L'aluminium présente aussi une neurotoxicité pouvant entraîner la maladie d'Alzheimer ainsi que d'autres maladies neurodégénératives, comme la maladie de Parkinson. La principale voie d'exposition à l'aluminium pour la population générale est celle de l'alimentation.
Toxicité de l'aluminium
Les effets toxiques de l'aluminium portent essentiellement sur le système nerveux central (encéphalopathies, troubles psychomoteurs) et sur le tissu osseux.
Intoxication à l'aluminium symptômes
Il peut y avoir de diagnostiqué un discours anormal, une encéphalopathie progressive, ou bien des convulsions. L'aluminium peut être une des origines de maladies neuro-dégénératives comme la maladie de Parkinson ou bien la maladie d'Alzheimer.
Lorsqu'il est absorbé en excès, l'aluminium est neurotoxique et peut provoquer des encéphalopathies (des maladies du cerveau) ou des troubles du psychisme ou du mouvement. Cependant, son rôle dans l'apparition de la maladie d'Alzheimer, autrefois suspecté, n'a jamais pu être confirmé.
Lorsqu'on ingère de l'aluminium, on en élimine 95% dans les fèces sans qu'il ait passé la barrière intestinale. Pour la fraction qui parvient à traverser cette barrière, 83% sera éliminée dans les urines.
L'aluminium, présent partout dans notre alimentation
La majorité des produits non-transformés comprennent moins de 5mg d'aluminium/kg. Mais d'autres en comptent davantage : de 5 à 10 mg/kg. C'est le cas des biscuits, de certains légumes, des fruits glacés, des produits laitiers, des coquillages, des saucisses…
Fatigue intense. Les os peuvent se résorber entraînant une libération de plomb dans l'organisme via le sang. Goût métallique dans la bouche.
Il y a du plomb et du cadmium dans le pain, de l'aluminium dans les pâtes, du cuivre dans le café, mais en faibles quantités: si l'on mange de tout et sans excès, il n'y a rien à craindre, les risques pour la santé sont "bien maîtrisés", selon l'agence sanitaire Anses.
La protection cathodique
Cela est rendu possible avec l'utilisation de certains matériaux, notamment l'aluminium, le zinc ou le magnésium, qui empêchent la corrosion du métal et deviennent donc une cathode. Cette méthode est principalement prisée dans les environnements marins.
En effet, l'aluminium peut s'introduire dans la nourriture à partir de casseroles, des ustensiles de cuisine ou des emballages et le risque de contamination serait encore plus évident en présence d'acides ou de sel qui augmenteraient la concentration de l'aluminium dans les aliments.
Comment faire pour supprimer l'aluminium de l'eau potable? Systèmes de traitement de l'eau tels que des adoucisseurs d'eau, osmose inverse, échange d'ions et de floculation, des procédés largement utilisés pour l'élimination de l'aluminium de l'eau potable.
Pour encourager leurs fonctions, il faut penser à détoxifier nos organes émonctoires en permanence. L'idéal, c'est de boire au quotidien des jus de légumes et de fruits. Les vitamines, oligo-éléments et enzymes contenus dans les jus soutiennent l'activité de nos organes émonctoires.
Comparé au PVC ou au bois, l'aluminium est notablement plus cher à l'achat. Le matériau étant malléable, à faible épaisseur, notamment en feuille, il a tendance à mal supporter les coups et à s'enfoncer.
À peine un ou deux milligrammes émanent des chaudrons ou des casseroles. Certains associent l'aluminium à la maladie d'Alzheimer, mais cela n'est pas encore clairement démontré. Selon l'Organisation mondiale de la Santé, un adulte peut absorber sans danger plus de 50 milligrammes d'aluminium chaque jour.
Placer du papier d'aluminium sur les grilles du four peut entraver la répartition de chaleur et affecter la cuisson. Recouvrir les ouvertures d'aération dans le fond du four peut entraîner une mauvaise répartition de la chaleur dans le four et provoquer des problèmes de performance.
Le papier aluminium est composé de particules toxiques pour l'humain. Le papier aluminium utilisé comme papier cuisson est à proscrire ! Il risque, au contact de la chaleur, de transférer certaines de ses particules toxiques à la nourriture !
Pourquoi faut-il éviter l'aluminium ? Lorsque l'on emballe des aliments, ou des restes de plats préparés dans un papier aluminium, le risque est de voir migrer des petites particules de ce métal au cœur même des produits. Et plus la durée d'exposition est longue, plus le risque est grand !
Celui-ci sert à garder les aliments frais plus longtemps au réfrigérateur. Le film permet de couper les aliments de l'air et donc par conséquent des éventuelles bactéries, champignons ou insectes. Cela permet aussi de couper des mauvaises odeurs.
Les éléments de façade en aluminium ont une durée de vie d'au moins 75 ans et un minimum de 95 % peut être récupéré par recyclage. En théorie, cela signifie que les éléments de façade peuvent avoir une durée de vie totale de 1 500 ans !
Contrairement au fer ou au cuivre, l'aluminium n'a aucune fonction biologique connue. Dans le sang, il est transporté par la transferrine, une protéine qui assure également le transport du fer. Une fois absorbé par l'organisme, il s'accumule dans certains organes où il pourrait causer des dommages.
Pour des légumes grillés au four, sans papier d'alu, on peut faire confiance au papier sulfu. Aussi connu sous le nom de papier cuisson ou papier parchemin. Lui n'est accusé de rien, si ce n'est peut-être d'un gros manque de souplesse. Mais pour cuisiner les légumes au four, à plat, il fait très bien l'affaire.
L'aluminium est un élément naturel
L'aluminium est le 3ème élément de la croûte terrestre. Il entre dans la composition de tous les sols, plantes et tissus animaux. Nous y sommes donc exposés directement.
L'arsenic (As), le cadmium (Cd), le chrome (Cr), le plomb (Pb) et le mercure (Hg) sont les métaux lourds les plus préoccupants en raison de leur grande toxicité.
Cette dénomination recoupe l'ensemble des métaux présentant un caractère toxique pour la santé et l'environnement : le mercure (Hg), l'arsenic (As), le cadmium (Cd),le nickel (Ni), le zinc (Zn), le manganèse (Mn), le plomb (pb) etc.
Pour le traitement il s'agit de « chélater » c'est-à-dire d'utiliser des molécules chimiques qui vont fixer les métaux lourds pour former de nouveaux composés inactifs dont l'organisme pourrait se débarrasser par voie urinaire ou par les selles. Le milieu médical suit un protocole long avec un agent chélateur chimique.