La mentalité : les Bretons sont authentiques et accueillants
Modestes, discrets, pudiques, fidèles, honnêtes, légalistes… La réputation des Bretons leur colle à la peau. Elle dessine une façon de faire société qui semble rassurante, aux yeux des habitants mais également des néo-arrivants.
Ils sont généreux et donnent ce qu'ils ont. Toujours partants pour faire la fête, ils ouvrent toutes grandes leurs portes. Les Bretons sont chaleureux, mais pas au premier abord, il faut gagner leur confiance et lorsque celle-ci est acquise alors… Ils sont fiers de leurs terres et heureux de partager leur culture.
Forme de nom commun. Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants.
L'idée qu'en Bretagne la femme aurait bénéficié d'une représentation positive et exercé une réelle autorité est répandue sans qu'un besoin de vérification se soit imposé. On admet volontiers que la femme bretonne est puissante, qu'elle occupe une place éminente dans la société.
Ce dysfonctionnement est provoqué par une anomalie génétique dont l'origine est plus vieille que Jésus Christ. Ce sont les Celtes, en effet, qui l'ont développée les premiers face à la carence de leur nourriture en fer, sel minéral indispensable à la bonne santé.
Pourquoi les Bretons sont têtus ? Ils ont surtout cette réputation-là parce qu'ils se sont beaucoup révoltés au cours de l'Histoire. Et pour ça, on ne peut pas les blâmer. Après, il faut avouer que vivre constamment sous la pluie, ça donne un sale caractère.
Dans les années 1950, la Bretagne est ainsi la région où le taux de mortalité par alcoolisme est le plus fort en France. « On fabriquait alors beaucoup d'alcools comme l'eau-de-vie ou le cidre dans la région et toute la production était bue sur place », indique Thierry Fillaut.
A savoir le ar breton correspond à la particule française le ; de plus certains suffixes sont propres à la Bretagne et permet de repérer les noms made in breizh comme -ec, -ic, -ou, -an, -en, -egan, -egen, -ès, -ez.
Cette région, connue pour son drapeau et ses crêpes, serait selon les dires, particulièrement touchée par des luxations congénitales de la hanche. Pour les plus médisants, cette pathologie régionale serait principalement due à la consanguinité.
Les Bretons sont un peuple originaire de Bretagne, une région située dans le nord-ouest de la France métropolitaine, sous l'autorité de ducs jusqu'au XVI e siècle.
Ne croyez pas que Vikings, Celtes et Bretons soient des entités différentes. Bien au contraire, ils ont une origine commune qui est d'ailleurs inscrite profondément dans le patrimoine et la géographie de la France actuelle. : Indo-Aryenne, elle-même fille d'une branche plus lointaine.
Avides de justice et de paix, les bretons se sont battus pour sauvegarder leur culture et leur amour pour le travail. Leur fierté, souvent apparentée au nationalisme ou au racisme, ne leur empêche pas d'être ouverts au monde et d'accepter les différences des autres.
Entre 1830 et 1850, parler breton était non seulement interdit, mais aussi puni. Le conférencier a abordé une loi non écrite, laissée à l'appréciation des instituteurs qui a perduré pendant 130 ans en Bretagne. Le climat scolaire était délétère. La carotte, mais surtout, le bâton, était une pratique coercitive.
Le lange câlin se présente comme une « couche » en forme de H sans bretelles, en tissu lavable. Pour la pose, il faut étendre le lange ouvert en H sur la table à langer et placer le bébé sur le dos sur le lange, veiller à ce que les fesses se trouvent sur la partie supérieure de la bande centrale verticale.
Le 4 août 1532, les délégués des états de Bretagne acceptent l'union de la Bretagne au royaume de France.
La coiffe bigoudène est une coiffe vestimentaire de cérémonie, qui était portée par les femmes du Pays bigouden en Bretagne. Cette coiffe est caractérisée par sa haute taille (une trentaine de centimètres, jusqu'à 40 cm à Penmarc'h) et est devenue un symbole de la Bretagne.
Ils sont bons vivants
Si les Bretons sont si cool, c'est parce qu'ils savent profiter de la vie ! Et la vie, ils la célèbrent dans l'assiette ! On ne connaît que trop bien le kouign-amann, le fameux « gâteau au beurre », qui redonne vie à quiconque le goûte.
Dans la région de Quimper, on parle des femmes « borledenn » et des hommes « glazig », car les premières portent des coiffes au large bord, et les seconds sont vêtus de vestes bleues (« glaz », en breton). D'autre part, le costume féminin reste en vigueur plus longtemps que le costume masculin.
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
Pokoù signifie « bisous » en breton mais il existe plusieurs variantes : Pokigoù : Des bisous ! Pokoù bras : Gros bisous ! Ur pokig bras : Un grand bisou !
L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).