Système dans lequel les agents économiques (entreprises, individus) ont la liberté de vendre et d'acheter des biens, des services et des capitaux. Chacun agit alors en fonction de ses intérêts; le profit, considéré positivement, y figure comme la récompense du risque.
transmission de l'information sur l'offre et la demande ;. incitation pour les producteurs à s'orienter vers les secteurs aux prix élevés et, partant, à permettre un retour à l'équilibre ; répartition des revenus.
Le marché est une notion essentielle en économie. Il en existe plusieurs types : le marché des biens et des services, le marché du travail ou encore les marchés financiers.
L'économie pourrait se définir par ses champs d'analyse : production, consommation, répartition des richesses… Mais elle doit souvent prendre en compte d'autres dimensions : politique (budget de l'État), sociale (répartition des revenus), etc.
Les caractéristiques de l'économie de marché
Une véritable économie de marché se caractérise par l'absence d'intervention de l'Etat dans les décisions des particuliers et des entreprises : primauté du contrat par rapport à la loi, taxes faibles, code du travail réduit voire inexistant.
On distingue généralement quatre structures de marché (la concurrence, le monopole, l'oligopole et la concurrence monopolistique).
On peut retenir donc cinq acteurs principaux dans l'économie : les entreprises (les sociétés financières et non financières et les entreprises individuelles), les acteurs financiers (les sociétés financières), les administrations publiques, les ménages et le reste du monde.
Ces enseignements sont les sciences économiques et sociales (SES) et/ou les principes fondamentaux de l'économie et de la gestion (PFEG). Ces deux enseignements bien qu'axés en partie sur l'économie ont des approches un peu différentes mais complémentaires.
Plus précisément, la science économique étudie comment les ressources d'un pays sont utilisées pour satisfaire les besoins de ses citoyens. Elle s'intéresse aux opérations de production, de distribution et de consommation des biens et services.
L'économie de marché ne se limite pas à la liberté sur le marché des biens. Si le capital (donc l'argent et le crédit), et la main-d'œuvre (donc l'emploi) restent sous la contrainte de l'Etat, l'économie ne se libère pas. Elle reste rigide et inadaptée.
- La demande doit être solvable (pouvoir d'achat suffisamment élevé, prix adaptés), afin de permettre l'échange (transactions financières). - Un marché comprend 5 acteurs principaux : les clients, les producteurs, les distributeurs, les infuenceurs et les régulateurs (législateur, organismes publics).
Par analogie aux poupées russes, 3 marchés s'emboîtent les uns dans les autres : le marché générique, le marché principal et le marché segment.
Pour l'économiste, le marché est défini comme le lieu de rencontre des vendeurs et des acheteurs de biens et de services où, de la confrontation entre l'offre et de la demande, va naître le prix d'échange.
L'atomicité du marché est une caractéristique du marché indiquant la présence d'un grand nombre de vendeurs et d'acheteurs, empêchant ainsi toute position dominante sur le marché.
L'économie des marchés financiers correspond à un système financier dans lequel les agents économiques doivent émettre des titres financiers afin de couvrir la majeure partie de leurs besoins de financement. Ces titres peuvent être des actions, des obligations ou des bons du Trésor.
Le secteur primaire concerne les ressources naturelles, le secondaire l'industrie et la construction, le tertiaire les services marchands et non marchands. Un quatrième secteur, ajouté plus récemment, concerne les activités liées au numérique et à l'innovation.
A. Objectifs économiques
Les principaux objectifs sont la croissance, la stabilité des prix, le plein emploi, l'équilibre des échanges extérieurs. Plus récemment les économistes ont ajoutés l'équilibre des finances publiques.
Adam Smith, Écossais et professeur de « philosophie morale » de son état, est né en 1723. Il publie en 1776 Recherche sur les causes et la nature de la richesse des nations, ouvrage considéré aujourd'hui comme l'acte de naissance de l'analyse économique et du libéralisme.
Au sein de la discipline, on distingue deux grandes approches : la macroéconomie, qui étudie les grands agrégats économiques (épargne, investissement, consommation, croissance économique), et la microéconomie, qui étudie le comportement des agents économiques (individus, ménages, entreprises) et leurs interactions, ...
La rareté est le problème économique fondamental. Elle se produit parce que nous, les humains, avons des demandes sans fin que les ressources limitées et toute la production du monde ne peuvent satisfaire.
Cette approche permet de poser le cadre macroéconomique dans lequel l'entreprise agit. Dans un deuxième temps, le cours développe quelques thèmes fondamentaux de l'analyse macroéconomique (la monnaie et le financement de l'économie, l'inflation et les relations économiques avec l'extérieur).
Le marché établit l'équilibre entre l'offre et la demande par l'intermédiaire des prix. Cet équilibre est obtenu grâce aux rétroactions négatives. Si les prix montent, la demande diminue. S'ils baissent, elle augmente.
L'efficacité de l'économie de marché s'explique, en particulier, par la concurrence, qui a pour effet de favoriser l'adaptation de l'offre à la demande. Il y a concurrence lorsque chacun est libre de vendre un produit au prix qu'il veut et de le produire avec les procédés qu'il désire.
Les secteurs institutionnels étaient appelés « agents » dans le précédent système de comptabilité nationale. On en compte six : les sociétés non financières, les sociétés financières, les ménages, les administrations publiques, les institutions sans but lucratif au service des ménages, le reste du monde.