Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d'une peine d'emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l'auteur et le conduire devant l'officier de police judiciaire le plus proche.
Les forces de l'ordre ont le droit de procéder, dans le cadre d'une interpellation, à un contrôle d'identité. pénale.
Les policiers peuvent vous arrêter s'ils possèdent un formulaire juridique appelé mandat d'arrêt. Si un juge a signé ce formulaire, la police peut vous arrêter en vous le présentant ou en le mentionnant.
> Garde à vue : c'est le fait de retenir quelqu'un contre sa volonté. Pendant ce temps, la personne est auditionnée par les policiers ou gendarmes qui lui posent des questions sur les faits qui lui sont reprochés. Elle peut durer 24 heures (mais la personne peut être relâchée avant), être prolongée 24 heures de plus.
Les menottes sont une contrainte. Les policiers [1] peuvent les utiliser uniquement s'ils démontrent qu'elles sont absolument nécessaires (n° 101, 103) et si les conditions de l'arrestation sont réunies [2] (n° 138, 140). Ceci vaut aussi pour l'utilisation d'autres liens (entraves aux jambes, aux chevilles, etc.).
Version en vigueur depuis le 16 juin 2000. Nul ne peut être soumis au port des menottes ou des entraves que s'il est considéré soit comme dangereux pour autrui ou pour lui-même, soit comme susceptible de tenter de prendre la fuite.
La police ne peut donc intervenir dans un sanctuaire qu'à la demande expresse du curé, à une exception près : si l'ordre public est menacé ; ce peut être un grave problème de sécurité, de tranquillité ou de salubrité, comme précisé dans un arrêt du Conseil d'État daté de 1993.
« Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d'une peine d'emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l'auteur et le conduire devant l'officier de police judiciaire le plus proche.
Le policier peut vous arrêter lorsqu'il vous trouve en train de commettre un acte criminel. S'il a des « motifs raisonnables et probables de croire » que vous avez commis ou êtes sur le point de commettre un acte criminel, il peut vous arrêter.
Normalement, seuls les officiers de police judiciaire (OPJ), ou les agents accompagnés d'un OPJ, peuvent obtenir l'autorisation d'entrer chez vous sans votre permission.
N'importe qui peut faire l'objet d'un mandat de justice émis par un juge d'instruction s'il enfreint la loi ou commet un acte quelconque contraire aux lois de la Nation. Les mandats sont des ordres judiciaires écrits qui permettent d'assurer la comparution en justice des inculpés.
La permission d'entrer peut être donnée par vous ou par une autre personne — habituellement, un adulte — qui a le pouvoir d'autoriser les policiers à entrer. Si vous ne voulez pas que des policiers pénètrent chez vous, dites-le-leur. Si vous ne dites rien, ils risquent d'interpréter votre silence comme une acceptation.
Pour pouvoir entrer chez vous, un policier a besoin d'un mandat. Le mandat est une autorisation qui est donnée par un juge. Le juge donne le mandat aux policiers s'il est convaincu que les policiers ont des motifs raisonnables de croire qu'une infraction est commise chez vous.
De la même manière, les policiers municipaux ne peuvent pas interpeller d'individus, sauf dans le cas prévu à l'article 73 du code de procédure pénale (appréhension de l'auteur d'un crime ou délit flagrant).
Action de poser des questions à quelqu'un au cours d'un contrôle de police ou d'un interrogatoire.
En cas d'infraction liée à la criminalité organisée, au terrorisme, ou au trafic de stupéfiants, une perquisition peut débuter avant 6h et après 21h. Cet acte d'enquête s'appelle perquisition de nuit. La procédure peut être annulée si les policiers et les gendarmes n'ont pas d'autorisation écrite et motivée.
Les forces de l'ordre n'ont pas à vous verbaliser pour avoir fait plus d'une heure de courses. Cette durée concerne uniquement l'activité physique, les promenades ou les sorties avec vos petites boules de poils. 2. La police ne peut en aucun cas fouiller votre sac (ou vous-même).
Un individu ne peut pas refuser un contrôle de police ou de gendarmerie. S'il ne dispose pas d'un document justifiant son identité, la vérification se fera au poste de police ou à la gendarmerie en contactant les membres de sa famille.
Par ailleurs, un refus de contrôle est considéré comme étant un délit par le Code de la route. L'auteur de ces faits écopera d'une amende dont le montant peut atteindre 3750 euros, il perdra 6 points sur son permis de conduire et risquera jusqu'à 3 mois d'emprisonnement.
Pour avoir le droit d'effectuer une arrestation en tant que simple citoyen pour un crime commis relativement à un bien, il faut : être le propriétaire du bien; avoir la possession légale du bien; avoir été autorisé par le propriétaire ou la personne en possession légitime du bien.
Il s'agit du site de la police locale, celui de la police départementale ou du tribunal du lieu. Certaines prisons publient des bases de données relatives aux personnes incarcérées ou en garde à vue. Souvent, le nom de la personne suffit pour faire une recherche fructueuse.
S'il dispose d'une Commission rogatoire délivrée par un magistrat, un OPJ peut également faire une perquisition dans une propriété privée, sans l'accord du propriétaire, pour constater et rechercher les preuves des infractions aux règles de protection animale.
Exceptionnellement protégé en lui-même, dans sa dimension cultuelle et sacrée, le lieu de culte est toutefois indirectement protégé tantôt comme bien culturel tantôt comme lieu public, particulièrement exposé. Protection des lieux de culte en tant que bien culturel ou historique.
L'État veille à ce que les pratiques religieuses ne troublent pas l'ordre républicain. On parle de "police des cultes". Ses règles et son application relèvent du ministère de l'intérieur, ministère des cultes, et les peines sont prononcées par les juges.
Il est rappelé que si l'individu est particulièrement récalcitrant ou dangereux, il est nécessaire de le menotter avant de procéder à la palpation de sécurité.