du croissant, rectangulaire et enroulée sur une ou plusieurs barres de chocolat.
Le mot chocolatine apparaît dans le Larousse. D'après le dictionnaire, il est employé dans le sud-ouest de la France et au Canada pour désigner un pain au chocolat. L'utilisation de ces deux termes est le résultat d'un clivage géographique, entre le nord et le sud de l'hexagone.
Ceux qui disent « pain au chocolat » comme dans une grosse partie du territoire, ou ceux qui ne jurent que par les « chocolatines », comme dans le Sud-Ouest, où cette appellation ne souffre aucune variation ? A noter : dans le Nord, on dit « petit pain au chocolat », voire « couque au chocolat » (on s'égare).
On poursuit la lecture de sa carte de France : « Sur la majeure partie du territoire français, on parle de « pain au chocolat ». « Chocolatine » appartient à un grand quart sud-ouest. » Ce qui n'empêche pas certaines chaînes de boulangerie d'y utiliser le terme « pain au chocolat », même s'il est minoritaire.
“Les boulangers qui vendaient cette viennoiserie l'ont rebaptisée pain au chocolat pour qu'un lien soit fait avec leur métier. Ils ont également décidé de la renommer ainsi car elle se consommait au goûter et à cette heure-là, les gens mangeaient du pain avec un bout de chocolat”, dit le boulanger toulousain.
Pas la peine de faire un dessin. On a tous déjà eu ce petit rire moqueur quand un copain demande une « chocolatine » à la boulangère en notre présence.
S'excluant du débat, les Alsaciens l'appellent petit pain, tout comme les habitants du Nord-Pas-de-Calais. Autre originalité de la région, le petit pain est parfois saupoudré de sucre glace ou glacé au sucre.
Lorsqu'une marchandise s'écoule très facilement, on dit parfois qu'elle «se vend comme des petits pains». Une expression apparue dans le courant du XXe siècle, mais qui fait référence à un épisode de la vie de Jésus relaté dans la Bible.
Si vous êtes nouveau dans notre belle ville de Strasbourg, vous avez dû remarquer qu'on ne dit pas « pain au chocolat » ou « chocolatine », mais bien « petit pain », voire « petit pain au chocolat ». Ah ces Alsaciens !
En Corse c'est Ni Chocolatine, Ni pain au chocolat.
Historiquement, l'inventeur ou plutôt l'importateur serait un boulanger-pâtissier autrichien nommé Auguste Zhang qui, installé à Paris dans les années 1830 aurait introduit le "Schokoladencroissant".
Soucieuse de soutenir le sud-ouest de la France, le Québec a choisi le mot «chocolatine» plutôt que «pain au chocolat» pour nommer la fameuse viennoiserie matinale. Alors que certains cherchent juste le meilleur moyen de remplir leur estomac, d'autres s'intéressent aux noms.
Ça viendrait de l'époque ou l'Aquitaine était anglaise, et où les anglais demandaient du « chocolat dans du pain » (chocolate in bread), qui serait devenu chocolatine dans le Sud-Ouest.
Pourquoi en Belgique un pain au chocolat est appelé une couque ?
Pourquoi dit-on chocolatine alors ? Ces pâtisseries viennoises sont à l'époque faites à base de pâte à brioche et de chocolat.
Une tradition fait de Marie-Antoinette d'Autriche, originaire de Vienne, celle qui aurait officiellement introduit et popularisé en France le croissant à partir de 1770, d'où le nom de viennoiserie.
Contrairement aux idées reçues, le croissant n'est pas une pâtisserie qui a été créée en France, mais en Autriche. Plus particulièrement dans la ville de Vienne. Selon une des légendes racontées sur le sujet, ce produit du petit-déjeuner est né lors du siège de la ville par les Turcs, en 1683.
Dans le Nord aussi, on y apporte une petite spécificité : on dit « petit pain au chocolat », voire « couque au chocolat », aussi répandu en Belgique. A l'Est, une petite zone frontalière évoque ainsi le « croissant au chocolat ».
À cette adresse, le «schokoladencroissant» était un croissant fourré au chocolat. Les Français, entendant «schokoladen», auraient alors traduit le mot en «chocolatine». Au XXe siècle, tandis que les pâtissiers français fabriquèrent ces viennoiseries à leur manière, le terme s'évanouit peu à peu.
Une chocolatine est un terme employé au Canada et dans certaines régions françaises pour désigner une pâtisserie fourrée au chocolat. C'est en fait une pâte feuilletée contenant deux barres de chocolat. En France, on parle plutôt de pain au chocolat.
Plus légère et moins volumineuse que la miche traditionnelle, la baguette aurait été plus facile à transporter dans les poches des soldats. Mais d'après une autre source, c'est un boulanger autrichien, August Zang, qui aurait introduit la baguette en France. En 1839, le Viennois ouvrait une boulangerie à Paris.
C'est un officier autrichien, August Zang, associé à un noble viennois, Ernest Schwarzer, introduisit à Paris le kipferl (brioche en forme de croissant) et le kaisersemmel (pain viennois) entre 1837 et 1839, en ouvrant une Boulangerie viennoise (installée au 92, rue de Richelieu) et dont le succès a vite inspiré une ...
"Le terme vient directement du néerlandais, qui désigne à peu près toutes les viennoiseries. Vous avez des couques au chocolat et des couques aux raisins." Pour le "pain russe", utilisé à Lyon, son origine fait débat. "De ce que l'on dit, un tsar serait venu à Lyon et il aurait particulièrement aimé cette viennoiserie.
en effet, la production d'un bien nécessite d'utiliser des ressources naturelles car pour produire un pain au chocolat, il faut de la farine qui provient du blé, de l'eau, provenant de la rivière par exemple, du chocolat provenant du vrai cacao, et du fromage provenant du lait de la vache.