L'IA est en réalité une discipline jeune d'une soixante d'années, qui réunit des sciences, théories et techniques (notamment logique mathématique, statistiques, probabilités, neurobiologie computationnelle et informatique) et dont le but est de parvenir à faire imiter par une machine les capacités cognitives d'un être ...
L'IA faible, ou IA étroite, est un système d'intelligence artificielle conçu et entraîné pour une tâche particulière. Ainsi, les assistants personnels virtuels comme Siri d'Apple, sont une forme d'IA faible. Quant à l'IA forte, ou intelligence générale artificielle, elle dispose de capacités cognitives humaines.
L'IA est la simulation de l'intelligence humaine par des machines. Ses capacités vont d'une IA assez simple, appelée « étroite », à une IA avancée, appelée « générale » ou « supérieure ». Les applications de l'IA sont déjà très répandues et englobent les algorithmes de recherche ou la reconnaissance faciale.
Il existe trois types d'IA : l'intelligence artificielle étroite (ANI), l'intelligence artificielle générale (AGI) et la superintelligence artificielle (ASI).
La paternité du terme « IA » pourrait être attribué à John McCarthy du MIT (Massachusetts Institute of Technology), terme que Marvin Minsky (université de Carnegie-Mellon) définit comme « la construction de programmes informatiques qui s'adonnent à des tâches qui sont, pour l'instant, accomplies de façon plus ...
Piratage des systèmes contrôlés par l'IA : perturber les infrastructures en causant par exemple une panne d'électricité généralisée, un engorgement du trafic ou la rupture de la logistique alimentaire. Chantage à grande échelle : recueillir des données personnelles afin d'envoyer des messages de menace automatisés.
La technologie de l'IA améliore les performances et la productivité de l'entreprise en automatisant des processus ou des tâches qui nécessitaient auparavant des ressources humaines. L'intelligence artificielle permet aussi d'exploiter des données à un niveau qu'aucun humain ne pourrait jamais atteindre.
L'intelligence artificielle (ou IA) est de plus en plus présente dans notre quotidien, notamment au travers de nouveaux produits ou services. Elle repose cependant sur des algorithmes gourmands en données, souvent personnelles, et son usage nécessite le respect de certaines précautions.
Les robots dits explorateurs permettent, quant à eux, de remplacer l'Homme dans certaines situations, plus ou moins dangereuses ou inaccessibles, telles que l'exploration de l'espace.
Le budget IA des entreprises est en forte progression, estimé à plus de 230 milliards d'euros en 2020 au niveau mondial (hors charges internes de personnels) et dont la croissance atteindrait + 18 % par an pour atteindre plus de 450 milliards d'euros en 2024, grâce à l'adoption progressive de l'IA dans l'industrie.
L'IA pourrait stimuler notre compréhension de nous-mêmes
D'autres experts vont plus loin et affirment que l'IA ne représente pas un danger pour l'homme. Selon eux, l'IA pourrait également nous aider dans notre compréhension de l'être humain.
Les machines pensent plus vite que les humains et peuvent être soumises à plusieurs tâches. L'intelligence machine peut être utilisée pour effectuer des tâches dangereuses. Leurs paramètres, contrairement aux humains, peuvent être ajustés. Leur vitesse et leur temps ne sont que des paramètres basés sur des calculs.
Développé par Microsoft, Cortana est aussi l'un des meilleurs assistants IA sur le marché. Il se base sur les données des appareils pour réaliser ses différentes fonctions. D'autre part, il utilise le moteur de recherche Bing pour puiser les informations et fournir des recommandations personnalisées.
L'objectif de l'IA est de donner un caractère prédictif à ces données et de généraliser leur utilisation au quotidien et dans tous les secteurs de l'économie et de la société : santé, travail, industrie, agriculture, politiques publiques, etc.
Les limites technologiques et cognitives empêchent les machines d'atteindre un raisonnement complexe, en dehors des tâches pour lesquelles elles sont prévues. Elles ne parviennent pour le moment ni à acquérir une expérience subjective ni à réellement communiquer avec le monde qui les entoure.
C'est dans les tâches administratives, moins visibles du grand public, que l'hyper-automatisation va à moyen termes considérablement modifier le quotidien. Cela va se traduire par l'automatisation de processus dans leur totalité et par le soulagement de tâches très répétitives et fastidieuses.
Les robots ne connaissant pas les émotions, l'affect et tout ce qui touche à la personnalité humaine, ils ne peuvent pas remplacer les hommes pour des métiers touchant à la créativité (chorégraphe, directeur artistique, peintre), à la sociabilité (psychologue, entraîneur) ou nécessitant des manipulations précises ( ...
D'autre part, les robots peuvent devenir des perturbateurs affectifs pour l'homme. Prendre l'habitude d'humanoïdes dociles où la question du consentement ne se pose pas, peut provoquer un risque de banalisation de certains comportements et se répercuter sur les femmes humaines.
Les premiers robots industriels apparaissent, malgré leur coût élevé, au début des années 1970. Ils sont destinés à exécuter certaines tâches répétitives, éprouvantes ou toxiques pour un opérateur humain : peinture ou soudage des carrosseries automobiles.
Nom commun. Primate évolué à morphologie proche de celle de l'humain. Les anthropoïdes sont les grands singes c'est-à-dire les hominoïdes y compris l'humain et leurs prédécesseurs.
Automatisation des tâches de travail, chatbot, création de nouveaux métiers, algorithmes de recrutement… L'intelligence artificielle engendre de nombreux bouleversements dans le monde du travail.