Cela se produit lors de tempêtes ou d'ouragans. En effet, les filets, ainsi que des nasses ou autres pièges, peuvent être détachés du bateau ou de leur ancrage. Ils tombent alors au fond de l'eau. Certains filets de pêche peuvent également s'enchevêtrer et s'accrocher aux différents récifs.
La surpêche a des conséquences écologiques dramatiques : « L'extinction écologique causée par la surpêche dépasse tout autre perturbation généralisée d'origine humaine sur les écosystèmes côtiers, incluant la pollution, la dégradation de la qualité de l'eau, et le changement climatique anthropique » (Jackson, 2001) .
Les conséquences de la surpêche sont considérables : disparition de nombreuses espèces marins, bouleversement des écosystèmes et chaînes alimentaires, pertes d'emploi pour les petites structures de pêche…
La principale source de pollution ponctuelle de l'eau provient du traitement des eaux usées et des eaux d'égout, tandis que la pollution diffuse a pour sources principales l'agriculture et les centrales à combustible fossile (via la pollution de l'air).
Elle concerne les nitrates et les phosphates contenus dans les pesticides, les médicaments humains et vétérinaires, les produits ménagers, la peinture, les métaux lourds (mercure, cadmium, plomb, arsenic…), les acides, ainsi que les hydrocarbures utilisés dans l'industrie.
Les principales activités contributrices aux émissions de polluants en France sont les activités industrielles, les transports (routiers et non routiers), le secteur résidentiel (chauffage en particulier), les activités humaines liées à l'agriculture et la sylviculture, etc.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Les filets de pêche polluent nos océans. En effet, ils sont constitués pour la plupart de nylon, une fibre plastique de type polyamide. Ce matériau est solide, résiste très bien aux frottements répétitifs et sèche rapidement car il n'absorbe pas l'eau.
La pêche illicite, non déclarée et non réglementée et ses répercussions négatives sur les efforts déployés aux niveaux national et régional pour assurer une gestion durable à long terme des pêches, est l'un des principaux problèmes inhérents aux pêches de capture.
Elle participe à la surexploitation de nos océans et à la destruction des écosystèmes et menace la sécurité alimentaire et l'équilibre économique du marché des produits de la mer.
Les victimes de la surpêche et l'impact sur les écosystèmes
Certaines espèces sont victimes de leur succès : la morue de Terre-Neuve, le thon rouge ou encore la sardine qui ne bouche plus le port de Marseille. Le nombre de thons rouges a diminué de plus de 80 % en quelques décennies.
Des solutions existent pour contrer ces phénomènes. Par exemple en concevant des techniques de pêche ayant moins d'impact sur le fond marin. Ou encore via des filets dont la taille et la forme ont été adaptées pour permettre aux jeunes poissons, aux tortues ou aux mammifères marins de s'en échapper.
Comme on peut s'en douter, les transports et les logements sont les deux secteurs les plus émetteurs. À eux seuls, ils représentent près de la moitié des émissions de gaz à effet de serre (respectivement 26% et 15%).
En France, le secteur qui émet le plus est celui des transports, soit 31% des émissions françaises de gaz à effet de serre.
En France, l'industrie représente 20 % des émissions de gaz à effet de serre et à elles seules, les 50 sites reçus à l'Élysée représentent la moitié de ces émissions (10 %). Les secteurs de la métallurgie, de la chimie, du verre et du ciment sont particulièrement ciblés comme étant les plus gros pollueurs.
Pesticides en tête
Dans les cours d'eau français, les pesticides et leurs produits de dégradations sont les premières substances détectées. Peu étonnant dans un pays où la surface agricole utile représente 29 millions d'hectares, soit plus de la moitié du territoire.
Les Îles Vierges des États-Unis, un ensemble d'îles et d'îlots posés sur la mer des Caraïbes (4,5 µg/m³), et Porto Rico complètent le podium (4,8 µg/m³). Le Cap-Vert et l'île de Saba, un joyau méconnu des Caraïbes qui appartient aux Pays-Bas, suivent juste derrière.
Pesticides, hydrocarbures, plastifiants, médicaments, éléments issus de l'industrie chimique… nos rivières regorgent de produits toxiques qui bouleversent le cycle des éléments naturellement présents dans l'eau de nos rivières.
Les sources humaines de pollution atmosphérique comprennent les activités qui reposent sur l'utilisation de combustibles à base de carbone (par exemple, le transport, les véhicules hors route et l'équipement mobile, ainsi que la production d'électricité), les procédés industriels comme ceux liés à la production de ...
La concentration de ces substances est comparée à des normes de qualité environnementale (NQE). Si la concentration de toutes les substances suivies est inférieure aux NQE, alors le cours d'eau est estimé en bon état chimique. Si une seule substance dépasse sa NQE, le cours d'eau n'atteint pas le bon état chimique.