Beau-frère Mari de la soeur ou de la belle-soeur. Frère du conjoint.
LVI. − Nièce par alliance. Fille du beau-frère ou de la belle-soeur.
Définition - belle-soeur.
nièce n.f. Fille du frère ou du beau-frère, de la sœur ou... arrière-neveu n.m.
− Neveu par alliance. Fils du beau-frère ou de la belle-soeur.
neveu n.m. Fils du frère ou du beau-frère, de la sœur ou... petit-neveu n. Fils, fille du neveu ou de la nièce.
BEAU-FILS).
Belle-soeur Epouse du frère ou du beau-frère.
1. Gendre. 1. Mari de la soeur ou de la belle-sœur.
Locution nominale
Personne que l'on considère comme sa sœur sans avoir de lien biologique avec elle.
Je sais qu'en français on dit "belle soeur" pour parler de la soeur du conjoint.
Les liens de parenté par filiation
Les parents, les frères et les sœurs ainsi que leurs descendants (neveux et nièces du défunt). Les ascendants autres que les parents (grands-parents et arrière-grands-parents du défunt). Les collatéraux ordinaires (oncles, tantes, cousins, cousines du défunt).
La prise en compte des demi-frères et demi-soeurs, c'est-à-dire des enfants qui partagent un parent en commun, conduit à étendre la définition des fratries, puisque certains de ces enfants sont alors des « quasi-frères » ou « quasi-soeurs », soit des enfants sans lien de sang mais dont les parents forment un couple.
Fils du grand-oncle ou de la grand-tante d'une personne. On est pour son grand-cousin un petit-cousin ou une petite-cousine.
Beau et belle étaient des préfixes affectueux utilisés au Moyen Age au sein d'une famille, entre père et fils par exemple.
Étymologie de « belle-sœur »
(Date à préciser) Composé de belle, terme de courtoisie et d'affection, féminin de beau, et de sœur.
Georges, le mari de ma mère (mon beau-père), était [...]
Le mari de ma nièce est bien mon neveu par alliance, et ce lien tante-neveu ou oncle-neveu dure le temps de l'engagement de l'alliance qui nous lie, normalement pour la vie.
Beau-frère : Mari de la sœur ou de la belle-sœur. Frère du mari ou de la femme. Beau-père : Père de la femme par rapport au mari. Second mari de la mère par rapport aux enfants de celle-ci.
Le 'beau' était l'équivalent de 'cher', comme lorsque l'on dit aujourd'hui 'cher monsieur' ou 'cher ami'. Au 13ème siècle déjà, quand Saint-Louis s'adressait à son fils, il disait mon "biau fils". Au 14ème siècle, on emploie facilement le terme de 'bon père' et 'bonne mère' pour désigner ses parents.
La sœur de ma mère n'est nulle autre que ma tante. Tout comme le frère de ma mère est mon oncle, la sœur de ma mère est ma tante. Que cette sœur soit née avant ma mère ou après ma mère, elle demeure ma tante.
Ma petite-nièce (l'enfant de ma nièce ou de mon neveu) et moi sommes séparés par deux générations, et trois générations me séparent de mon arrière-petite-nièce (la petite-fille de ma nièce ou de mon neveu).
Les beaux-parents, eux, sont le père et la mère de l'autre conjoint, tandis que la belle-famille est celle du conjoint. Un beau-petit-fils et une belle-petite-fille sont les enfants d'un gendre (beau-fils) ou d'une bru (belle-fille).
Le plus souvent se met en place une habitude. Pour nommer ses beaux-parents, il existe six possibilités : appeller sa belle-mère par son nom de famille, par son prénom, par « belle-maman », par « maman », par « mamie » ou « mémé », ou éviter.