D'un point de vue territorial, les principaux vainqueurs sont la
Les décisions y furent prises par les quatre grands vainqueurs et leurs représentants : Autriche (Metternich), Russie (Nesselrode), Grande-Bretagne (Castlereagh), Prusse (Hardenberg). Talleyrand y représentait la France de Louis XVIII.
Le 1er novembre 1814 débutent les négociations officielles du congrès de Vienne, réuni à l'initiative des quatre grands vainqueurs de Napoléon Ier (Grande-Bretagne, Prusse, Russie et Autriche), afin de restaurer la paix en Europe et d'en finir avec l'ère révolutionnaire issue de 1789.
Le but de ce congrès est de redécouper les territoires européens repris à la France, mais aussi d'assurer la paix en Europe. Les grands vainqueurs de Napoléon, le Royaume-Uni, l'Autriche, la Prusse et la Russie sont les principaux arbitres de cette rencontre.
Le congrès se poursuit pendant les Cent-Jours et prend fin seulement neuf jours avant la seconde abdication de Napoléon, les Alliés étant décidés à se défaire de lui définitivement. Après la bataille de Waterloo, la France doit accepter un second traité de Paris plus rigoureux que le traité de 1814.
Le congrès de Vienne reconstruit l'Europe, profondément déstabilisée par les guerres révolutionnaires et napoléoniennes. Le nouvel ordre européen, placé sous la protection de la Sainte Alliance des grandes monarchies se maintiendra tel quel ou presque pendant un demi-siècle.
Mais l'Autriche s'y oppose pour ne pas avoir trop de contacts avec la Prusse. Le Royaume-Uni désireux de limiter l'influence russe en Europe centrale s'oppose également à la Prusse et à la Russie, la France soutient l'Autriche et les Britanniques.
Objectif : attribuer les territoires abandonnés par la France, à savoir la rive gauche du Rhin, la Belgique et la partie de l'Italie annexée à l'Empire. Le congrès doit aussi décider du sort des pays soumis mais non annexés par Napoléon.
Karl Bertuch (1777 – 1815).
Grand ordonnateur du congrès, Metternich met en place un système diplomatique visant à réprimer les mouvements libéraux et nationaux.
La bataille de Waterloo met fin à sept siècles d'hostilité entre la France et l'Angleterre et achève une fois pour toutes l'épopée napoléonienne. L'empereur retourne à Paris le 22 juin 1815 et abdique une seconde fois, en faveur de son fils.
Les frontières territoriales françaises ont été rétablies et huit États européens se sont réunis au Congrès de Vienne, entre septembre 1814 et juin 1815, afin de restaurer l'équilibre des puissances tout en espérant maintenir une paix durable.
Le 18 juin 1815, Napoléon Bonaparte perd une bataille décisive dans une petite commune belge, nommée Waterloo.
Celle-ci perd des terres qui étaient siennes depuis longtemps. Le duché de Bouillon et les forteresses allemandes de Philippeville et Marienbourg sont cédées aux Pays-Bas. Sarrelouis et Sarrebrück sont cédées à la Prusse. Landau est remise à la Bavière, le pays de Gex à la Suisse, la Savoie au roi de Piémont-Sardaigne.
- Enfin les décisions du congrès de Vienne laissent morcelée la péninsule italienne, ainsi que l'Allemagne en dépit de la création de la Confédération germanique.
C'est que le congrès de Vienne, de par sa composition et ses activités, incite à se focaliser sur la vieille Europe. Les quatre grandes puissances qui y donnent le ton sont l'Autriche, la Prusse, la Russie et l'Angleterre.
Sa politique consistait à s'opposer à la liberté de la presse et au système représentatif, censés préparer la subversion révolutionnaire, aussi bien à l'intérieur de l'Autriche qu'en Europe et s'il accepta de participer à la Sainte Alliance, c'était pour mieux combattre les mouvements nationaux et libéraux.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
La bataille de Waterloo, le 18 juin 1815, est l'une des plus célèbres batailles de l'histoire européenne. Vaincu par les forces de la coalition menée par Wellington et von Blücher, l'empereur Napoléon Bonaparte a définitivement perdu le pouvoir après sa défaite.
Bataille gagnée par Napoléon sur les Autrichiens de l'archiduc Charles. Après Essling (20 mai 1809), Napoléon a fortifié l'île Lobau, y concentrant 187 000 hommes et 488 canons, en attendant l'arrivée du prince Eugène avec l'armée d'Italie.
La bataille de Waterloo.
Napoléon, emprisonné à l'île d'Elbe, ayant débarqué à Golfe-Juan le 1er mars 1815, parvint à reconquérir son trône après une marche à…
Marengo était devenu le cheval préféré de Napoléon qui l'avait monté dans plusieurs batailles jusqu'à Waterloo en 1815, où il a été capturé par les troupes de Wellington.
Chef-d'œuvre de stratégie militaire, la bataille d'Austerlitz, dite aussi « des Trois empereurs » (Napoléon, Alexandre Ier de Russie et François II d'Autriche), demeure la plus célèbre des victoires napoléoniennes.
Des précipitations intenses ont contribué à la déroute de l'armée napoléonienne à Waterloo, en 1815. Des pluies pas tout à fait dues au hasard, selon l'étude que vient de publier un chercheur britannique.
De ce fait, le séjour du prince en Italie était difficilement acceptable (A. Béthouart, p. 345). Metternich est chassé du pouvoir par la révolution de mars 1848, il s'exile d'abord à Londres, puis à Bruxelles.