(Musique) (Solfège) Symbole graphique, formé de deux doubles barres croisées, (♯) appartenant à la famille des altérations et dont la fonction est d'indiquer sur la partition, que la hauteur naturelle de la note associée à ce dièse, ou à la clef, sur la ligne où se place la note, doit être élevée d'un demi-ton ...
L'ordre des dièses (selon le cycle des quintes montantes) est immuable : fa, do, sol, ré, la, mi, si.
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Les altérations sont des symboles qui permettent d'altérer les notes. Il existe deux altérations : les dièses et les bémols. Le dièse (noté #) réhausse la note qu'il précède d'un demi-ton. Le bémol (noté b) abaisse la note qu'il précède d'un demi-ton.
dièse n.m. Altération qui élève les notes d'un demi-ton chromatique.
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Les compositeurs utilisent alors des demi-tons : les bémols et les dièses. Le dièse permet donc de hausser une note d'un demi-ton. Et il a la grâce de joindre la forme et le fond car pour le dessiner, il faut tracer un petit parallélogramme ascendant (♯).
N.B. : Vous remarquerez que les armures en dièses débouchent 5 cas sur 7 sur une tonalité « simple », où le nom de cette tonalité est une note non altérée : Sol Majeur, Ré Majeur, La Majeur, Mi Majeur et Si Majeur, contrairement aux armures en bémols qui nous donnent des noms de tonalités en bémols : Sib Majeur, Mib ...
Bémol essentiel
Ces bémols « à la clef » sont habituellement rappelés au début de chaque ligne de portée, et à chaque changement de clef. Ils constituent l'armure de la section du morceau. On les trouve toujours rangés dans cet ordre et ce quel que soit leur nombre : si, mi, la, ré, sol, do, fa.
Ordre des dièses, par quintes ascendantes : fa, do, sol, ré, la, mi, si. Ordre des bémols, par quintes descendantes : si, mi, la, ré, sol, do, fa (soit, l'ordre inverse du précédent).
Un hashtag /ˈhæʃˌtæɡ/, un mot-dièse ou un mot-clic est un mot-clé. Il est composé du signe typographique croisillon (‹ # › appelé hash en anglais) auquel est accolé un ou plusieurs mots (dénommés « tags » ou « étiquettes »). Signe typographique croisillon entamant un mot-dièse.
C'est de là que vient le nom du signe dièse, ainsi que son utilisation comme unité de mesure. Cette fonction a donné naissance à une autre coutume américaine : l'utilisation du # pour signifier “nombre”, c'est-à-dire le signe numérique, encore aujourd'hui courant comme alternative à l'abréviation “No”.
Un dérivé du verbe hacher
C'est en 2015 que le mot hashtag fait son entrée dans le dictionnaire Le Petit Robert. Il est en réalité composé de deux mots : "hash" et "tag". Le premier est un dérivé du verbe anglais to hash, lui-même directement issu du verbe français hacher.
Ordre des dièses (#) : Fa, Do, Sol, Ré, La, Mi, Si. Moyen mnémotechnique pour les retenir : Monsieur Fa a le dos au sol… c'est Monsieur Ré l'a (la) mis (mi) ici (si) • Ordre des bémols : le même mais en sens inverse : Si, Mi, La, Ré, Sol, Do, Fa.
Pour savoir de laquelle il s'agit, il vous suffit de regarder la note la plus grave à la fin. Si il n'y a qu'un dièse à la clé et que la note la plus grave à la fin est un Sol, le morceau a Sol pour tonalité. Si l'on trouve un Mi à la clé, le morceau est en tonalité de mi mineur.
Si vous voyez un Do dièse, par exemple, vous devez jouer le ton qui se trouve entre le Do et le Ré. Sur un piano, c'est la touche noire située à droite de la touche de Do. C'est pareil pour le Ré, le Fa, le Sol et le La.
C'est possible, car dans nos pays latins, les noms des notes – Do Ré Mi Fa Sol La Si – ne sont pas l'héritage des musiciens de l'Antiquité et de Boèce : ils ont été façonnés à partir de la musique vocale.
Par exemple, si vous avez 3 dièses à la clef, il s'agira du sol dièse. Ajoutez alors un demi ton, ce qui vous donne La. Vous êtes donc en La Majeur.
5 dièses (Fa# - Do# - Sol# - Ré# - La#), nous sommes en Si majeur.
Quand il y a sept dièses à la clé (Fa#, Do#, Sol#, Ré#, La#, Mi#, Si#) , la tonalité sera «Do dièse majeur» ou «Do# Ionien», la gamme relative sera donc «La dièse mineur» ou «La# Aeolien».
La tonalité est donc définie par la gamme choisie, qui sera mineure ou majeure. Cette gamme, qui contient 7 notes, se base sur ce que l'on appelle donc une tonique : celle-ci est tout simplement la note qui donne le ton du morceau. Il s'agit ainsi du premier degré de la gamme. Par exemple, la très célèbre Nocturne Op.
Le bémol est le contraire du dièse. Le bémol, lorsqu'il est placé devant une note, baisse la note d'un demi-ton.
En musique, une altération est un signe qui modifie la hauteur de son d'une note. Elle peut se placer à la clef, en début de portée, et s'appliquer ainsi à la même note (par exemple fa) dans toutes la suite de la partition, quelle que soit son octave, jusqu'à ce que l'altération disparaisse.