L'hydratation. Les reins servent à trier les déchets et les toxines présents dans le sang. Pour aider les reins, il faut les drainer, or, le meilleur moyen de favoriser ce drainage est de boire de l'eau. Pour rester hydraté, il faut boire 6 à 9 verres d'eau en dehors des repas.
Boire beaucoup d'eau, 1 L et demi par jour, eau de source la plus pure possible (extrait sec à 180° le plus bas possible, autour de 20, c'est indiqué sur toutes les étiquettes). Faire des tisanes de plantes comme la verge d'or, la busserole, l'ortie qui sont diurétiques.
Conseil n° 1 : Adopter une alimentation alcalinisante
En limitant la charge acide de son alimentation, on peut ralentir le déclin de la fonction rénale. De manière générale, la viande, les fromages, les œufs, les céréales sont plutôt des aliments acidifiants, tandis que les fruits et légumes sont plutôt alcalinisants.
Les symptômes peuvent comprendre mictions nocturnes, fatigue, nausées, démangeaisons, soubresauts et crampes musculaires, perte d'appétit, confusion, détresse respiratoire et œdème du corps (le plus fréquemment au niveau des jambes). Des analyses de sang et d'urine sont nécessaires pour établir le diagnostic.
La dialyse est l'une des méthodes de traitement qui permet de suppléer certaines tâches des reins. La dialyse « chronique » (ou « thérapie de remplacement rénal ») devient nécessaire quand la fonction rénale s'est détériorée et fonctionne à moins de 15 % de sa capacité.
Le citron. Pour un résultat efficace, il faut le presser pour en faire un jus que l'on mélangera, si possible, avec du persil et un peu d'eau tiède. Le citron permet d'éliminer les déchets, dont certains petits calculs, et stimule le système immunitaire.
Veillez alors à limiter les aliments qui en sont riches comme les légumes crus, les légumineuses, les pommes de terre, les chips, le chocolat, les noix et les fruits. Les fruits secs ou confits, la banane, l'abricot, l'avocat et le melon, notamment, contiennent beaucoup de potassium.
Le pissenlit : En dépit de sa réputation de mauvaise herbe, le pissenlit est un véritable trésor naturel pour les reins et la vessie. Lui aussi possède de très intéressantes capacités diurétiques qui permettent de désengorger les reins de manière naturelle.
Les reins sont en charge de l'équilibre de notre organisme. En filtrant le sang, ils régulent la quantité d'éléments présents dans le corps. Si vous mangez une banane par exemple, ils s'activent pour éliminer l'excès de potassium.
La vitamine D active agit directement sur l'augmentation de l'absorption intestinale et la réabsorption tubulaire rénale de calcium, augmente la résorption osseuse et inhibe la sécrétion de PTH. Un déficit prolongé en vitamine D est la cause du rachitisme chez l'enfant et de l'ostéomalacie chez l'adulte.
Vous ne pouvez pas faire augmenter votre débit de filtration glomérulaire (DFG). L'objectif est d'empêcher votre débit de filtration glomérulaire de descendre pour prévenir ou retarder la défaillance rénale.
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.
Des chercheurs ont découvert un lien entre pathologies rénales et importante consommation de viande rouge. D'autres sources de protéines seraient donc à privilégier, telles que la viande de volaille ou le poisson.
Protéines – Selon le stade de votre maladie rénale, vous devrez peut-être limiter l'apport en protéines, ou au contraire en consommer davantage. Parmi les sources de protéines au petit-déjeuner : 100 g de yogourt, ¼ tasse de fromage cottage, 1-2 œufs, 1 c. à soupe de beurre d'arachides.
Les résultats montrent que les consommateurs de café auraient une diminution du risque de maladie rénale chronique (débit de filtration glomérulaire estimé (DFGé) <60mL/min/1,73m2) par rapport à ceux qui n'en consommaient pas.
Une eau faiblement minéralisée si votre alimentation est équilibrée : Evian, Volvic, Cristaline, Mont Roucous… Une eau riche en calcium si vous ne consommez pas assez de produits laitiers : Contrex, Hépar, Courmayeur…
La pratique du vélo, régulière et modérée, voire sportive, est recommandée pour ralentir et prévenir l'insuffisance rénale chronique et pour diminuer les risques cardiovasculaires.
Vers une médecine régénérative
Parce que ces résultats suggèrent que le rein adulte possède des capacités de régénération intrinsèques, modulées par la télomérase, des perspectives intéressantes se dessinent pour lutter contre l'insuffisance rénale chronique.
Le citron accélère la formation de calculs
Dans les reins, le danger provient de l'oxalate présent dans le zeste du citron. L'oxalate, en quantité trop importante, a un effet antioxydant sur les tissus du corps.
Les aliments principaux qui vont tonifier le Qi des reins sont les oléagineux (notamment les noix), les haricots rouges et les haricots azuki, le sésame noir (que l'on peut parsemer sur tous les plats ou intégrer dans des desserts sous forme de pâte).
Quel type d'eau ? Plate ou gazeuse, peu importe. Peu minéralisée (type Evian®, Volvic®, Cristaline®, Mont Roucous®) si l'alimentation est bien équilibrée par ailleurs. Riche en calcium (Contrex®, Hépar®, Courmayeur®) si la consommation de produits laitiers est trop faible (moins de 2 à 3 par jour).
À l'opposé, l'insuffisance rénale (urémie) est une cause d'accumulation du magnésium dans le sang. Dans le rein, le magnésium est un inhibiteur de la formation des calculs. Des taux urinaires bas de magnésium peuvent donc contribuer à la formation de calculs d'oxalate ou phosphate de calcium.