Combattre un requin. Frappez au niveau de la tête et des branchies. Faire le mort ne découragera pas un requin agressif. Votre seule solution, si vous êtes attaqué, est de montrer au requin que vous êtes une menace qu'il ne peut pas prendre à la légère.
Quoi qu'il en soit, il faut éviter de fuir en tournant le dos au requin, ce qui risque d'être interprété comme un comportement de proie. Il vaut mieux rester face à lui, et nager calmement et vivement sur le côté. Faire du bruit (en tapant du plat des mains sur l'eau ou en criant) peut l'effrayer.
"Au fur et à mesure que le requin se rapproche, assurez-vous de maintenir un contact visuel, tendez la main et verrouillez votre coude, détaille-t-elle. Vous devez ensuite poser votre main à plat sur le dessus de la tête de l'animal afin de vous pousser au dessus de lui.
· Garder son calme
La première chose à faire est de rester calme et de ne pas paniquer. Il ne faut pas chercher à fuir ou à faire du bruit. "Sinon, on se comporte comme une proie et on va attirer la curiosité du requin", détaille Lucien Besnard.
Les orques, meurtrières intrépides.
Les orques, ces fins gourmets
Que des orques puissent tuer des requins blancs n'est finalement pas si surprenant.
Ils chassent les phoques, les thons et de nombreux autres grands animaux marins. Difficile de penser que ces monstres des mers puissent avoir peur de quelque chose… Et pourtant, des scientifiques ont découvert que le grand requin blanc pourrait craindre une autre créature : l'orque !
Les points faibles du requin à viser absolument en cas de combat au corps-à-corps : les yeux, le nez et les branchies. N'hésitez pas à venir en aide à un autre nageur en danger, les requins changent rarement de cible. Enfin, sachez que les chances de se faire attaquer par un requin seraient de 1 sur 11,5 millions.
Taper sur le nez du prédateur
«Il leur tapait sur le nez ou les branchies. Ces zones couvertes de capteurs sont très sensibles, ça peut les dissuader», ajoute le biologiste.
L'homme n'est pas une proie des requins. Il s'agirait plutôt d'une curiosité autour de laquelle ils peuvent venir zoner. S'ils attaquent des surfeurs et non des plongeurs, c'est probablement parce qu'ils confondent les planches avec d'autres animaux qui sont ses proies naturelles.
Les requins qui attaquent les humains le font généralement par erreur ou accident. Ils confondent la personne avec une proie (tortues, otaries, …). Cela les poussent, la plupart du temps à lâcher la personne sans s'acharner. Entre temps, la victime peut mourir des suites de la blessure de cette attaque.
Le plus souvent l'attaque proviendrait d'une erreur d'identification ou serait motivée par la curiosité ; cette dernière hypothèse est crédible aux yeux de spécialistes du grand requin blanc comme R. Aidan Martin.
Le principal avantage des dauphins sur la force des requins est leur intelligence. Grâce à l'écholocalisation, les dauphins peuvent naviguer rapidement dans l'eau pour éviter ou attaquer les requins. Les requins sont des prédateurs solitaires, alors que les dauphins se déplacent tout le temps en groupes appelés banc.
On sait que les requins peuvent être attirés par des couleurs vives ou scintillantes. Et qu'ils sont plus attirés par le jaune et le rouge, que par le blanc et noir qui les repousseraient (d'où l'invention du Shark Camo).
Le requin longimane, spécialiste des catastrophes
Le requin longimane "est considéré comme potentiellement dangereux pour l'homme. C'est souvent la première espèce observée dans les eaux entourant les catastrophes en milieu océanique", explique le Florida Museum.
Généralement dépeints comme des machines à tuer dénuées de toute espèce de raisonnement, les requins sont en fait bien plus intelligents qu'on ne le croit. Observer, planifier, mémoriser : ces capacités cognitives semblent présentes chez au moins trois espèces de requins étudiées par les scientifiques.
Tous les requins ont de cinq à sept paires de branchies sur le côté de la tête. L'échange gazeux se produit au niveau des branchies et l'eau oxygénée doit toujours s'écouler sur les filaments branchiaux pour assurer la respiration.
Il y a aussi le bétonnage de l'île, qui empêche l'infiltration dans le sol de l'eau douce, laquelle ruisselle donc jusqu'à la mer et diminue la salinité de l'eau, fournissant aux requins-bouledogues les eaux saumâtres qu'ils affectionnent particulièrement.
Oui, nous parlons bien du requin blanc ! En vérité, il est installé en Méditerranée depuis très longtemps, et plus précisément depuis 3.2 millions d'années ! On estime qu'en tout, ils doivent être à peu près une centaine d'individus à évoluer au large et surtout dans les profondeurs.
Les requins sont attirés par certaines couleurs plus que par d'autres. Les couleurs vives, et particulièrement le jaune (des plongeurs parlent du jaune miam miam), semblent attirer les requins des zones tropicales. Les couleurs sombres qui ne contrastent pas avec les eaux semblent protéger des attaques de requin.
Ce dernier diffuse donc de la lumière dans le but d'intriguer ses futures proies : les petits poissons ou crustacés sont irrémédiablement attirés par cette lueur peu commune. Le requin a ainsi tout le loisir de leur attraper de manière furtive.
Le rémora est un poisson qui vit dans les eaux chaudes. Il est aussi connu sous le nom de poisson-suceur. Car il a pris l'habitude de se coller -- à l'aide d'une ventouse naturelle -- sur la peau des requins, notamment. Là, il se nourrit des parasites et bactéries qui s'y trouvent.
Les araignées en tête
Sans trop de surprise, l'araignée semble être la grande gagnante. Les arachnides ont en effet obtenu un score de 4,39 points sur 5 pour le sentiment de peur, et de 4,47 points sur cinq pour le sentiment de dégoût. Les chercheurs expliquent cette crainte quasi généralisée par plusieurs facteurs.
Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.