Archimède, mathématicien grec, a trouvé une méthode pour calculer les décimales de Pi. En calculant le rapport entre le périmètre d'un cercle et son diamètre, il s'aperçut qu'on trouvait toujours le même nombre, à quelques décimales près. La première méthode d'obtention des décimales Pi venait ainsi le jour.
Les mathématiciens ont découvert que le rapport entre la circonférence du cercle et son diamètre est une constante, et que cette même constante donne aussi le rapport entre la surface du cercle et le carré de son rayon. Par exemple, à Babylone, il y a 4 000 ans, on le savait déjà.
Au IIIeme siècle avant J.C., dans son ouvrage "De la mesure du cercle", Archimède de Syracuse (-287 ; -212) commence par établir que le rapport de la surface d'un disque au carré de son rayon est égal au rapport de son périmètre à son diamètre.
Le nombre Pi n'a pas été créé, il a été découvert dans les cercles ! C'est le rapport entre le tour d'un cercle, qu'on appelle le périmètre, et son diamètre. Ainsi quelle que soit la taille d'un cercle, si on divise son périmètre par son diamètre, on obtient toujours le même résultat : 3,1416 quand on arrondit.
Pi est égal à 3.14 car il s'agit du rapport entre la circonférence d'un cercle et son diamètre ou entre la superficie d'un cercle et le carré de son rayon. Dans les deux cas le chiffre obtenu lors du calcul de ce rapport est toujours constant, quelles que soient les dimensions du cercle.
Le nombre Pi est la plus célèbre constante mathématique. Il s'agit d'une « constante », car il correspond au rapport constant entre la circonférence d'un cercle et son diamètre. La plupart des gens connaissent sa base — 3,14 — mais ensuite cela se corse : et pour cause, c'est un nombre infini.
L'ubiquité est « le fait d'être présent partout à la fois ou en plusieurs lieux en même temps. » De tous les nombres, π est celui qui jouit le plus spectaculairement de cette propriété : on le rencontre sans cesse en mathématiques et en physique.
Le mathématicien italien Leonardo Pisano, dit Fibonacci, né en 1175, est parvenu à élaborer une suite, que l'on appelle communément la suite de Fibonacci. Elle repose sur le fait de diviser un terme par le précédent, chaque nouveau résultat s'approchant de plus en plus… du nombre d'or.
Avec Archimède, Pi devient 3,14
C'est toutefois le traité d'Archimède (287 à 212 av. J. -C.), intitulé « De la mesure du cercle », qui démontre la correspondance entre l'aire du disque et celle du triangle.
pi ou pis. Lettre grecque qui correspond au "p". Symbole définissant le rapport constant entre le périmètre d'un cercle et son diamètre. Il est égal à environ 3,1415926536.
Le premier moment de l'histoire des mathématiques s'identifie néanmoins aux Grecs, qui, à partir du VIe siècle avant J. -C., vont faire de cette discipline plus qu'un outil, un idéal de pensée. C'est généralement à Thalès de Milet que l'on accorde la paternité de la géométrie, et le début des mathématiques grecques.
√π=7 .
Et 3,14, c'est aussi le fameux symbole "Pi". C'est donc tout naturellement que cette date est devenue au fil du temps la journée internationale de ce nombre mythique : une suite de décimales qui, comme nous l'avons tous appris à l'école, définit le rapport entre la circonférence d'un cercle et son diamètre.
π=Sr2 π = S r 2 On peut facilement montrer que ces 2 définitions caractérise le même nombre. On peut aussi considérer que Pi est égal aux 3/4 du volume d'une boule de rayon 1.
Pi est le rapport entre le périmètre d'un cercle et son diamètre. Cette lettre a été choisie au XVIIe siècle car c'est la première de περίμετρος – un mot de grec ancien qui signifie « périmètre ».
Il a donné deux autres approximations de π : π ≈ 22/7 et π ≈ 355/113. La dernière fraction est la meilleure approximation rationnelle possible de π en utilisant moins de cinq chiffres décimaux au numérateur et au dénominateur.
Sans surprise, c'est le 7, considéré par beaucoup comme un chiffre magique ou chanceux, qui a remporté le suffrage. 7, comme dans les sept péchés capitaux, les sept jours de la semaine, le septième ciel, les sept merveilles du monde, les sept couleurs de l'arc-en-ciel…
Les nombres parfaits sont des entiers égaux à la somme de leurs diviseurs. Ainsi, 6 se divise par 2, 3 et 1. En additionnant 2, 3 et 1, on arrive à 6 ! Même chose pour 28, somme de 1 + 2 + 4 + 7 + 14.
Le nombre d'or. Où le rencontre -t-on ? On le désigne par la lettre grecque ( phi ) en hommage au sculpteur grec Phidias (né vers 490 et mort vers 430 avant J.C) qui décora le Parthénon à Athènes. C'est Théodore Cook qui introduisit cette notation en 1914.
Exemple si vous êtes nés le 9 janvier 1971, il faudra mettre 1/9/71, mais si vous mettez 1/9/1971, il va de toute façon rechercher la séquence 1971 qui correspond dans ce cas, au 38 ième numéro après la virgule.
Le symbole de l'infini, en mathématiques et au-delà des mathématiques, est « ∞ », inventé par le mathématicien John Wallis au XVII e siècle, signe dont l'origine est controversée et dont la forme peut évoquer un « 8 » horizontal (mais ce n'est pas en référence au chiffre 8 que ce signe fut choisi) ; cette forme a été ...
Pi vient à la rescousse : le volume d'eau contenu est égal à Pi multiplié par la hauteur du chauffe-eau multiplié par le carré du rayon de votre chauffe-eau (la moitié du diamètre, pour ceux qui ont tout oublié). Sans oublier que pour faire chauffer l'eau, il faut de l'électricité.
Un nombre univers est un nombre réel dans les décimales duquel on peut trouver n'importe quelle succession de chiffres de longueur finie, pour une base donnée.