Le bonheur est de notre responsabilité. Ces mots font peur parce qu'ils nous responsabilisent, justement. Parfois cela fait du bien de se laisser porter, de se dire que les événements vont et viennent et ne dépendent pas de nous.
Notre responsabilité n'est pas de rendre les autres heureux; nous pouvons les y accompagner mais nous ne pouvons pas le faire pour eux. La vérité, c'est qu'en étant responsable de notre propre bonheur, nous favorisons chez l'autre la prise de conscience qu'il est lui aussi responsable de son propre bonheur.
§5 Bien plus, nous sommes vraiment responsables de notre bonheur, car celui-ci ne repose pas sur ce qui nous arrive ou sur ce que nous faisons, mais sur l'interprétation que nous faisons de ce qui nous arrive ou de ce que nous faisons. Exemple de Viktor Frankl, qui a été prisonnier dans un camp de concentration.
La notion de bonheur est intimement liée au désir. Être heureux, ce serait réaliser tous ses désirs, ou du moins réaliser tous ses désirs « importants ». L'être humain heureux accomplit les objectifs qu'il s'est fixé, ceux qui ont une valeur pour lui-même.
Qui est très satisfait, très content de ce qui lui advient ou de ce qui se produit en général : Je suis heureux de vous voir. 4. Qui est favorisé par le sort dans une activité, un domaine, qui a de la chance : Être heureux au jeu, en amour.
Nous ne possédons pas tous le même pouvoir d'infléchir la réalité, et c'est aussi en cela que le bonheur dépend de nous. C'est bien ce qui fait dire à Calliclès, dans le Gorgias de Platon, que le bonheur consiste à -laisser libre cours à ses désirs « pour celui qui est assez puissant pour les satisfaire ».
Le bonheur est confondu avec le plaisir, avec les plaisirs. Et dans cette confusion multimillénaire, le bonheur apparaît alors comme un état de satisfaction intense, dû à la chance, à la bonne fortune, ce qui est effectivement l'origine étymologique du mot « bon-heur ».
Une conception possible du bonheur, C'est l'état d'esprit de celui qui vit en harmonie avec lui-même et avec le monde qui l'entoure. C'est pourquoi, pour être heureux, il faut être soi-même. Mais être en harmonie avec soi-même, c'est établir une paix intérieure que rien ne vient troubler au sein de soi.
Le bonheur pour moi , c'est l'émotion que l'on éprouve a un moment précis. être heureux, c'est le principal dans la vie , profiter des moments de bonheur ! Cela peut être quelque chose qui exterieurement parait presque inutile ou même débile alors que pour nous ça va compter .
Définition du bonheur
Il s'agit d'un état durable de plénitude et de satisfaction, agréable et équilibré de l'esprit et du corps. La souffrance, l'inquiétude, le trouble sont absents. Le bonheur est en lien avec l'image que l'on a de soi par rapport à tout ce qui nous entoure.
Le plus grand bonheur de la vie est la conviction que nous sommes aimés; aimés pour nous-mêmes, ou plutôt aimés malgré nous.
Métaphoriquement, le bonheur devient le point culminant de notre existence. Aristote explique que le bonheur est une fin en soi : c'est un but final, un état de satisfaction totale et durable. Deux questions se posent alors : Est-ce que cet état de béatitude absolue existe ?
- on peut constater que tout homme aspire à être heureux, c'est-à-dire à fuir les douleurs et à être en quête de jouissances et plaisirs. C'est comme le soutenait Freud le principe de plaisir qui détermine le but de notre vie, et qui régit les processus de notre appareil psychique.
Le bonheur, en philosophie, peut se définir comme l'état de complète satisfaction. Dans la philosophie antique (Epicure a écrit le premier traité du bonheur : La lettre à Ménécée), le but de la vie humaine est le bonheur, fin parfaite et Souverain Bien (summum bonum).
L'homme jouit du bonheur qu'il ressent, et la femme de celui qu'elle procure. Le plaisir de l'un est de satisfaire des désirs, celui de l'autre est surtout de les faire naître. Que l'homme est né pour le bonheur, certes toute la nature l'enseigne.
Le bonheur est le bien suprême.
Dans son Éthique à Nicomaque, Aristote constate que les hommes souhaitent tous être heureux. Il s'interroge donc sur le Bien, le principe et la cause de tous les biens particuliers, afin de déterminer si le bonheur est un don des dieux ou bien s'il est le fruit d'un apprentissage.
Pour trouver son bonheur, il est essentiel de se souvenir que nous ne contrôlons pas tout, c'est pourquoi il ne faut pas faire dépendre notre bonheur de projets qui ne se réaliseront peut-être pas. Préférons plutôt aimer ce que nous faisons dans l'instant, savourer les moments simples de la vie.
Le sentiment de satisfaction tient à peu de choses – et vous le savez. Selon certaines études, montrer de la gratitude est un élément clé pour être heureux dans la vie, et si vous êtes reconnaissant de ces petites choses qui vous font sourire, c'est encore un bon signe que vous êtes sur la bonne voie.
Le bonheur est un choix, une certaine approche de la vie que l'on prend et dont on doit être conscient. Le bonheur, c'est une question d'être bien dans sa peau, un état où on est en harmonie parfaite avec la vie, avec l'univers, avec tout. C'est un sentiment. Une expérience de bien-être qu'on peut créer soi-même.
Lâcher-prise – Accepter que l'on ne puisse pas tout, accepter ce que l'on est et ce que l'on ressent, dire oui à la vie et à ses petits désagréments : voilà les dernières clefs qui permettent de mettre de la joie dans sa vie.
Halinka, douze ans, a été placé dans un foyer en Allemagne, peu après la guerre. La vie y est faite de privation et de solitude. La nuit en cachette, l'adolescente se réfugie dans le grenier de l'institution pour écrire dans son cahier, véritable " livre de pensées " auquel elle confie ses espoirs et ses rêves.