Dès que votre chaton montre un comportement agressif et commence à vous griffer ou à vous mordiller, dites-lui d'un ton ferme et déterminé « on ne mord pas » ou « on ne griffe pas ». Bien entendu, ce ne sont pas les mots que votre animal comprendra, mais le ton de votre voix.
Essayez de l'ignorer et de détourner votre regard du sien pour ne pas lui montrer que vous voulez le dominer. Regardez-le avec les yeux mi-clos, comme le chat le fait lui-même quand il se relaxe. Changer sa cible en lui donnant un jouet pour lui montrer ce qu'il peut mordre.
Dans ce genre de cas, il faudra de votre côté le rassurer, en lui parlant d'une voix douce et en le caressant si il l'accepte (et uniquement si il le veut bien, il ne faut jamais forcer un chat apeuré), et éventuellement consulter un comportementaliste si jamais cette réaction se répète trop souvent.
Si votre chat vous mord fort quand vous approchez votre main, interdit de le frapper ou de lui affliger la même douleur. Commencez par gronder le chat et sa bêtise. La prochaine fois, s'il ne le refait plus, caressez-le ou donnez-lui une croquette.
La peur. Si votre chat a peur et qu'il se trouve dans l'incapacité de fuir, il se montrera agressif. C'est alors son seul moyen de défense face au danger. Incapable de se contrôler, il peut devenir rapidement violent et vous attaquer.
Le chat feule par douleur
N'hésitez pas à diffuser des phéromones apaisantes pour vous aider à le relaxer. Ne grondez jamais votre animal lorsqu'il feule et ne forcez pas le contact, car dans tous les cas, vous ne feriez qu'aggraver le problème. Calmez-vous et soyez patient pour l'aider à s'apaiser.
Le chat doit comprendre qu'il n'a pas le droit de monter sur la table. Dès qu'il s'apprête à sauter, il faut lui dire « Non ! » très fermement, sur un ton sec, et employer toujours le même mot et le même ton, chaque fois que le minou réitère sa tentative.
Il contracte sa queue
Vous pouvez en apprendre beaucoup rien qu'en observant sa queue. Tout comme elle se gonfle quand votre chat est effrayé ou agité, sa queue se contracte à la pointe lorsqu'il se sent heureux. Donc s'il contracte sa queue en s'approchant de vous, soyez-en sûr, vous êtes le centre de son monde.
Si votre chat grogne, n'en déduisez pas immédiatement qu'il a un sale caractère ou un comportement teigneux ; il essaye de vous dire quelque chose. Le grognement ou le feulement sont des signes de mécontentement. Ce sont des moyens pour votre chat de vous avertir d'une situation gênante ou d'un élément stressant.
La valériane, le houblon, la camomille, la passiflore et autres fleurs de Bach sont des plantes dont les extraits sont reconnus pour leurs vertus apaisantes.
S'il mord des gens, les scénarios les plus communs sont ceux de sessions de jeux et de caresses. Cependant, les chats peuvent aussi mordre une personne par peur, par frustration, ou pour attirer l'attention, et même dans certains cas, pour un problème médical.
Agrandir leur espace utile permet parfois de rendre un conflit entre chats supportable. Dans certains cas vraiment avancés, une prise en charge médicamenteuse peut s'avérer nécessaire, n'hésitez pas à en parler à votre vétérinaire !
Le miaulement est une méthode de communication à destination de l'homme. En effet, les chats ont appris qu'ils ne pouvaient pas communiquer avec nous comme ils le font avec les autres chats. De ce fait, ils ont développé le miaulement pour communiquer avec les humains.
Les bisous : une marque d'affection reconnue par les chats
Un geste appris auprès de leur mère qui est signe de bien-être et d'amour entre eux. Si vous faites un bisou à votre félin, il devrait alors réagir positivement, c'est-à-dire en ronronnant, ou en frottant sa tête contre vous par exemple.
Les chats détestent les odeurs fortes.
En raison de ça, ils sont sensibles aux odeurs qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Évitez de leur mettre sous le nez des oignons, ails, de la cannelle, du vinaigre ou encore des huiles essentielles.
Votre chat vous suit partout car... il est hyper-attaché à vous et a du mal à rester seul. Il y a certains chats qui suivent leur maître de partout pour une autre raison : ils sont hyper-attachés à leur maître et ont du mal à rester seul. Le chat considère son maître comme sa maman et lui-même comme un petit chaton.
Une fois sa période d'activité intense passée, le chaton devient plus calme à partir de 6 à 8 mois. Le chat va avoir tendance à trouver des activités plus calmes lorsqu'il est réveillé. Par exemple, il pourra observer par la fenêtre ce qui se passe à l'extérieur.
Lorsqu'un chat crache et feule, c'est qu'il cherche à se montrer impressionnant. En temps normal, il adopte ce type d'attitude pour se défendre en cas d'attaque d'un congénère ou d'un autre animal, pour éloigner quiconque de sa gamelle ou de la proie qu'il vient de chasser.
Un chat qui ferme les yeux avant de les rouvrir exprime sa confiance, puisqu'il se place ainsi en état de vulnérabilité. Le maître peut à son tour lui envoyer le même signal. Si les pupilles sont dilatées, le chat est en état d'excitation (colère, peur, vigilance extrême…).
La première raison qui explique qu'il attaque vos pieds est tout simplement le fait que son ADN le pousse à vous chasser. C'est d'ailleurs son comportement de proie et de chasseur qui fait qu'il se cache sous le lit, se protégeant d'une menace, pour ensuite plus facilement attaquer vos pieds.
Les chats ont de nombreuses raisons de ne pas s'entendre. D'une part, ces sont des animaux territoriaux : il y a donc un risque qu'ils se battent pour leur espace. Ils peuvent même en venir aux pattes (et griffes !) s'ils se sentent menacés ou mal à l'aise !
En général, il est recommandé d'adopter un second chat qui soit déjà stérilisé ou un animal dont le sexe est différent du chat précédent. En effet, les femelles sont généralement plus territoriales ; la présence d'un mâle permettra donc de limiter les tensions.
Les manifestations fréquentes du stress chez le chat sont : malpropreté, marquage urinaire, léchage excessif et automutilation, reste immobile ou caché, agression (contre l'homme ou d'autres animaux), miaulements plus fréquents, perte d'appétit ou au contraire augmentation d'appétit, état de vigilance permanent.