L'anosognosie est un trouble neuropsychologique assez méconnu dans lequel le patient n'a pas conscience de la maladie, des difficultés et de ses répercussions sur sa vie quotidienne.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences. Elle est source de difficulté de prise en charge et d'augmentation du fardeau de l'aidant.
Comment traiter l'anosognosie ? L'anosognosie est un trouble psycho-neurologique pour lequel il n'existe pas réellement de traitement puisqu'il est considéré comme un symptôme et non une maladie.
On peut évaluer l'anosognosie à trois niveaux : par un autoquestionnaire, par l'intermédiaire d'un référent aidant ou soignant ou encore par le bilan neuropsychométrique – l'évaluation de l'anosognosie se faisant toujours par un différentiel entre le patient et un outil de référence.
«L'oubli à long terme accéléré est une forme de trouble de la mémoire qui a été décrit chez des patients souffrant d'épilepsies temporales», explique les auteurs dans le Lancet Neurology.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Le ginseng qui est souvent considéré comme un stimulant de la mémoire et de la concentration. Proche du ginseng, l'éleuthérocoque qui aurait une action sur la mémoire mais ses effets sont plutôt considérés comme des effets anti-fatigue.
L'agnosie est un trouble gnosique, c'est-à-dire un trouble de la reconnaissance. Une personne agnosique ne parvient pas à reconnaître un objet, un son, une odeur ou encore un visage connu.
L'aboulie, signifiant littéralement l'absence de volonté, ou paralysie psychique, est un symptôme psychiatrique peu connu du grand public, et pourtant très invalidant. "Il se manifeste par l'incapacité, chez la personne qui en souffre, à initier des tâches, réaliser des actions, ou même ressentir des besoins.
C'est un trouble de la communication qui peut se manifester dans l'expression et/ou la compréhension orale ou écrite. Le langage oral, la lecture, l'écriture et les gestes peuvent être perturbés.
Lorsque les troubles sont graves et persistants, le médecin spécialiste (neurologue par exemple) peut adresser son patient à un Centre de Ressource Mémoire installé dans un Centre Hospitalier pour un bilan complet et approfondi.
La tachypsychie pourrait se scinder en deux composantes : les « pensées accélérées » et les pensées dites « grouillantes ». Dans un état hypomane, la tachypsychie semble être caractérisée par des « pensées accélérées » résultant d'une production d'idées excessives se succédant les unes après les autres.
La perte de mémoire, ou amnésie, peut se situer à différents niveaux : l'amnésie rétrograde caractérisée par l'oubli des souvenirs antérieurs au début de la maladie, c'est-à-dire des faits anciens ; l'amnésie antérograde se traduisant par l'oubli des événements au fur et à mesure qu'ils se présentent.
La clinophilie désigne le fait de toujours vouloir rester dans son lit ou ne plus vouloir sortir de chez soi. S'il ne s'agit pas d'une maladie, elle est le symptôme de pathologies psychiatriques.
Les personnes présentant une « prosopagnosie » ont une difficulté ou une incapacité à reconnaître des visages, le sien comme celui d'autrui. Elles ne peuvent se reconnaître sur une photo ou dans un miroir ni identifier la personne familière en face de soi ou dans un magazine.
La schizophrénie « paranoïde », la forme la plus fréquente de la maladie, se caractérise par la présence d'idées délirantes accompagnées d'hallucinations auditives et/ou visuelles, ayant un contenu de persécution ou de grandeur.
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
L'apathie est définie médicalement comme un déficit persistant acquis de la motivation rapporté par le sujet lui- même ou par l'entourage. Cet état contraste avec le niveau antérieur de fonctionnement du sujet ou les standards d'âge et de culture.
émoussement affectif l.m.
Restriction de l'affectivité. Dans les dépressions, cet émoussement émotionnel s'allie notamment à des troubles conatifs, à un sentiment généralisé de lassitude, de désintérêt et, dans les formes majeures, à l'anhédonie, voire à une anesthésie affective douloureuse.
La maladie d'Alzheimer est souvent appelée la maladie des 4 A pour amnésie, aphasie, agnosie, apraxie.
Types d'aphasie
Souvent, une alexie (perte de la capacité à lire les mots) est également présente. Aphasie expressive (motrice, non fluente ou de Broca): la capacité à produire les mots est altérée, mais la compréhension et la capacité à conceptualiser sont relativement préservées.
Incapacité, liée à une lésion cérébrale localisée, de reconnaître le sens des mots à la lecture. Alexie optique, alexie optico-agnosique (Porot 1960, s.v. agnosies) : 1. L'alexie s'appelle aussi cécité verbale ou amnésie visuelle verbale.
Le fruit le plus riche en antioxydant est le bleuet, suivi par la canneberge, la mûre, la framboise et la fraise. Des études menées avec des animaux de laboratoire ont démontré que la consommation de bleuets pouvait aider à freiner la perte de mémoire et même renverser le processus.
Il recommande une consommation accrue de 10 composants sains, parmi lesquels les légumes à feuilles vertes, le poisson, les baies, les noix… et la limitation de 5 composants néfastes comme le fromage, les viandes rouges, les beurre et margarine, les aliments frits, les pâtisseries et sucreries.