Le tabagisme, l'exposition aux rayonnements ionisants, et l'obésité ou le surpoids sont des facteurs de risque de cancer du rein.
Souvent, le cancer du rein se développe sans provoquer de symptôme particulier. Néanmoins, il arrive qu'un cancer du rein entraîne une hématurie, c'est-à-dire la présence de sang dans les urines, une douleur dans le flanc ou qu'il se matérialise par une masse palpable au niveau des lombaires.
Le cancer du rein affecte le plus souvent les personnes âgées de plus de 50 ans. On l'observe davantage chez l'homme que chez la femme. Les facteurs de risque sont habituellement classés du plus important au moins important.
Le pronostic du cancer du rein est plutôt bon avec un taux de guérison relativement élevé. Après la guérison, la possibilité de métastases « dormantes » implique un suivi médical régulier pendant au moins cinq ans, voire toute la vie.
La plupart des personnes ne pouvant compter que sur un seul rein ont soit subi une ablation soit effectué un don d'organe. Bonne nouvelle pour les personnes dans ce cas : il est tout à fait possible de vivre normalement avec un unique rein.
Les symptômes peuvent comprendre mictions nocturnes, fatigue, nausées, démangeaisons, soubresauts et crampes musculaires, perte d'appétit, confusion, détresse respiratoire et œdème du corps (le plus fréquemment au niveau des jambes). Des analyses de sang et d'urine sont nécessaires pour établir le diagnostic.
L'eau est la meilleure boisson pour la santé des reins. La recommandation officielle est de boire de 1,5 à 2 litres par jour. C'est l'équivalent de 8 verres d'eau par jour.
Riches en eau et en antioxydants, les fruits rouges ont des vertus détoxifiantes. Ceux aux couleurs sombres comme la myrtille, les mûres et les canneberges sont les meilleurs pour les reins.
Quel type d'eau ? Plate ou gazeuse, peu importe. Peu minéralisée (type Evian®, Volvic®, Cristaline®, Mont Roucous®) si l'alimentation est bien équilibrée par ailleurs. Riche en calcium (Contrex®, Hépar®, Courmayeur®) si la consommation de produits laitiers est trop faible (moins de 2 à 3 par jour).
La chirurgie est le traitement de référence du cancer du rein. Lorsqu'elle n'est pas envisageable, un traitement médicamenteux est prescrit. Le patient est pris en charge par une équipe pluridisciplinaire regroupant urologue, oncologue, chirurgien, radiothérapeute…
Lorsque la tumeur est trop grosse et que le chirurgien sait qu'il n'arrivera pas à laisser un rein fonctionnel, l'ablation totale est indiquée ", explique le Dr Vincent Hupertan.
Sans traitement, la tumeur va progressivement envahir le rein, les vaisseaux qui l'irriguent (veine rénale et veine cave), les organes voisins (glande surrénale, ganglions), voire migrer sous forme de métastases dans d'autres organes : le poumon (dans 75 % des cas), le foie, les os, le cerveau, etc.
"Le rein fabrique moins d'EPO (érythropoïétine) et donc moins de globules rouges, ce qui provoque une anémie, un essoufflement, une fatigue".
Le cancer du rein est le plus souvent traité par la chirurgie lorsqu'il est localisé ou localement avancé. Lorsque le cancer a formé des métastases, le traitement repose sur des médicaments de thérapies ciblées et d'immunothérapie, associés ou non à la chirurgie.
Quand s'inquiéter et qui consulter ? Dès lors que vos douleurs s'intensifient ou que vous présentez les symptômes associés des calculs rénaux ou d'une pyélonéphrite, prenez rendez-vous sans tarder avec un médecin généraliste pour effectuer les premiers examens, et recevoir un traitement pour soulager la douleur.
Des chercheurs ont découvert un lien entre pathologies rénales et importante consommation de viande rouge. D'autres sources de protéines seraient donc à privilégier, telles que la viande de volaille ou le poisson.
L'alcool consommé en excès est néfaste pour les reins. Les boissons alcooliques augmentent en effet la tension artérielle, ce qui favorise l'apparition de l'insuffisance rénale. Les sucres industriels raffinés présents par exemple dans les pâtisseries industrielles sollicitent de façon abusive le pancréas et les reins.
"Non, le café n'est pas particulièrement mauvais pour les reins", note la nutritionniste. Il est cependant recommandé d'en limiter la consommation, surtout s'il s'agit de café soluble ou de chicoré.
Une maladie nommée «hyponatrémie»
Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
Le jus de citron permet de purifier les reins grâce à son taux d'acidité. Il est aussi connu pour réduire la formation de calculs rénaux s'il est pris en bonne quantité et de la bonne manière. L'idéal serait de diluer six centilitres de jus de citron dans deux litres d'eau et de consommer cette boisson tous les jours.
Boire beaucoup d'eau, 1 L et demi par jour, eau de source la plus pure possible (extrait sec à 180° le plus bas possible, autour de 20, c'est indiqué sur toutes les étiquettes). Faire des tisanes de plantes comme la verge d'or, la busserole, l'ortie qui sont diurétiques.
Les reins sont en charge de l'équilibre de notre organisme. En filtrant le sang, ils régulent la quantité d'éléments présents dans le corps. Si vous mangez une banane par exemple, ils s'activent pour éliminer l'excès de potassium.
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.