Qu'est-ce qui t'est passé par la tête ?

Interrogée par: Isaac Delahaye-Robert  |  Dernière mise à jour: 26. Oktober 2022
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On dit d'une idée qu'elle passe par la tête lorsqu'on y parvient sans démarche cognitive volontaire, uniquement par libre association d'idées.

Qu'est-ce qu'il t'est passé par la tête ?

Passer par la tête, c'est laisser aller ses idées, sans réflexion particulière. En cas de conflit, on demande ainsi ce qui est passé par la tête, pourquoi avoir agi sans réfléchir.

Qui me passait par la tête ?

Tout ce qui me passe par la tête, journal nouveau ; ou Salmigondi d'un spectateur des folies humaines, «qui s'afflige des unes, s'amuse des autres, se réjouit de tout ce qui arrive d'heureux à ses semblables ; qui fait registre de tout ce qu'il entend, de tout ce qu'il voit, de tout ce qu'il pense».

Comment savoir écrire se où ce ?

Ne pas confondre « ce » et « se », « ces » et « c'est »
  1. On écrit ce quand il s'agit d'un déterminant ou d'un pronom démonstratif (→ idée de désignation). Exemples : Ce crayon m'appartient. ( ...
  2. On écrit se quand on a affaire à un verbe pronominal. Exemple : Armand se croit tout permis.

Ou cas où ?

"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.

Croire

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Qu'est-ce qui s'est passé où Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » .

Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?

Résumé Une petite fille s'est cassé le poignet et tout le monde lui demande « Qu'est-ce qui t'est arrivé ? ». Elle explique sa mésaventure à sa copine : je sortais de la boulangerie quand soudain un oiseau m'a emportée au sommet d'une montagne.

Comment ça se passe où ce passé ?

Ce qu'il se passe -> Il se passe « ce » (un événement, une situation, etc.) « Ce » a dans cette phrase la fonction grammaticale de COD, mais « ce » est le sujet réel du verbe se passer. Dans les deux cas, personnel ou impersonnel, c'est « ce » qui se passe.

Qu'est-ce qu'il m'arrive ou Qu'est-ce qui m'arrive ?

Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.

C'est quoi le passé ?

1. Partie du temps qui est révolue avant le moment présent et dans laquelle se sont déroulés les événements passés : Situer un événement dans le passé. 2. Ensemble des faits, des événements qui ont eu lieu avant le moment présent, la période actuelle et qui constituent l'histoire : Les leçons du passé.

Qui lui reste ou qu'il lui reste ?

Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».

Qu'est-ce qu'il Qu'est-ce qui ?

Dans les tournures impersonnelles

Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.

Qui me restait ou qu'il me restait ?

Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.

Qu'est-ce qu'il t'arrive en anglais ?

Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Is there something going on with you?

Qu'est-ce qu'il en ait ?

Forme décalquée sur l'expression « malgré qu'il en ait », évitant un malgré que présumé fautif : voir malgré.

Qui ou qu'il se passe ?

Oralement, les deux structures sont très proches ; elles sont même identiques dans un niveau familier, où « il » est réduit à « i » : « ce qui se passe ». « Qui » est le sujet habituel d'une construction personnelle : « Prends ce QUI te plaît ».

Qu'est-ce que il ya ?

Interjection. (Familier) Oui, si.

Qui me manquait ou qu'il me manquait ?

Qui vous manquait ou qu'il vous manquait ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.

Qu'est-ce qui lui prend ou Qu'est-ce qu'il lui prend ?

Dans les autres constructions (« ce qu'il lui reste [ne pèse pas lourd] », « ce qu'il lui prend », « ce qu'il en est résulté »…), le que du ce qu'il occupe la fonction de sujet réel du verbe impersonnel ; le pronom il en étant le sujet apparent.

Est-ce que c'est possible ou Est-il possible ?

On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»

Qui manque ou qu'il manque ?

Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.

Qu'est-ce que c'est où c'est quoi ?

Qu'est-ce que : en début de phrase, pour poser une question. Qu'est-ce que tu penses de lui ? Mais qu'est-ce qu'on attend ? Ce que : après un verbe.

Qui m'a pris ou prise ?

INVARIABLE : "Je ne sais pas ce qui m'a pris de…" Le participe est invariable dans cette expression; le pronom réfléchi est complément d'objet indirect. On dira donc "Je ne sais pas ce qui LUI a pris" et non "ce qui l'a, les a pris ou prise(s)". Tu m'as prise, la main dans le sac de patches.....

Qui lu cru ?

Dans cette expression qui apporte une pointe d'humour à une phrase, il ne faut pas oublier l'accent circonflexe sur le « u » de l'auxiliaire « avoir ». Qui l'eût cru ? Le verbe « croire » est ici au conditionnel passé deuxième forme. Il a exactement les mêmes terminaisons que le plus-que-parfait du subjonctif.

Qu'est-ce qui ferait ou Qu'est-ce qu'il ferait ?

« Qu'est-ce qui te ferait plaisir pour Noël? » Quelle chose te ferait plaisir pour Noël ? Il est donc conjugué à la troisième personne du singulier : Qu'est-ce qui te ferait plaisir pour Noël ?

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