Diagnostic. Le diagnostic de la maladie de Wilson repose sur la mise en évidence d'anomalies biochimiques en rapport avec des anomalies du bilan cuivrique. Le taux sanguin de céruléoplasmine, protéine de transport du cuivre, est en général abaissé, voire effondré.
Le diagnostic de la maladie de Wilson repose sur la mise en évidence d'anomalies du bilan du cuivre. Le taux sanguin de céruléoplasmine (protéine de transport du cuivre) est en général abaissé, voire effondré. Paramètre indispensable au diagnostic, la mesure du cuivre urinaire montre un taux presque toujours élevé.
Diagnostic de l'excès de cuivre
Les médecins mesurent les taux de cuivre et de céruloplasmine dans le sang ou dans l'urine.
La maladie de Wilson est une maladie génétique héréditaire rare. Elle se transmet de façon autosomique récessive, c'est-à-dire que le gène responsable de la maladie est récessif. Pour que la maladie se déclare, un enfant doit avoir hérité de deux gènes défectueux (récessifs), un de chaque parent.
Se détoxifier et nettoyer le corps
Afin d'éliminer les métaux lourds par le processus de détoxification, il est essentiel dans un premier temps de chélater* ces métaux nuisibles avec certains nutriments comme la chlorella, antioxydant naturel, le chardon-Marie et la chicorée.
Aujourd'hui, on a beaucoup recours à la chlorelle pour détoxifier le corps des métaux lourds. C'est une algue verte, similaire à la spiruline, mais qui contient plus de chlorophylle. Ceci lui confère une efficacité plus prononcée contre les métaux lourds.
Au quotidien, boire un jus de citron dilué dans de l'eau tiède tous les matins permet de détoxifier l'organisme et de nettoyer le foie. En stimulant la production de la bile, le citron aide le foie. Cette cure detox ne doit toutefois pas dépasser une période de 21 jours, au risque de fatiguer le foie.
Le traitement repose sur un régime pauvre en cuivre et des médicaments comme la pénicillamine ou la trientine. La maladie de Wilson est un trouble du métabolisme du cuivre qui touche les hommes et les femmes; 1 personne sur 30 000 en est atteinte.
L'hépatite C est plus grave que l'hépatite A et beaucoup plus grave que l'hépatite B. L'hépatite A se transmet par contact avec une personne qui ne s'est pas lavé les mains après avoir été à la toilette, ou par de la nourriture ou de l'eau contaminée. Elle n'entraîne pas d'infection ou de lésion hépatique à long terme.
La maladie de Wilson (MW) ou « dégénérescence hépato-lenticulaire » est une affection génétique de transmission autosomique récessive. Il s'agit d'une toxicose cuprique caractérisée par une accumulation tissulaire de cuivre libre, essentiellement hépatique, cérébrale et péri-cornéenne.
En l'absence de marqueur biologique spécifique, le diagnostic de la maladie périodique repose sur une analyse sémiologique rigoureuse, confirmée éventuellement par un test thérapeutique par la colchicine.
La personne présente des symptômes qui doivent alerter : un état de fatigue, des courbatures, des frissons, des maux de tête ainsi qu'une tachycardie et des difficultés respiratoires. Elle peut aussi montrer des signes de confusion mentale.
Pour le cuivre urinaire des 24 heures, un seuil de 0,64 à 1,6 μmol/24 heures utilisé dans les critères de Leipzig a atteint une sensibilité variable de 50,0% à 80,0%, avec une spécificité de 75,6% à 98,3%.
Une personne atteinte d'insuffisance hépatique présente en général une jaunisse, une ascite, une encéphalopathie hépatique et un mauvais état général. La jaunisse donne une teinte jaunâtre à la peau et au blanc des yeux (sclérotiques). L'ascite peut provoquer un gonflement abdominal.
Elle se manifeste par des nodules (formations cutanées arrondies et saillantes) douloureux, et des abcès (amas de pus collecté dans une cavité). Elle évolue vers des écoulements de pus, des fistules (canal d'où s'écoule un liquide) et une cicatrisation en relief (cicatrisation hypertrophique).
Trouble congénital rare du métabolisme du cuivre qui s'accompagne des manifestations multisystémiques sévères, caractérisées principalement par une neurodégénérescence progressive et des anomalies marquées du tissu conjonctif.
Les fruits rouges, comme le cassis, la myrtille ou la fraise, sont particulièrement riches en vitamine C. "Ils seraient bénéfiques pour améliorer la santé du foie et agir contre l'oxydation des cellules, notamment celles du foie", indique le Professeur.
Les œufs font mal au foie. Vrai ou faux ? Faux. Chez les personnes les plus sensibles, la consommation d'œufs cuits dans de la matière grasse peut entraîner de douloureuses contractions de la vésicule biliaire : cette fameuse crise de foie improprement nommée n'affecte en rien le foie !