Le Président du Conseil français Édouard Daladier et son ministre des affaires étrangères Georges Bonnet demandent au président de la République Albert Lebrun de déclarer à son tour la guerre au nom des engagements internationaux de la France (et sans consulter le Parlement).
En Europe, l'évènement déclencheur de la Seconde Guerre mondiale a lieu le 1er septembre 1939 avec l'invasion de la Pologne par l'Allemagne.
Considérant que l'avantage appartient à celui qui dégaine le premier, l'Allemagne déclare la guerre à la France. La veille, elle a déjà envahi le Luxembourg sans préavis et lancé un ultimatum à la Belgique, exigeant le passage de ses troupes sur son sol.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
L'objectif de cette Résistance est de libérer la France de l'occupation allemande avec l'aide des Alliés (principalement le Royaume-Uni et les États-Unis), ou tout au moins de harceler les troupes du Reich.
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
A la fin janvier 1945, presque toute la Pologne dans ses frontières d'avant-guerre avait été libérée par les forces soviétiques. Après la capitulation de l'Allemagne, les troupes soviétiques occupèrent la majorité de l'Europe de l'Est, y compris la Pologne.
Le vendredi 25 août 1944, à 15h 30, le général Philippe Leclerc de Hauteclocque (43 ans) reçoit à Paris, devant la gare Montparnasse, la capitulation des troupes d'occupation de la capitale. Le document est signé par le général Dietrich von Choltitz, commandant du 84e corps d'armée.
Le 3 septembre 1939, suite à l'agression de la Pologne, la Grande-Bretagne puis la France déclarent la guerre à l'Allemagne.
Il fait la guerre pour augmenter son territoire, sa population, et donc faire progresser son économie et son armée. Il fait la guerre aussi pour unifier l'Allemagne au détriment de ses voisins : en 1864, au Nord, contre le Danemark : c'est la « la guerre des Duchés » ; en 1866, au Sud, contre l'Autriche.
C'est donc une question politiquement chargée, aujourd'hui encore.” L'événement déclencheur de la Grande guerre est connu de tous les écoliers : l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand, héritier du trône d'Autriche-Hongrie à Sarajevo le 28 juin 1914 par des nationalistes serbes.
L'assassin est un étudiant bosniaque Gavrilo Princip lié aux services secrets serbes. Cet attentat fournit au gouvernement austro-hongrois, un prétexte pour déclarer la guerre à la Serbie dans le but d'éliminer celle-ci de la péninsule des Balkans (28 juillet 1914).
En 1940, les Français sont battus par les Allemands. Le maréchal Pétain, qui dirige la France, signe un armistice le 22 juin 1940 et accepte les conditions fixées par Hitler. La France est partagée en deux : Le territoire occupé par les Allemands au nord.
Parmi les 185 batailles que la France a livré au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d'entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe et donc dans le monde.
Adolf Hitler voulait récupérer des territoires retirés à l'Allemagne à la fin de la Première Guerre mondiale (Prusse-Occidentale…) et passés sous le contrôle polonais. De nombreux Allemands vivaient en Pologne. Les nazis justifiaient ainsi leurs conquêtes par leur volonté d'agrandir leur « espace vital ».
28 août 1944 : la Libération de Marseille
Après le débarquement de Provence, les soldats français, sous les ordres du général de Lattre de Tassigny et du général de Goislard de Monsabert, libèrent Toulon et arrivent aux portes de Marseille le 23 août 1944.
– 19-25 août 1944, le récit de l'insurrection populaire. – Ces grèves ouvrières qui lancent le mouvement de libération. – Le portrait du colonel Rol-Tanguy, commandant de la résistance parisienne.
25 août 1944 : Paris libéré, Maillé martyrisé…
A l'issue de quelques jours d'affrontement, la ville de Paris est libérée le 25 août. Une phrase du discours du Général de Gaulle entre alors dans l'histoire et dans la mémoire collective : « Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé !
Les Soviétiques intervinrent car, selon eux, les populations ukrainiennes et biélorusses de Pologne étaient victimes de discrimination, bien que la raison officieuse était l'intention de Staline d'annexer des territoires polonais et ainsi d'agrandir l'URSS.
Objectifs de l'invasion
Depuis les années 1920, les principes fondamentaux du mouvement nazi incluaient : la destruction de l'Union soviétique par la force militaire. l'élimination définitive de la menace communiste perçue en Allemagne.
La Pologne déclare son indépendance, mais le mouvement est réprimé en 1831. La constitution, la diète et l'armée sont alors supprimées et l'Empire russe soumet la Pologne à une politique de répression et de russification.
De nombreuses privations et actions violentes ont rythmé la vie de la France durant la seconde guerre mondiale (1939-1945). Rationnement, déportation de travailleurs, exactions allemandes et bombardements ont profondément marqué la population française.
À partir de novembre 1942
Mussolini se joint à lui et la France est alors totalement occupée, dans la région des Alpes et la Corse par l'Italie et dans tout le reste de la France par l'Allemagne.
Le mot « boche » est une aphérèse de alboche qui serait formé de « al » pour allemand et de « -boche », une suffixation argotique venue peut-être de bosse, « tête » (occitan caboça), que l'on retrouve dans caboche (cap, « tête »), Rigolboche, Alboche (Allemand), Italboche, et des expressions comme « au truc, si l' ...