Ce minuscule substantif masculin du registre argotique désigne, en verlan : le cul. On dit par exemple, dans le registre vulgaire : "Tu vas l'avoir dans le uc".
Keuf est un terme péjoratif désignant un homme ou une femme remplissant la fonction de policier. Le terme proviendrait d'une autre expression pour désigner une personne remplissant les missions de police, flic, dont la prononciation inversée donnerait keuf.
Le terme keum s'est développé à la fin du XXe siècle avec l'apparition du langage verlan. Il permet de désigner une personne de sexe masculin de façon argotique. Un keum est donc un homme ou un mec.
Nom commun. (Populaire) (Au singulier) Policier ; agent de police.
Soeur : reusseu : reuss.
Iench : verlan de chien.
“Cimer” est le verlan de “merci”. Il se prononce “cimère” et est très utilisé dans le langage courant.
Nom 1 : Emprunt supposé au vocabulaire des colonies africaines, du portugais conde (gouverneur), du latin comes, comitis. Selon cette hypothèse, il s'agit d'un mot apparenté à comte. Désigne à l'origine (argot du XIX e siècle) une autorisation, puis celui qui la donne ou la reçoit, enfin un policier.
22 v'là les flics apparaît au XIXe siècle. Cette expression était utilisée pour donner l'alerte quand la police approchait. 22 était un terme argotique utilisé par les brigands signifiant "couteau".
agent, agent de police, gardien de la paix, gendarme, îlotier. – Argotique : bourre, roussin. – Familier : hirondelle, shérif. – Populaire : cogne, flic, keuf, perdreau, poulet, vache.
Cheum : verlan de « moche ».
Enfin, les jeunes peuvent régulièrement se plaindre d''avoir le seum', ce qui est une expression pour dire que l'on est horripilé au plus haut point. Le terme 'seum' vient du mot arabe 'sèmm' qui signifie 'venin'. Autrement dit, quand on a le seum, on a la rage.
« Kiffer » est un mot d'origine arabe qui a plusieurs significations : aimer, adorer, ressentir une sensation de plaisir, etc. Quand on parle de quelqu'un, « kiffer » veut dire qu'on ressent une attirance (surtout physique mais parfois émotionnelle) pour cette personne. On peut aussi dire : « Je le / la kiffe ».
« Cette caserne ayant été bâtie sur l'emplacement de l'ancien marché aux volailles de Paris le sobriquet de poulet est alors donné aux policiers », explique le ministère de l'Intérieur sur son site internet. Le surnom est donc d'abord donné aux policiers parisiens avant de s'étendre à tous en France.
Ce « Ara » est un terme utilisé par les guetteurs pour avertir les trafiquants de drogue de la présence des policiers.
Ainsi, si l'un des employés se mettait à crier «22» à ses collègues, c'était pour indiquer que le chef arrivait et qu'il fallait vite interrompre une pause non autorisée par le patron. Le «44» a même été un temps utilisé pour indiquer l'arrivée du grand patron, mais c'est le «22» qui s'est imposé dans le langage.
Schmitt est un terme argotique employé pour désigner un policier, un gendarme. Il provient de l'allemand "Schmitt" qui signifie "forgeron".
Lorsque Gutenberg utilisait une police de 12 points, c'était le moule et non la lettre imprimée mesurable, qui avait une taille de 12 points. Cela signifie que la taille du moule est généralement toujours plus grande que la police de caractères réelle.
Argotique qualifie ce qui a rapport à l'argot, c'est-à-dire au langage conventionnel, particulier à un groupe, à une profession, à une classe sociale, etc. Exemple : Le grand-père a une façon de parer bien à lui, il mélange en effet des mots argotiques à un français moderne. Ça donne parfois des phrases amusantes.
djeuns, mecton, neujeu.
bien foutu, choucar, choukar, frais, michto, soin, top.
En argot, un chat s'appelle un « greffier ».
D'autres synonymes plutôt familiers sont les mots anglais hello et hey . En argot, on trouve aussi yo , wesh , kikou , etc.
Clébard est le terme argotique qui sert à désigner un chien, généralement pour signifier qu'il n'est pas apprécié et indésirable. Quand un chien est appelé clébard, le ton est péjoratif, voire hostile.