Le silence psycholinguistique. Nous admettons ici qu'il existe deux formes de silences psycholinguistiques utilisés pour le décodage du langage : le silence de faible durée, dit « silence rapide », et le silence de longue durée, dit « silence lent ».
Une figure de silence est un signe qui sert à indiquer la durée de l'interruption du son. Il y a sept figures de silences qui correspondent, en durée, aux sept figures de notes . La pause est dessinée sous la 4e ligne. Elle a la même durée qu'une ronde, soit quatre temps.
7 principales figures de note
Il existe sept principales formes ou figures de note (et 7 silences musicaux de même durée) : la Ronde, la Blanche, la Noire, la Croche, la Double croche, la Triple croche, la Quadruple croche.
Douze notes. Sept pour les touches blanches : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, et cinq pour les touches noires : Do#, Ré#, Fa#, Sol#, La#. Pourquoi douze notes et pas quinze, ou neuf ? La guitare, la flûte, et le saxophone se jouent aussi sur ces douze notes, qui forment l'alphabet de la musique occidentale.
Les silences sont des signes musicaux qui indiquent l'interruption du son. À chaque valeur de note correspond un silence. La pause, placée sur la quatrième ligne de la portée, elle correspond à la valeur d'une ronde : c'est un silence à 4 temps.
Il y a sept sortes de silences : la pause, la demi-pause, le soupir, le demi-soupir, le quart de soupir, le huitième de soupir et le seizième de soupir.
La noire a la même valeur que le soupir. La croche a la même valeur que le demi-soupir. La double-croche a la même valeur que le quart de soupir.
Les signes de reprise permettent la répétition de fragments plus ou moins longs — supérieurs à une mesure, et jusqu'à plusieurs phrases entières. On distingue le da capo, le renvoi et la barre de reprise.
Le soupir, quant à lui est écrit à la main comme un 7 à l'envers. Mais il est presque toujours écrit sur les partitions éditées comme un symbole qui rappelle la signature du bout d'épée de Zorro… Saviez-vous qu'il existe deux symboles pour le soupir, en fonction de si on l'écrit ou si on le lit ? et bien voilà.
Le silence est au cœur du travail analytique : silence assourdissant ou silence apaisant ; silence du corps ou de l'esprit ; silence de la plainte, de la rêverie. Silence côté cour et côté jardin. Angoisse du silence. Il n'y a pas d'analyse si le silence s'absente car il est l'indicateur du cheminement des mots.
Il permet d'avoir la main dans certaines situations de conflit ou de négociation. Il permet à l'autre de projeter et à vous de l'observer et de comprendre ce qui l'habite. Enfin il permet de ne pas constamment livrer à autrui votre mode d'emploi.
silence n.m. Absence de bruit dans un lieu calme.
Étymologie. Du latin silentium (« silence »).
Lorsqu'il n'y a plus de mots, ne cherche ni à parler, ni à penser à autre chose. Le silence a sa propre éloquence parfois plus précieux que les paroles. Le silence est fait de paroles que l'on n'a pas dites.
Le silence permet de nous construire ou reconstruire. Si nous réfléchissons en toute honnêteté, reconnaissons que nous avons "besoin" de silence pour penser, réfléchir, nous retrouver en nous-mêmes ; pour savoir quels sont nos vrais désirs, ce que nous souhaitons au plus profond de nous…
est la figure de note dont la durée vaut la moitié de la double croche et le double de la quadruple croche. La triple croche vaut un huitième de temps lorsque l'unité de temps est égale à la noire.
Ainsi, une blanche pointée vaut 3 temps car 1.5*2=3. Cela est valable pour n'importe quelle note. L'image à droite représente une croche pointée de valeur 0.75 temps (0.5*1.5=0.75).
Le points après une figure de note ou de silence ajoute en durée la moitié de la durée de la note de musique (ou figure de silence), donc : Une blanche pointée vaut 3 temps (2 temps plus la moitié de 2 temps). Une demi-pause pointée vaut 3 temps (2+1).
Parce que l'intervalle de quarte équivaut à l'écart entre quatre notes (do, ré, mi, fa), la quinte équivaut à cinq notes (do ~ sol), l'octave à huit notes, etc.
En musique, une septième (nom féminin) est l'intervalle séparant deux sons. Une septième comprend sept degrés. Par exemple : do-si (six degrés : do-ré-mi-fa-sol-la-si) ou bien sol-fa (six degrés : sol-la-si-do-ré-mi-fa) forment une septième.
C'est à un moine toscan, le musicien Guido d'Arezzo (995–1050), que l'on doit les noms des notes de la gamme que nous utilisons aujourd'hui. Elles ont été pensées selon un chant religieux, l'hymne à St Jean-Baptiste. Pour le créer, le moine il a utilisé les initiales des sept phrases de cette chanson.