Quels sont les symptômes de l'aponévrosite plantaire ? Le principal symptôme de l'aponévrosite plantaire est une forte douleur, située à la base du talon ou au niveau de la voûte plantaire. Les patients décrivent souvent cette douleur comme une sensation d'avoir des “clous dans le talon”.
Diagnostic d'aponévrosite plantaire
Il est affirmé par l'examen clinique et ne nécessite en principe aucun examen complémentaire. Il consiste à tendre l'aponévrose en mettant les orteils en flexion dorsale. L'aponévrose plantaire apparaît sous la peau. Sa palpation directe déclenche de vives douleurs.
La cause la plus fréquente d'aponévrosite est un raccourcissement ou une rétractation des muscles du mollet, provoquant un stress mécanique excessif sur l'aponévrose plantaire.
Massez-vous avec la balle pour optimiser le massage en profondeur, pendant 3 à 4 minutes. Faites le debout, en dosant plus ou moins le poids à mettre contre le pied. Vous pouvez le faire minimum 3 fois par semaine et après chacun de vos entraînements.
Le premier exercice est l'étirement de l'aponévrose. En position assise, placez le pied douloureux sur le genou (comme si vous croisiez les jambes) puis attrapez vos orteils pour les mettre en extension. Assurez-vous de bien ressentir la tension dans l'aponévrose avec l'autre main.
Une aponévrosite plantaire est généralement bénigne et 95% des patients guérissent grâce à l'association de plusieurs traitements, sans chirurgie. Un second avis est tout à fait pertinent pour les cas complexes impliquant des douleurs résistantes aux traitements.
Surtout, veillez à la présence d'un léger talon compensé. D'une taille inférieure à trois centimètres, il permettra de soulager la tension de l'aponévrose plantaire et de réduire ainsi l'inflammation.
En fonction des méthodes utilisées pour soulager vos douleurs, une fasciite plantaire peut prendre entre 3 et 6 mois avant de disparaître complètement. Dans certains cas, cela peut s'étendre jusqu'à 12 mois.
En plus de la présence des symptômes précédents, la fasciite plantaire peut se diagnostiquer grâce à un examen clinique, réalisé par un professionnel de santé. Il peut s'agir de votre médecin, de votre kinésithérapeute ou de votre ostéopathe.
L'aspirine ou l'ibuprofène (Advil®, Motrin®, Apo-Ibuprofen®, etc.) peut aider à soulager temporairement la douleur.
La fasciite plantaire est une douleur provenant de l'épaisse bande de tissu appelée « aponévrose plantaire », qui s'étend du talon à la base des orteils (avant-pied). Le tissu conjonctif entre le talon et l'avant-pied peut être lésé et douloureux.
Lorsque vous souffrez d'une fasciite plantaire, il est vraiment important de ne pas vous promener pieds nus ou avec des chaussures plates sans support (comme des tongs ou des converses). Choisissez une chaussure de soutien qui peut soulager votre fascia plantaire.
Le principal signe évocateur d'une épine calcanéenne est la douleur localisée au niveau du talon, sans notion de traumatisme violent particulier. La douleur est très vive au lever, elle peut irradier dans tout le pied ou la jambe. L'examen permettant de diagnostiquer avec certitude l'épine est la radiographie du pied.
La radiologie standard est l'examen de référence avec différentes incidences en fonction de la symptomatologie et des premières orientations diagnostiques. L'étude des aplombs et de l'empreinte plantaire se fait à l'aide d'un appareil appelé podoscope.
« En prévention, les étirements réguliers des muscles de la chaîne postérieure et notamment le triceps sural (mollet) sont préconisés, ainsi que l'aponévrose plantaire elle même. L'hydratation aussi qui reste primordiale chez le sportif régulier.
Causes. La fasciite plantaire se manifeste à la suite d'une traction trop importante ou constante du fascia plantaire, entraînant des microtraumatismes ou déchirures. Une réaction inflammatoire s'installe ensuite, causant la fasciite plantaire.
L'aponévrosite ou fasciite plantaire est la principale cause de douleur au pied. Il s'agit d'une inflammation de l'aponévrose qui recouvre toute la voûte plantaire. L'inflammation est due souvent à un excès d'utilisation du pied, lors par exemple de la pratique d'un sport.
Elle est favorisée par différents facteurs : Une sur-sollicitation, notamment sportive – course à pied, longues marches, sports à impacts répétés. Une station debout prolongée. Des troubles architecturaux statiques ( pied plat, pied creux) ou dynamiques (valgus, varus, pronation …) de l'arrière du pied.
Très souvent, la talalgie résulte d'une lésion de l'aponévrose plantaire, c'est-à-dire le ligament qui relie les orteils au calcanéus. Médicalement, on parle de fascite ou aponévrosite plantaire.
La reprise sportive est progressive et on privilégie les sports portés comme le vélo ou la natation. Si on pratique la course à pied, on compte un arrêt de 6 semaines à 3 mois en fonction de l'atteinte et des douleurs (on doit avoir le moins de douleurs possibles pour favoriser la cicatrisation du périoste).
Mettre de la glace
Afin de soulager les terminaisons nerveuses, la glace est une bonne solution. Elle agit comme une anesthésie locale. La sensibilité est altérée et la douleur disparaît pendant quelques minutes. L'application de glace peut être renouvelée jusqu'à 5 fois dans la journée.