Les prix sont librement déterminés par les professionnels. Obligatoire, l'information sur le prix d'un produit ou d'un service est donc primordiale pour le consommateur qui doit pouvoir choisir en toute connaissance de cause et sans avoir à le demander.
la régulation d'une activité économique : par exemple, l'Autorité de la concurrence, l'Autorité des marchés financiers (AMF), l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP), la Commission de régulation de l'énergie (CRE), l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
Le secrétariat du comité central (puis national) des prix, outre qu'il prépare les séances et rédige les ordres du jour et les procès-verbaux, enregistre et contrôle les arrêtés et les décisions rendus en matière de prix, tient un répertoire des majorations de prix accordées et rédige le Bulletin officiel des services ...
Les prix des produits et services sont librement fixés par les professionnels.
sur un marché concurrentiel, aucune entreprise ne détient à elle seule le pouvoir d'influencer le prix de vente car l'offre est suffisamment abondante. C'est donc le rapport entre l'offre et la demande qui détermine les prix ; sur un marché monopolistique, une seule entreprise a l'exclusivité du bien vendu.
Il est déterminé par le coût de production d'une marchandise, lequel recouvre les valeurs des salaires (coût du travail), de la rente foncière (coût de la terre) et des profits (coût du capital) : « vrai » prix, il traduit la valeur « objective » de la marchandise.
Un prix de vente peut être fixé en combinant plusieurs méthodes : par rapport à un taux de marge ou au coût de revient, par rapport à la concurrence et par rapport aux impacts psychologiques .
Pour fixer le prix d'un produit, une entreprise doit prendre en compte les deux éléments suivants : Coût de revient qui inclut toutes les charges inhérentes au produit et sa commercialisation ; Nombre estimé de produits vendus pour faire des profits.
“Le producteur auprès duquel le supermarché achète ses produits fait suggère un prix final que le consommateur devrait payer, mais le détaillant ne la suit que rarement. C'est le supermarché lui-même qui prend la décision finale quant au prix que le produit atteindra dans les rayons.
"Cela s'explique par la hausse du prix du blé, ainsi que par celui de l'emballage. Le prix de la pâte à papier qui sert à faire le carton a fortement augmenté", précise l'expert. Ensuite, vient la moutarde, +8% de hausse, en raison des tensions autour de l'huile de tournesol.
Placé auprès du ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, le contrôle général économique et financier (CGefi) contrôle plus de 400 organismes publics concernés par le contrôle économique et financier de l'État ou le contrôle budgétaire.
La politique d'écrémage. La politique de pénétration. La politique d'alignement des prix. Le prix de marché.
Exemple : La DGCCRF contribue à la définition du cadre juridique de la concurrence et de la consommation. Elle informe et accompagne les professionnels et les consommateurs. Elle contrôle le respect des règles de concurrence et de protection des consommateurs et lutte contre les fraudes.
La question est de principe mais il s'avère que relativement peu d'Autorités sont dotées par la loi d'un pouvoir réglementaire. Il s'agit de : la CNIL, la Commission des sondages, l'AMF, l'ARCEP et la CRE (sous réserve d'homologation par arrêté du ministre compétent).
L'Etat français et l'Union européenne disposent d'une grande quantité de manettes pour réguler le jeu du marché : le taux d'intérêt, géré par la BCE à Francfort, qui régule le coût du crédit, les impôts et charges sociales, le SMIC et le RMI, les primes régionales, l'âge de la retraite, etc.
L'acheteur propose un prix, c'est aux éleveurs de l'accepter ou non. Le marché de Plérin établit ensuite la tendance nationale des prix. Puis les abattoirs revendent la viande achetée à la grande distribution, en fixant les prix de gré à gré.
Le prix dépend de la demande
Élasticité-prix => Obtenir la plus grande part de marché ou le plus grand bénéfice. Plus il y a de demande plus le prix baisse et inversement.
Après avoir négocié les prix avec les fournisseurs et les industriels, les enseignes se rémunèrent en fixant leurs marges commerciales (différence entre le prix d'achat des marchandises et leur prix de vente). Intégrées au prix de vente, elle se répercute dans le panier de courses des consommateurs.
La stratégie d'alignement consiste à fixer un prix similaire à la concurrence. La stratégie de pénétration, quant à elle, consiste à se lancer sur le marché avec un prix inférieur à la concurrence. Enfin, la stratégie d'écrémage, dont nous parlons ici, consiste à appliquer un prix supérieur aux concurrents.
La fixation des prix implique l'utilisation des techniques de fixation qui permettent de mesurer l'impact d'un changement de prix sur la demande d'un produit. Grâce à la fixation des prix, les entreprises peuvent déterminer le prix idéal pour leurs produits de manière à optimiser les revenus et leur part de marché.
Pour fixer un prix, les analystes distinguent généralement trois facteurs : la demande, les coûts et la concurrence.
Pour déterminer un prix de vente, l'entreprise a plusieurs choix possibles. Elle peut décider de se baser sur le coût de revient (ou de conception) de son produit ou service et sur le profit qu'elle souhaite obtenir. Dans ce cas, le prix de vente unitaire = (coût de revient unitaire + gain souhaité) x (1 + TVA).