Sur une route de montagne, pour éviter un démarrage en pente, le véhicule qui descend est tenu de laisser la priorité à celui qui monte. Seule exception : un véhicule lourd est prioritaire sur un véhicule léger.
Liste des véhicules bénéficiant de la priorité de passage
Les véhicules d'intervention EDF et GDF. Les véhicules du service de surveillance des chemins de fer français. Les véhicules de transport de fonds de la banque de France. Les véhicules des associations médicales (croix rouge par exemple)
Les véhicules d'intérêt général considérés comme des véhicules prioritaires sont : les véhicules rattachés aux unités d'urgences hospitalières. les véhicules de police nationale ou municipale. les véhicules de gendarmerie.
Croisement impossible en montagne
Le véhicule qui n'est pas prioritaire doit reculer jusqu'à trouver un emplacement, un accotement ou une place d'évitement pour libérer la voie. Les régles suivantes s'appliquent : Entre 2 véhicules de gabarit similaire, c'est celui qui descend qui doit reculer.
Obstacles sur la chaussée ou route étroite
Sur ce type de route, les trains routiers (véhicules à moteur avec remorque ou semi-remorque) ont la priorité sur les autres véhicules, les véhicules automobiles lourds sur les véhicules automobiles légers et les autocars sur les camions.
À l'approche d'une intersection, et en l'absence d'une quelconque signalisation en matière de priorité, c'est la priorité à droite qui prime. Le conducteur doit laisser la priorité à tout véhicule venant d'une route située à sa droite.
Il s'agit de la priorité à droite ; lorsque le conducteur arrive à une intersection marquée par un panneau « Stop », celui-ci doit s'arrêter quelques secondes et laisser la priorité aux conducteurs venant de droite et de gauche avant de s'engager sur la route.
Pour cela, le conducteur doit respecter les règles du code de la route pour effectuer un croisement en fonction de la signalisation, de l'obstacle et de la situation de conduite. Tous les véhicules qui se croisent doivent ralentir puis, si nécessaire, serrer le plus à droite possible afin d'éviter tout risque.
Si une voiture est sur sa place et que vous la percutez en reculant, c'est votre assurance auto qui prendra en charge les réparations du véhicule accidenté. Notez, toutefois, que si vous avez endommagé un véhicule qui était mal garé, il est possible d'envisager un partage des torts.
Si vous tournez à droite, vous n'êtes pas prioritaire à l'intersection et vous ne vous trouverez plus sur la portion prioritaire. Un panonceau de distance peut également être apposé au panneau AB6 pour indiquer la distance sur laquelle la priorité s'applique.
Non. Lorsqu'un véhicule franchit un feu au rouge pour une raison justifiée (passage d'un véhicule prioritaire, pompier, police, SAMU), l'appareil relève une infraction et un flash se déclenche. Néanmoins, le CACIR (Centre automatisé de constatation des infractions routières) n'émettra pas d'avis de contravention.
Les véhicules qui sont à votre droite sont donc prioritaires sur vous et passent en premier. Vous devez les laisser passer. En revanche, les véhicules à votre gauche doivent vous laisser passer.
En toutes circonstances, chaque conducteur est tenu de laisser passer les véhicules d'intérêt général prioritaires lors de leurs interventions (article R415-12 du Code de la route). Un coup d'œil suffit pour les reconnaître : leurs feux clignotants sont activés, tout comme leur sirène à deux tons.
S'ils n'enclenchent pas leurs avertisseurs (gyrophares et sirène à 2 tons), cela signifie qu'ils ne sont pas en mission. Ils ne sont donc pas prioritaires. Par ailleurs, les ambulances privées avec sirène à 3 tons ne sont pas des véhicules d'intérêt général prioritaires, mais dits « à facilité de passage ».
Les véhicules de sapeurs-pompiers sont prioritaires sur les autres usagers de la route et ont des droits de circulation étendus, dès lors qu'ils utilisent l'avertisseur sonore (deux tons) pour signifier un départ sur une intervention en situation d'urgence.
Dans une descente, utilisez la technique du frein moteur. Cela signifie que vous devez engager une vitesse (la première ou la seconde) qui aura pour effet de ralentir le moteur et de limiter l'usage des freins, ce qui provoquerait une usure prématurée.
Ainsi, à l'approche d'une ligne blanche continue sur les routes à deux voies et à l'approche d'une réduction de voie ou d'un rétrécissement de chaussée, les conducteurs devront se rabattre dans une voie de circulation et cesser toute manœuvre de dépassement.
Il ne doit pas en tout cas s'en approcher latéralement à moins d'un mètre en agglomération et d'un mètre et demi hors agglomération s'il s'agit d'un véhicule à traction animale, d'un engin à deux ou à trois roues, d'un piéton, d'un cavalier ou d'un animal.
Pour démarrer, il faut débrayer pour mettre sa 1er, son pied droit va aller appuyer sur l'accélérateur pendant que vous allez tout doucement relever l'embrayage jusqu'en haut. Si vous levez le pied gauche ( l'embrayage) trop vite, la voiture va caler.
1. Le refus de priorité à droite. Refuser une priorité à droite sur un carrefour est une erreur éliminatoire pour le permis B. En l'absence de panneaux de signalisation de priorité à une intersection, ou de feux, le conducteur doit céder le passage à tout véhicule qui vient de la droite.
Détecter une intersection à priorité à droite
En l'absence de toute signalisation de priorité (marquage au sol ou panneau), la règle qui s'applique à une intersection est la priorité à droite : tous les usagers qui abordent l'intersection doivent céder le passage aux usagers arrivant sur leur droite.
En d'autres termes, pour un carrefour à 4 stops qui ne comporte pas de route prioritaire, comme celui de Ouistreham, c'est le premier arrivé qui repart. Si deux ou trois automobilistes arrivent en même temps sur le carrefour, c'est la règle de la priorité à droite qui s'applique.