Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement. "Bougnat", pour dénigrer quelqu'un, aurait donné Bougnoule. On dit que les Allemands (occupants en 40/45) en France auraient aussi utilisé "Bougnoule" pour les Français.
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...
Terme utilisé par les Français pour désigner les Allemands pendant la période conflictuelle entre les deux pays qui a débuté en 1870 et s'est terminée en 1945. Les Belges et les Québécois ont repris par la suite ce terme.
Les noms des Allemands - étymologie : Deutsch, teuton, tudesque, allemand, alémanique… LEXILOGOS. L'Allemagne et les Allemands sont un pays et un peuple qui ne sont pas appelés de la même façon dans les différentes langues.
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
Le dérivé fridolin apparaît en 1917, mais il aurait été présent dès 1880 selon Chautard. Une variante frigolin aurait été plus fréquente entre les deux guerres selon Esnault. La construction de ce nom est complexe. Le nom frigolin peut se référer au froid, au frigo, et donc au caractère présumé des Allemands.
Le mot « boche » est une aphérèse de alboche qui serait formé de « al » pour allemand et de « -boche », une suffixation argotique venue peut-être de bosse, « tête » (occitan caboça), que l'on retrouve dans caboche (cap, « tête »), Rigolboche, Alboche (Allemand), Italboche, et des expressions comme « au truc, si l' ...
L'utilisation du mot boche (aussi écrit bosh ou boch) pour appeler nos voisins germaniques remonte à la fin du XIX° siècle. Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois).
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
Le tachelhit, ou chleuh (en berbère : ⵜⴰⵛⵍⵃⵉⵜ tacelḥit) est une langue berbère parlée par les Chleuhs au Maroc. Avec 8 à 10 millions de locuteurs, le tachelhit est la plus importante langue berbère du monde, par le nombre de locuteurs et par l'ampleur de son extension.
- Les Allemands considèrent le Français comme arrogant mais ils nous prêtent une image de bon vivant. - Les Allemands estiment aussi que les Français ont un esprit de challengers, qu'ils sont souples et créatifs dans le cadre du travail mais qu'ils sont mal organisés et peu fiables.
C'est vrai que les Allemands ont une sympathie pour les Français ; ils aiment le style de vie à la française ; ils aiment leur rapport à la vie. Alors bien sûr dans le boulot ils prennent des précautions parce qu'ils ne sont pas totalement rassurés, mais ils aiment vraiment les Français.
Il faut dire que les français utilisaient le mot boche pour tout et rien. L'apparition de BOCHE remonte à la seconde moitié du 19ème siècle, vers 1860, et ''boche'', ça viendrait d' ''ALBOCHE''. Alboche est terme un peu plus ancien formé du préfixe ''AL'', abréviation de ''allemand'' et du suffixe ''boche''.
La France se trouve coupée en deux par une ligne de démarcation qui sépare la zone occupée – le Nord et la façade atlantique – de la « zone libre » du Sud. L'armée est réduite, la flotte désarmée. Deux millions de Français sont envoyés comme prisonniers en Allemagne.
Le casque à pointe (en allemand : Pickelhaube) est un modèle de casque militaire utilisé par les armées prussiennes, puis allemandes au XIX e siècle et au début du XX e siècle. Sa pointe devait protéger les fantassins des coups de sabre de la cavalerie.
La Prusse n'a aujourd'hui plus aucune existence légale ou politique ; elle peut donc être considérée comme un État démantelé, puisque son ancien territoire est partagé entre les gouvernements de différents Länder allemands et pour la majeure partie de l'actuelle Pologne, sans oublier la région de Königsberg, devenue ...
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).
Pendant les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, il n'y a quasiment aucun combat. C'est la "drôle de guerre". La "guerre-éclair" ou "Blitzkrieg" prend le relais à partir du 10 mai 1940, date à laquelle les forces allemandes entrent en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas.
L'opération Barbarossa est la plus grande invasion de l'histoire militaire en termes d'effectifs engagés et de pertes : près de quatre millions de soldats de l'Axe pénètrent en Union soviétique. En plus des troupes, l'opération Barbarossa a mobilisé 600 000 véhicules et 600 000 chevaux.
Nom commun. (Péjoratif) Personne de nationalité allemande. (Par extension) (Lorraine) Mosellan ou Alsacien ; personne parlant un dialecte germanique. (Cinéma) Personne un peu simple d'esprit, idiot, fada.
Le nom des Teutons est issu du proto-germanique *þeudanōz (« ceux de la tribu »), nom passé d'abord en celtique puis latinisé en Teutoni. Il repose sur l'indo-européen *teutonōs « ceux de la tribu », dérivé du radical *teutā- « tribu ».