La rectite post radique se définit comme des lésions chroniques de la muqueuse et de la sous muqueuse du rectum secondaire aux radiations ionisantes.
Concernant les saignements, le traitement peut aller du traitement local par lavements et suppositoires qui ont une efficacité plutôt limitée, au traitement par coagulation par plasma argon qui se fait par coloscopie, le plus souvent sous anesthésie générale et habituellement en plusieurs séances.
Ce n'est pas une maladie grave, mais c'est une maladie chronique qui évolue par poussées. Ces poussées peuvent être fréquentes ou difficiles à traiter et entrainer une gêne importante dans la vie de tous les jours.
Le diagnostic repose sur la proctoscopie ou la sigmoïdoscopie, habituellement avec des cultures et une biopsie. Le traitement dépend de l'étiologie. (Voir aussi Évaluation des troubles anorectaux.
Le traitement repose sur une injection unique de ceftriaxone 500 mg, IM ou IV. La rectite à Herpès simplex virus est plus rare et elle ne survient que lors de la primo-infection.
La rectite provoque en général une douleur lors des efforts de défécation, un saignement indolore ou l'évacuation de mucus par le rectum. Lorsque la cause de la rectite est la gonorrhée, le virus herpès simplex, le virus de la variole du singe ou le cytomégalovirus, l'anus et le rectum peuvent être très douloureux.
une diarrhée, inconstante, accompagnée de glaires et de sang (4 à 20 selles par jour selon l'étendue des lésions rectocoliques) ; des douleurs abdominales (spasmes).
Symptômes de la maladie inflammatoire de l'intestin
Le principal symptôme de la colite ulcéreuse est la diarrhée accompagnée de sang et de mucus, avec ou sans douleur abdominale. Les symptômes de la maladie de Crohn sont plus variés.
Pendant la rémission, l'objectif est de cicatriser les lésions occasionnées par les poussées. Il m'est donc conseillé d'éviter les aliments irritants, comme une grande quantité d'alcool ou de graisses (en particulier les graisses cuites, difficiles à digérer).
L'effet bénéfique de l'activité physique sur la santé a été largement démontré sur la santé en général. Dans la rectocolite hémorragique, l'exercice peut provoquer une légère inflammation transitoire et augmenter les symptômes intestinaux. Mais une activité physique régulière et bien adaptée reste très bénéfique.
Elle se manifeste par une diarrhée accompagnée de sang et, le plus sou- vent, de douleurs abdominales intenses. De la fièvre et une perte de poids peuvent y être associées. La RCH évolue de manière imprévisible, généralement par poussées entrecoupées de périodes sans symptômes.
Des corticoïdes sont prescrits par voie orale ou sous forme de lavement, pour réduire l'activité excessive du système immunitaire. D'autres médicaments, les aminosalicylés, exercent une action anti-inflammatoire locale sur les parois du côlon et du rectum, sans devoir être au préalable absorbés dans le sang.
Le mal de ventre est le symptôme le plus fréquent dans le syndrome du côlon irritable. La douleur abdominale se caractérise par une sensation de spasme ou de crampe et se situe habituellement au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou dans la région de l'ombilic.
Une maladie gastro-intestinale peut en effet être responsable d'une douleur projetée dans le dos, telle que le syndrome du côlon irritable (colopathie fonctionnelle), l'appendicite ou d'autres causes plus graves comme un cancer ou une pancréatite.
Pour avoir une meilleure assimilation intestinale, il est important de désenflammer la muqueuse, notamment en consommant les fruits et légumes sous forme de jus frais (cela limite l'apport de fibres, qui peuvent être irritantes) grâce à un extracteur de jus de qualité.
Colopathie fonctionnelle : l'examen médical suffit le plus souvent. Dans la plupart des cas, un simple examen médical accompagné d'un interrogatoire adapté, parfois avec une période d'observation de quelques semaines, permet de poser le diagnostic de syndrome de l'intestin irritable.
L'activité physique, c'est donc marcher, jardiner, bricoler, jouer avec les enfants... et, bien sûr, faire du sport. Des exercices de relaxation, la sophrologie, le yoga, etc. peuvent, dans certains cas, être bénéfiques. Discutez avec votre médecin des moyens de gérer votre stress.
En pratique, en dehors des rares familles dans lesquelles plusieurs membres sont déjà atteints de MICI, le risque qu'un enfant né d'un père ou d'une mère ayant une MICI ait un jour la maladie n'est que de 1 % environ. En revanche lorsque les deux parents sont atteints d'une MICI, le risque augmente pour passer à 33%.
L'état d'invalidité est prononcé par le Médecin Conseil de la CPAM, lorsqu'il estime à 66 % l'amputation des potentialités de travail ou du gain du salarié.
La colite fulminante (ou colite toxique) est une complication particulièrement sévère. Chez près de 10 % des personnes atteintes de rectocolite hémorragique, une première poussée rapidement progressive devient très sévère, avec hémorragie massive, rupture (perforation) du côlon ou infection diffuse.