Leurs frères et sœurs qui respectent cette non-binarité ne les appellent pas « mon frère » ni « ma sœur » car ces appellations sont genrées, mais plutôt « mon adelphe », sans faire mention du genre du mot. Au pluriel, le mot adelphe désigne les frères et sœurs d'une personne, les autres membres de sa fratrie.
Le mot adelphe a pour dérivés « adelphique », « adelphité » et « adelphie ». Adelphique s'emploie comme synonyme non genré de fraternel. Adelphité est synonyme à la fois de fraternité et de sororité.
En voici d'autres : ael, ille, ielle, im, em. De plus, une personne agenre ou non binaire pourrait très bien utiliser des pronoms binaires (il/elle), ou bien une combinaison de pronoms et néopronoms (elle/ielle/iel).
Adelphe, adelphie. Mots tirés du grec et qui signifient union, frère. Cette expression s'applique principalement aux filets des étamines lorsqu'ils sont réunis en faisceaux. En raison du nombre de ceux-ci, les fleurs sont dites monadelphes, diadelphes, polyadelphes, suivant qu'ils forment un, deux, etc.
Le mot adelphe a pour dérivés adelphique , adelphité et adelphie . Adelphique s'emploie en écriture inclusive comme synonyme non genré de fraternel . Idem pour adelphité qui est synonyme à la fois de fraternité et de sororité , qui les inclut tous les deux.
Au début des années 2010, le mot "iel" a été pensé pour pallier un manque dans la langue française. Les pays anglo-saxons, eux, avaient recours au pronom "they" pour évoquer les personnes non-binaires. Pratique, car en anglais they est un mot épicène, c'est-à-dire qui neutralise le genre.
Le néologisme xénogenre vient du grec xeno (l'autre). Les xénogenrés (ou xenogenders en anglais) sont donc des individus qui s'identifient à un « autre » genre : animal, végétal, objet inanimé ou même « humeur », précisent les réalisateurs du documentaire.
La non-binarité représente les identités de genre autres que la binarité exclusive homme/femme. Les personnes non-binaires peuvent se sentir comme ni homme ni femme, comme les deux, ou comme toutes autres combinaisons des deux. La non-binarité inclus les identités en lien avec la fluidité des genres.
Le mot belleau est l'une des formes du mot beau , belle , mais elle n'est ni son masculin, ni son féminin : la forme belleau se veut neutre, elle ne mentionne pas de genre. Elle s'utilise lorsqu'on parle d'une personne non binaire, ou bien pour qualifier une personne dont on ignore le genre.
La formulation neutre privilégie l'utilisation de noms, d'adjectifs et de pronoms qui ne présentent pas d'alternance masculin/féminin tout en ayant un genre grammatical qui leur est propre. Ces mots désignent aussi bien des personnes non binaires que des personnes s'identifiant au genre féminin ou masculin.
Le terme d'adelphité, plus « neutre » et surtout plus inclusif, regroupe à la fois la fraternité et la sororité, sans dimension ni mention genrée ; et désigne la solidarité entre ses semblables, qu'ils soient hommes, femmes ou non binaires.
Le département d'État, chargé des relations internationales, a déclaré sur CNBC que toutes "les personnes non-binaires, intersexes et ne se conformant pas aux genres" auront accès à cette option d'ici le début de 2022. La première personne a y avoir droit est Dana Zzyym, activiste intersexe du Colorado (en photo).
CISGENRE: se dit d'une personne dont l'identité de genre (masculin ou féminin) correspond au sexe avec lequel elle est née. C'est le contraire d'une personne transgenre.
Les personnes non-binaires peuvent ne se sentir ni homme ni femme, les deux, ou toute autre combinaison des deux. Le terme « non-binaire » désigne donc toutes les possibilités en dehors d'une identité strictement féminine ou masculine.
Les personnes atteintes de syllogomanie (thésaurisation pathologique) ont toujours une telle difficulté à jeter ou à se séparer de leurs biens que les objets s'accumulent et encombrent les espaces de vie au point de les rendre invivables.
La binarité de genre, aussi appelée binarisme de genre, bicatégorisation, genrisme ou genderisme, est un concept utilisé en sciences sociales pour désigner la catégorisation de l'identité de genre en deux et uniquement deux formes distinctes et complémentaires : masculin et féminin.
Le pronom le plus couramment associé aux personnes non binaires est « iel » accordé par le biais de l'écriture inclusive. Certaines personnes utilisent « elle » ou « il », d'autres encore alternent différents pronoms, et il existe d'autres pronoms comme « ol » et « ael ».
"Iel", pronom personnel à mi-chemin du masculin "il" et du féminin "elle", est défini dans Le Robert en ligne depuis novembre. L'éditeur a annoncé l'avoir fait entrer dans son édition 2023 du Petit Robert. Au départ, Le Robert précisait sur son site internet "on écrit aussi ielle, ielles".
frangin, frelot, frolot, khey, kho, refré, reuf, reufré.
Publié le 27 juin 2019 à 18:52. Modifié le 10 juin 2023 à 15:11. Le mot «sororité» n'est pas très élégant, ni harmonieux, sa sonorité n'est pas douce à l'oreille et il est très peu utilisé comparativement à son équivalent masculin. Ah, la fraternité!
"Liberté, égalité, fraternité" est la devise de la République française.
"Fluide" (ou "genre fluide") désigne une personne dont l'identité sexuelle est changeante, qui passe du masculin au féminin, voire au genre neutre.