Le donneur peut être un membre de la famille du receveur : père, mère, frère, sœur, fils, fille, grands-parents, oncles, tantes, cousins germains. Il peut aussi être son conjoint, le conjoint de son père ou de sa mère et toute personne apportant la preuve d'une vie commune d'au moins deux ans avec le receveur.
Ses grands-parents, oncles ou tantes, cousins ou cousines germaines. La personne avec laquelle elle vit en couple : Mariage, Pacs ou concubinage (union libre) depuis au moins 2 ans. Toute personne avec laquelle elle entretient un lien affectif étroit et stable depuis au moins 2 ans.
Il est possible de donner un organe ou des tissus de son vivant ou après sa mort. 92% des dons d'organes ou de tissus viennent d'une personne décédée.
Certaines démarches permettent de s'opposer au don d'organes
La famille du défunt peut également avoir recours à une autre procédure : le témoignage oral d'opposition. Il faut qu'au moins deux témoins rédigent chacun une déclaration écrite assurant que le défunt a, de son vivant, refusé d'être donneur d'organes.
Chez une personne en bonne santé, le don n'entraîne la plupart du temps aucun effet secondaire. L'organisme reconstitue rapidement le volume sanguin prélevé. Pendant le prélèvement, nos équipes vous indiqueront quelques exercices musculaires.
Ne pas dégrader l'image de son corps.
C'est la principale idée évoquée par les opposants, selon les préleveurs. Bien souvent, les familles ont l'impression que le corps du défunt sera mutilé.
En faisant des donations, vous optimisez fiscalement les frais et droits liés à la transmission de ce patrimoine. En effet, grâce au jeu des donations successives et des abattements fiscaux, il est possible de transmettre tout son patrimoine en totale exonération d'impôt.
Chaque parent peut ainsi donner jusqu'à 100 000 € par enfant sans qu'il y ait de droits de donation à payer. Un couple peut donc transmettre à chacun de ses enfants 200 000 € en exonération de droits. Cet abattement de 100 000 € peut s'appliquer en une seule ou en plusieurs fois tous les 15 ans.
Tout membre de la famille, parent, frère ou sœur, enfant, ou conjoint peut faire don de son foie. Les critères d'un don du foie comprennent: Être en bonne santé Avoir un groupe sanguin qui correspond ou est compatible avec le receveur (compatibilité ABO)
Nul besoin pour le donneur potentiel d'avoir le même âge ou d'être du même sexe ou de la même origine ethnique que le candidat à la transplantation. En réalité, toute personne qui le désire peut faire un don.
Il faut que le donneur soit proche du receveur, soit par lien familial soit par lien affectif. Les parents, les frères et sœurs ou les cousins peuvent ainsi décider de donner un rein à un proche. Le conjoint peut également faire cette démarche.
Parmi les obstacles les plus fréquemment rencontrés, mentionnons le tabagisme et l'excès de poids. Il est très fréquent que les fumeurs et les personnes en surpoids ne puissent pas faire un don de rein.
Tableau de compatibilité entre les groupes sanguins
Les personnes du groupe A ne peuvent recevoir que du sang des groupes A et O. elles ne peuvent pas recevoir de sang des groupes B et AB. Les personnes du groupe B ne peuvent recevoir que du sang des groupes B et O.
Ainsi, le groupe O- est destiné à tout le monde; on l'appelle « donneur universel ». On utilisera donc, entre autres, du sang O- dans les situations d'urgence. À l'inverse, le groupe AB+ peut recevoir du sang de tous les groupes sanguins; c'est donc le groupe appelé « receveur universel ».
O négatif : 6% de la population, c'est le groupe “donneur universel” ; AB positif : 3% de la population ; B négatif : 1 % de la population ; AB négatif : 1% de la population.
En règle générale, les donations antérieures doivent être réintégrées à la succession sauf si elles ont été faites il y a plus de 15 ans. De même les donations rapportables sont celles consenties aux héritiers réservataires. Par exemple, une donation faite aux petits enfants n'est pas rapportable.
De façon classique, les tribunaux estiment que la valeur du don ne doit pas dépasser 2 % à 2,5 % du patrimoine de celui qui le consent. Du moment que cela ne représente pas un gros effort financier, vous pouvez donc librement donner 1000 €, 5000 € ou même 10.000 € à vos proches pour une occasion spéciale.
Lorsque la donation porte sur une somme d'argent ou sur des valeurs mobilières, les frais de notaires sont moindres, car le donateur n'aura que les émoluments du notaire à payer. Par exemple, pour une donation de somme d'argent de 100 000€, il vous en coutera 878€.
Les dons simples qu'ils soient manuels ou notariés n'échappent pas aux droits de mutation à titre gratuit (droits payés au fisc). Le premier risque fiscal réside dans le retard de déclaration du don manuel de somme d'argent.
Abattement sur les dons familiaux
Les droits de donation sont calculés sur la somme qui reste après abattement. Par exemple, dans le cas d'un don d'une mère à sa fille, l'abattement est de 100 000 €. Si le don est de 100 000 €, il n'y aura pas de droits de donation à payer.
Ainsi, le judaïsme et l'islam ont des lois qui interdisent la profanation du corps humain. Néanmoins, ces deux religions précisent que l'interdiction est levée lorsqu'il s'agit de sauver une vie.
Depuis, pour s'y opposer, il faut l'exprimer explicitement de son vivant. Ce refus est révocable à tout moment. Peut-on choisir les organes que l'on veut donner (ou ne pas donner) ? Oui, on peut, par exemple, accepter de donner ses reins et son pancréas, mais pas la cornée ni le cœur.
du sang, il n'existe pas de contre-indication de principe au don d'organes. Les personnes jeunes, âgées, malades ou en bonne santé sont des donneuses potentielles. En cas de décès, l'équipe médicale en charge du donneur.