La température du plateau est très variable et peut se paramétrer entre 30 et 100°C. Pour la vitesse d'impression, les matériaux flexibles s'impriment à vitesse lente, entre 10 et 40mm/s. La ventilation sera importante en fonction de la marque du filament afin de garantir une bonne liaison entre les couches.
Pour imprimer correctement les matières TPU et analogues, il est souvent recommandé d'augmenter la température d'extrusion, de diminuer fortement la vitesse de déplacement ou encore d'agrandir le diamètre de la buse.
Le TPU exige une température de buse élevée, généralement autour de 220 ou 230 °C, contre environ 200 °C pour le PLA.
Les imprimantes Raise3D sont équipées de double extrusion et cela vous permet d'imprimer en TPU et d'utiliser un deuxième matériau pour réaliser le support de votre pièce. Comme, par exemple, le PVA ou bien même le filament PLA.
C'est pour cette raison que le PETG est souvent considéré comme un juste milieu entre l'ABS et le PLA, les deux filaments 3D les plus utilisés dans le secteur de l'impression 3D. Il est en effet plus flexible et plus durable que le PLA et plus facile à imprimer que l'ABS.
Le TPU98A résiste à des températures pouvant aller jusqu'à 138°C. Il pourra être étiré à 450% de sa forme originelle. Ce filament permet également d'imprimer facilement des objets étanches à l'eau. Il est également résistant aux huiles, graisses et micro-organismes.
Le filament TPU signifie polyuréthane thermoplastique.
Au-delà de sa flexibilité, le TPU est également très durable et difficile à casser. Il peut bien absorber les impacts, ce qui en fait un filament idéal à utiliser si vous avez besoin d'un matériau solide.
Pour obtenir un objet parfaitement lissé assurez vous d'abord que votre pièce est propre, sans poussière ni graisse. Utilisez ensuite une solution de lissage à l'aide d'un pinceau ou par pulvérisation. Elle vous permet de lisser parfaitement les pièces et vous assure un très bon résultat.
Les surfaces des pièces à assembler doivent être sèches, exemptes de poussière et de graisse. Appliquez la colle de manière homogène sur l'une des surfaces à coller, assemblez et déroulez immédiatement le deuxième écran. Il est également possible d'utiliser la colle pour l'étanchéification des arêtes de coupe.
Le filament 3D PLA (Polylactic Acid) est le plastique le plus couramment utilisé en impression 3D. Ce biomatériau à base d'amidon de maïs est idéal pour une majorité des applications de l'impression 3D.
Les motifs Triangles et Trihexagonaux sont sensiblement meilleurs en termes de résistances mécaniques. Souvent le taux de remplissage reste assez standard aussi avec des valeurs entre 15 et 40% suivant votre besoin. Ce motif de remplissage d'impression 3D est le plus commun et celui par défaut dans Cura.
Buse de 0,4 mm en standard
Pour la plupart des imprimantes 3D, la buse de 0,4 mm est devenue la norme, car elle est généralement installée en atelier et offre un bon équilibre entre résolution, précision et vitesse d'impression.
Si votre bobine de PETG indique 230 – 240 °C (comme les bobines de PETG Transparent Polymaker), il est recommandé de rester dans cette plage. En imprimant avec des couches fines, une petite buse ou à faible vitesse, la partie basse de la plage de température est recommandée.
Le ponçage, simple mais efficace
Le ponçage est compatible avec la grande majorité des thermoplastiques du marché. Cette méthode est simple : elle consiste à passer du papier de verre avec un grain assez fin sur votre objet afin de retirer les impuretés et de lisser votre pièce.
On peut également utiliser des fibres de verre ou des fibres de carbone pour renforcer une pièce imprimée en 3D. Les fibres de carbones ont un excellent rapport résistance sur poids et sont particulièrement bien indiquées pour les pièces destinées à supporter des charges sur des périodes prolongées.
La température est la clé pour éviter le stringing. Une température élevée signifie que le matériau sera plus liquide, donc qu'il pourra suinter depuis la buse. En paramétrant une température plus basse, le matériau est donc moins susceptible de suinter lors de l'impression.
Pour bien débuter dans le domaine de l'impression 3D à domicile, l'idéal est d'investir dans un modèle dit FDM, qui fonctionne à l'aide de filaments de plastique. Cela peut notamment vous permettre d'imprimer des objets décoratifs, mais aussi des outils plus ou moins complexes qui peuvent vous aider au quotidien.
La valeur sûre : Creality Ender-3 V2
Pas la meilleure imprimante 3D 2022 mais un modèle connu et reconnu avec une large communauté pour se faire aider. De plus, la Ender3 V2 se trouve pour environ 250€, ce qui en fait une machine abordable pour débuter en impression 3D.
Le TPU une matière d'excellence
Ce matériau est très résistant aux chocs et à l'abrasion et il a la possibilité d'être surmoulé pour permettre de nouvelles applications. Enfin, c'est un matériau colorable et recyclable.
Les buses d'impression sont de petits éléments comparables à des aiguilles de tatoueur, par lesquelles sont projetées les gouttelettes d'encre sur le papier. Elles sont réunies dans les têtes d'imprimante (qu'il faut également nettoyer et aligner régulièrement).
Un diamètre de buse supérieur ou égal à 0.5 mm est recommandé pour l'impression de ce filament bois.
Raft : Ce sont les premières couches déposées sur le plateau, sur lesquelles va se déposer votre impression. Elles sont plus épaisses et permettent une meilleure adhésion de votre pièce au plateau. Une fois l'impression terminée, le raft se retire de votre impression finale.
PreForm, le slicer pour les imprimantes Formlabs
Et c'est l'un des meilleurs slicers à utiliser si vous avez une imprimante Formlabs. Le logiciel est gratuit et peut être utilisé sous Windows et macOS.