Les crises, une étape normale
La première chose à savoir, c'est que les crises de notre enfant de 3 ans” sont NORMALES ! Oui, il traverse de grands chamboulements où il veut s'autonomiser et s'affirmer et il ne sait pas encore se poser pour gérer ses émotions.
Lors de la « phase du non », entre 2 ans et 3 ans, soyez ferme, mais compréhensif. Encadrez votre enfant et fixez des limites tout en lui donnant du contrôle sur certains aspects de sa vie. Concentrez-vous sur quelques règles importantes afin d'éviter d'être toujours dans la confrontation avec lui.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
L'halopéridol employé seul est recommandé pour calmer les situations en cas d'agressivité ou d'agitation chez des personnes ayant une psychose. Celui-ci est largement répandu et peut être le seul antipsychotique disponible dans certaines régions aux ressources limitées.
La colère est l'expression d'un besoin non entendu, c'est une demande à l'autre dans le but de rétablir le lien, une protestation contre ce qu'on ne peut pas tolérer, une défense de l'intégrité, de la personnalité, la colère donne la force de dire non et de se sentir soi !
La colère peut arriver seule, à la suite de la présence d'un irritant, d'un besoin non satisfait, ou d'un désir non respecté. Mais elle peut aussi être un moyen de libérer d'autres émotions enfouies telles que la peur, l'angoisse, la tristesse…
La colère émerge des interactions de plusieurs régions cérébrales : elle influe sur le niveau général d'excitation du système nerveux et les processus corporels automatiques, sur le contenu des sentiments, et chez l'homme, peut être amplifiée ou inhibée par le souvenir de situations analogues passées.
Sommaire : La colère est une émotion normale que nous ressentons lorsque nous nous sentons lésés ou lorsque quelque chose nous empêche d'atteindre nos objectifs. Avoir juste assez de colère est utile car c'est un signal que quelque chose ne va pas.
Le mieux est de l'engager à consulter un psychiatre ou un psychologue… mais nous savons parfaitement que ce n'est pas facile…
La Fleur de Bach Holly ou Houx (n°15) possède de multiples vertus. Elle est recommandée à tous ceux qui éprouvent de l'envie, de la colère, de la haine ou de la jalousie profonde. Si ces émotions envahissent le quotidien, la Fleur de Houx peut être utile.
Pour calmer sa nervosité, l'homéopathie peut aider : Nux vomica 9 ch : 3 granules, 3 fois par jour et 5 granules si vous sentez vos nerfs vous lâcher. Argentum nitricum 9 ch : 3 granules 3 fois par jour. Ignatia 7 ch : 5 granules, matin et soir.
Mieux prendre conscience de ses émotions
Le simple fait de prendre conscience de sa colère, lorsqu'elle est présente, est fondamental. La méditation, l'écriture, ou la thérapie peuvent aider à mettre des mots sur les émotions et à prendre conscience de ce que l'on ressent.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
Dans une large mesure, cela est dû à une mauvaise maîtrise de soi et à une faible tolérance à la frustration. Cependant, ce ne sont pas les seules causes. Sous la colère se cache aussi très souvent une couche de tristesse que nous ne savons pas affronter, et encore d'autres sentiments ou émotions refoulés.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
"Pour calmer une crise de nerfs, il faut l'accueillir quand elle se déclare et ne pas la réprimer. Vous pouvez tout à fait pleurer, crier, taper dans un coussin, écrire, sortir courir, trouvez ce qui vous fait du bien pour gérer vos émotions.
La première astuce consiste à dire STOP suffisamment tôt avant que le conflit ne s'installe. lorsqu'on se laisse aller dans le conflit les relations s'envenime et on dénature la relation. Parce qu'on passe dans l'énervement. Si vous pensez à dire STOP avant de rentrer dans le conflit.
Alors, le magazine Pèlerin nous révèle les neuf règles d'or pour se parler sans crier. C'est ce qu'on appelle la Communication Non Violente. Ne pas chercher à convaincre à tout prix, savoir écouter, ne pas juger, cela parait de bon sens et assez vertueux.
Mieux prendre conscience de ses émotions
Le simple fait de prendre conscience de sa colère, lorsqu'elle est présente, est fondamental. La méditation, l'écriture, ou la thérapie peuvent aider à mettre des mots sur les émotions et à prendre conscience de ce que l'on ressent.