Pourpre, de couleur pourpre.
Nardine bebek est une retranscription informelle de cette insulte employée dans les dialectes arabes du Maghreb. En alphabet arabe : يلعن (maudite), دين (religion), باباك (père). Elle se prononce ina'a din bèbèk. Elle est équivalente à « va te faire foutre » ou « nique ton père ».
De l'arabe يلعن دين أمك , 'īlʿan dīn 'ummek (« maudite soit la religion de ta mère ! ») Ce qui fut aux origines une phrase exclamative est devenu par contraction une simple interjection, et quelquefois une locution interjective, prononcée de manière quelque peu différente en arabe maghrébin : « lān dīn 'umuk » ou « nāl ...
« Tabon » est le nom du mégapode des Philippines, appelé en anglais « Tabon scrubfowl », un oiseau qui creuse son nid dans le sol.
Quelle est l'orthographe de nikoumouk ? Comme ce mot est une translittération de l'arabe en alphabet latin, il possède plusieurs variantes. On le rencontre écrit avec des c pour noter le son [k], en une ou en deux parties, et il y a aussi une variation sur les ou : nikomouk, nik omok, nikoumouc, nik omoc, etc.
"Nikoumouk, ça veut dire longue vie" - Cosmopolitan France | Facebook.
"Starfoullah" signifie en arabe : "Que Dieu me pardonne". Ce terme marque la surprise ou le dépit par rapport à une situation.
Comme le mot bsahtek est surtout employé à l'oral, il n'a pas une orthographe fixe. On a déjà cité la graphie bsartek , mais on trouve aussi des variantes avec un p : psartek , psahtek . Et aussi bsa7tek (mais plutôt en arabe qu'en français), suivant la notation de l'arabe en alphabet latin.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
L'endroit où. Exemple : Il n'a pas à me dire où je dois aller. Le moment où. Marque la conséquence.
OU, conj. Conjonction de coordination disjonctive, indiquant une alternative qui a valeur de distinction pouvant aller jusqu'à l'exclusion, et reliant des termes, groupes de mots ou propositions de même fonction grammaticale, logiquement associables, voisins ou opposés de sens.
« Tout » peut être substantivé, c'est-à-dire considéré comme un substantif (un nom), lorsqu'il est précédé d'un déterminant. « Le tout » a le sens de « l'ensemble », de « la totalité ».
Exemple : "Fais belek, tu vas tomber ! " "Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Khouya : prononcez « rouilla », frère en arabe, par extension, pote. Variante : khey.
Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
L'écriture la plus courante est cheh, mais on trouve aussi chèh, sheh et shèh.
Il se dit fréquemment de manière rituelle après avoir roté ou après avoir éternué. De plus, la formule hamdoullah ça va a été popularisée par une chanson du rappeur La Fouine sortie en 2009.
Quelqu'un qui fait crari, c'est quelqu'un qui fait semblant, qui se donne un genre. Employé seul, souvent en début de phrase, crari, mot aux origines obscures, signifie « soi-disant », « prétendument », à l'instar de son cousin arabe, « zarma » ou « zerma ».
Premier exemple : «Sah». «Cela veut dire t'es sérieux, sérieusement ou encore, en vrai » traduit Bakoclaye, l'un des élèves. «Cela ressemble beaucoup à une interjection, analyse Julien Barret. Le mot vient de l'arabe.» Comme souvent, ce sont les réseaux sociaux qui font le succès de cet argot.
Et comme souvent, le sens du mot va évoluer avec le temps. Et même s'il est souvent synonyme d'affaires illégales, le terme est hyper général en fait.
Quelle (ou quelles au pluriel) est l'adjectif interrogatif ou exclamatif. Il s'accorde avec le nom qu'il accompagne (quel, quelle, quels, quelles). Par contre, on écrit qu'elle (ou qu'elles au pluriel) quand il s'agit de la conjonction que + le pronom sujet elle(s) PRONOMS SUJETS.
La réponse simple. On écrit toujours « tous deux », tous au pluriel, avec un s final puisqu'il s'agit de deux choses ou deux personnes.
*houleux, houleuse
Se dit d'une mer agitée par la houle. 2. Se dit d'une assemblée agitée de sentiments contraires qui échappent à toute discipline : Une séance houleuse.