Les propositions indépendantes fonctionnent en autonomie, et ne dépendent donc d'aucune autre proposition, c'est-à-dire qu'elles ont un sens même si l'on ne lit pas le reste de la phrase. Il en existe deux types : la juxtaposition et la coordination.
Les propositions indépendantes coordonnées sont réunies par des petits mots : mais, ou, et, donc, or, ni, car ; ou des adverbes de liaison : ainsi, alors, ensuite, en effet, pourtant, cependant. Deux personnages (Truc et Bidule) et deux narrateurs (Medhi et Alma).
Deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule. Par exemple : Alma m'a expliqué; je sais comment rapper, tu fais des phrases ponctuées pour la fluidité...
Une proposition indépendante est une proposition qui a un sens par elle-même ; elle ne dépend d'aucune autre proposition. La phrase peut en contenir plusieurs : Le pauvre canard était chassé de partout, ses sœurs même étaient méchantes avec lui.
- La proposition indépendante, ne dépend d'aucune autre proposition, et aucune autre proposition ne dépend d'elle. - Erik est sérieux. - Le soleil disparaît derrière les nuages. - La proposition subordonnée dépend toujours d'une autre proposition dont elle complète le sens.
Deux propositions indépendantes reliées par une conjonction de coordination (et, ou, ni, mais, car, or, donc, ou encore par puis, ensuite, cependant, pourtant, toutefois, néanmoins, aussi) sont appelées « coordonnées ». Par exemple : Truc tend la main et Bidule la lui serre.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
Il existe différents types de propositions subordonnées : les subordonnées relatives, les subordonnées complétives et les subordonnées circonstancielles.
Reconnaître les propositions dans la phrase
Une proposition, c'est une phrase ou une partie d'une phrase qui comporte un verbe conjugué. Dans la phrase, « Samia sort pour voir Louis ». Il y a un seul verbe conjugué ici « sort », donc une seule proposition, c'est celle-là. Un verbe conjugué donc une proposition.
La phrase simple est une proposition indépendante, c'est-à-dire une proposition qui ne dépend d'aucune autre proposition, et dont aucune autre proposition ne dépend. Elle se suffit à elle-même tant sur le plan du sens que de la structure : L'enfant lit un livre.
De ce fait, les Propositions Indépendantes n'ont pas de Fonctions puisqu'elles ne dépendent d'aucune autre Proposition. On peut la considérer comme une Proposition Principale sans ou en attente d'une Subordonnée. La Proposition Indépendante se suffit à elle-même et ne dépend d'aucune autre Proposition.
C'est une proposition qui est dépendante : ce n'est pas la proposition principale. Par exemple, « Les Bons Profs vous aident si vous en avez besoin ». La proposition subordonnée circonstancielle commence au mot introducteur « si » et se termine à la fin de la phrase.
Quand deux propositions sont reliées par un signe de ponctuation, elles sont juxtaposées. Quand elles sont reliées par un mot coordonnant, elles sont coordonnées.
Une proposition est dite elliptique lorsque le verbe n'est pas exprimé. Les mots omis par ellipse doivent parfois être rétablis pour mener à bien l'analyse de la phrase. La proposition elliptique peut être une indépendante ou une principale. Merci pour le café.
1. La juxtaposition : Quand deux propositions sont juxtaposées, elles sont liées par un signe de ponctuation : une virgule, un point-virgule ou deux points.
Quand deux propositions (ou phrases) sont juxtaposées, elles sont liées avec un signe de ponctuation : une virgule, un point-virgule ou deux points.
Dans une proposition subordonnée relative, « que » est un pronom relatif et peut être remplacé par un nom. Il fait partie du groupe nominal. Dans une proposition subordonnée conjonctive, « que » est une conjonction de subordination et ne peut pas être remplacé. Il fait partie du groupe verbal.
Une proposition subordonnée interrogative indirecte dépend d'un verbe impliquant une question. Je ne sais pas [où est le chat]. Je me demande [s'il ne s'est pas réfugié chez les voisins]. Elle est COD de ce verbe.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination. Invariables, elles font partie des coordonnants et ont pour fonction d'unir deux éléments de même fonction syntaxique (c'est-à-dire ayant le même rôle dans la phrase).
Deux propositions indépendantes peuvent être coordonnées, c'est à dire qu'elles sont reliées par une conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car). Exemple : Le gâteau de Fiona est délicieux et ses invités sont contents.
indépendant, indépendante
Qui n'est en aucune façon lié à autre chose, qui est sans rapport avec autre chose : Ces deux phénomènes sont indépendants (l'un de l'autre).
Définition. La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
Une phrase simple ne comporte qu'un seul verbe conjugué, donc une seule proposition. Exemple : Je vous prie de m'excuser. Une phrase complexe comporte plusieurs verbes conjugués, donc plusieurs propositions.