Personne qui ne croit en aucun dieu. Synon. athée; anton. croyant.
Païen : adepte d'une religion polythéiste ou fétichiste non acceptée comme une religion officielle. Idolâtre : celui qui voue un culte aux idoles (des représentations de divinités).
Le paganisme est le nom donné par des chrétiens aux religions de ceux qui ne sont ni chrétiens, ni juifs. Il vient du latin paganus (paysan, villageois, païen). Il est utilisé depuis le VIe siècle. Ce terme désigne les religions non monothéistes.
Les païens ont élevé des temples à Jupiter, Apollon, Mercure ; ils ont déifié leurs empereurs.
Ainsi, au début du VIIe siècle, l'aristocratie et la reine du royaume d'East Anglia refusèrent que le roi Raedwald abandonne le culte des idoles. Ce dernier fut donc contraint de maintenir le paganisme comme religion d'Etat. Dans certains cas, le passage au christianisme n'avait rien de définitif.
L'athée ne croit pas à l'existence de Dieu; l'agnostique croit que nous sommes incapables de savoir s'il existe ou non. Bien que le terme « agnosticisme » ait été inventé par T.H. Huxley (1825-1895), le point de vue est très ancien, remontant aux sceptiques grecs.
Il signifie principalement sans religion : Terme ayant à l'origine une connotation péjorative (le « pagus » étant l'antithèse de la cité, symbole de la civilisation), utilisé par les chrétiens et l'Église pour discréditer les anciennes croyances.
En 2011, une première statistique officielle britannique recensait près de 60 000 païens dans le pays. Cette mouvance reste encore très minoritaire. Elle n'est cependant pas insignifiante," estime la chercheuse finlandaise.
Selon l'Enquête nationale auprès des ménages de 2011, la religion la plus répandue au Canada était la religion chrétienne. Environ 22,1 millions de personnes, soit un peu plus des deux tiers (67,3 %) de la population, ont déclaré comme confession religieuse être chrétiens.
En Afrique, en Amérique (Peaux-Rouges, Indiens d'Amazonie) et dans le Pacifique vivent des populations qui sont restées païennes mais dont l'influence décroît face à l'islam et au christianisme (Quid 1982, p. 47).
Historiquement, les religions conçues comme des ordres dans lesquels est recommandé ce qu'il faut faire et ce qu'il faut croire, sont apparues avec les partis religieux s'opposant les uns aux autres en Europe de l'Ouest du XVI e siècle.
Étymologie. Du moyen français paien, de l'ancien français paien , pagien (IXe siècle), du latin classique pāgānus, lui-même dérivé de pāgus (« bourg, district, canton »). Le terme de pāgānus avait deux sens : villageois, et civil.
païen, païenne
1. Se dit des peuples polythéistes et de ce qui se rapporte à leurs croyances. 2.
Selon plusieurs études, la Suède serait le pays le plus athée du monde. Selon Davie (1999), 85 % des Suédois ne croient pas en une divinité.
ATHÉE : Définition de ATHÉE.
Les Chrétiens seraient encore largement majoritaires (66,4% de la population) mais leur nombre baisserait considérablement (78,3% en 2010). La part des non affiliés augmenterait très sensiblement passant de 16,4% à 25,6%.
Après le judaïsme, le christianisme est la 2ème grande religion monothéiste. Il prend naissance en Palestine, là où le judaïsme s'est développé. Il en est issu mais s'en détache au Ier siècle après Jésus-Christ au point de devenir une nouvelle religion qui va progressivement se constituer en une Église.
La première religion connue en France est la religion gauloise. Dès la fin du II e siècle av. J. -C. , l'Empire romain qui a sa propre religion conquit la Gaule narbonnaise puis le reste de la Gaule de 57 à 50 av.
« Modernistes », parfois éclectiques et syncrétistes, néopaïens hellénistes portés sur les adaptations, les emprunts, les innovations. Ils adorent les dieux grecs selon leur inspiration davantage que selon la tradition.
Les Grecs sont polythéistes : ils croient en l'existence de plusieurs dieux. Ils vénèrent des dieux à la puissance illimitée qui vivent sur le mont Olympe, la plus haute montagne de Grèce, dont le sommet est très souvent caché par les nuages.
Personne ayant renoncé au paganisme pour adhérer au judaïsme. Des prosélytes, c'est-à-dire des gens d'origine non israélite, affiliés au judaïsme à des degrés divers (Renan, Apôtres, 1866, p. 109).