Conçu en 1869 par le chimiste russe Dimitri Ivanovitch Mendeleiev, le tableau périodique classe tous les éléments chimiques selon leur numéro atomique et leurs propriétés chimiques.
Z indique le nombre de protons et, par souci de neutralité électrique de l'atome, au nombre d'électrons. Attention, on parle bien ici d'un atome, et non pas d'un électron. A correspond au nombre de nucléons présents au total dans le noyau. N = A – Z correspond au nombre de neutrons.
En 1869, Dmitri Ivanovitch Mendeleïev classe l'ensemble des éléments en un système périodique suivant l'ordre de progression des poids atomiques. Son nom aujourd'hui figure dans tous les livres de chimie.
Lavoisier d'abord avec les 23 premiers éléments en 1789, Martin Klaproth, Humphry Davy, Berzelius, Lecoq de Boisbaudran, William Ramsay et sa colonne de gaz nobles, Glenn Seaborg et sa ligne de transuraniens.
Des scientifiques qui analysent une météorite ont découvert le plus vieux matériau connu sur Terre. Ils ont trouvé des grains de poussière dans la roche spatiale - qui est tombée sur Terre dans les années 1960 - qui ont jusqu'à 7,5 milliards d'années.
Le premier élément chimique à avoir été découvert est le phosphore et celui le plus récemment découvert est l'hassium.
Les halogènes : ont tous 7 électrons de valence, (famille VIIa) ont donc tendance à attirer 1 électron pour obéir à la règle de l'octet et à former une anion de charge -1 : F1-, Cl1-, ...
En 1808, John Dalton reprend l'idée d'atomes afin d'expliquer les lois chimiques. Dans sa théorie atomique, il fait l'hypothèse que les particules d'un corps simple sont semblables entre elles, mais différentes lorsque l'on passe d'un corps à un autre.
Il faut avant tout citer Antoine Lavoisier (1743-1794), considéré comme le père de la chimie moderne. On lui doit notamment des travaux sur le phénomène d'oxydation rapide - plus connu sous le terme de « combustion » - et une nomenclature des éléments chimiques à la base du système actuel.
La notion d'atome a été formulée pour la première fois par les philosophes de la Grèce ancienne. On l'attribue à Empédocle, Démocrite, Leucippe, puis Épicure.
Les premiers atomes (hydrogène, hélium) sont apparus dans l'espace, puis les atomes plus complexes (carbone, oxygène, azote, métaux) dans le cœur des étoiles.
400 ans av. J-C - L'atome de DÉMOCRITE
J-C, que la notion d'atome apparaît avec le philosophe Démocrite. En dehors de toute observation expérimentale, il fait l'hypothèse que la matière est composée de particules élémentaires, indivisibles qu'il nomme atomes. Pour Démocrite, les atomes sont éternels et immuables.
Il est égal au nombre de protons contenus dans le noyau atomique de chaque atome de cet élément. Le numéro atomique est équivalent au nom de l'élément chimique, avec l'atomicité d'un élément, tous les atomes ayant le même numéro atomique appartiennent au même élément.
Le numéro atomique de l'oxygène dans le tableau périodique est 8. Par conséquent, cet atome possède 8 protons. Chaque élément possède son propre numéro atomique. Lorsqu'on change de numéro atomique, on change d'élément, puisque le nombre de protons est propre à chacune des substances.
L'hydrogène est l'élément le plus abondant dans notre Univers ; il représente environ 75 % en masse de la matière de l'Univers observable (matière noire exclue). Cet élément ainsi que l'hélium et le lithium sont apparus lors de la formation même de l'Univers (par nucléosynthèse primordiale lors du Big Bang).
John Dalton, né à Eaglesfield (Angleterre) le 6 septembre 1766 et mort à Manchester le 27 juillet 1844 , est un chimiste et physicien britannique. Il est connu surtout pour sa théorie atomique, publiée en 1808, ainsi que pour ses recherches sur le daltonisme.
Bien que l'atomisme ait ses partisans en Grèce antique, il est rejeté plus tard par des philosophes influents, comme Platon et Aristote, et ne redevient populaire qu'à la révolution scientifique des XVIIe et XVIIIe siècles.
Les atomes répertoriés dans le tableau périodique ne sont pas tous nés du Big-Bang. Il existe quatre autres lieux qui les ont vus naître : le coeur des étoiles, les supernovae, l'atmosphère et pour les atomes artificiels, les cyclotrons des laboratoires de Physique.
Aujourd'hui, c'est l'oganesson, de numéro atomique 118, qui est officiellement l'élément chimique le plus lourd du tableau périodique. Synthétisé en 2002, il est très instable et se désintègre en moins d'une milliseconde.
Les métaux alcalins sont les plus réactifs du tableau périodique (groupe 1). On ne retrouve aucun métal alcalin à l'état pur dans la nature, car ces éléments réagissent avec presque tous les autres éléments ou substances chimiques avec lesquels ils peuvent entrer en contact.
Le premier élément chimique dont le numéro atomique est le plus faible est l'hydrogène et celui dont le numéro atomique est la plus important est l'ununoctium.
James Chadwick est surtout connu pour sa découverte en 1932 du neutron, pour laquelle il reçut le prix Nobel en 1935. Né à Manchester, il fut un des plus brillants disciples de Ernest Rutherford, avec lequel il collabora de 1909 à 1935.
L'atome est le constituant de base de la matière.
Dans le noyau de l'atome se trouvent les protons (chargés positivement) et les neutrons (non chargés), tandis que les électrons (chargés négativement) sont localisés autour du noyau.
C'est finalement du dernier élément qu'est venue la «petite» surprise. Ce 7e gaz noble a été baptisé Oganesson (Og) en référence au scientifique Yuri Oganessian pour ses travaux sur les éléments superlourds.