De bonnes calories pour de bonnes performances
Pour ceux et celles qui font attention à leur ligne, le saumon est également une option tout à fait intéressante d'un point de vue diététique. En effet, 100 g de saumon cru contiennent environ 180 calories soit environ 156 calories pour 100 g de saumon cuit.
Les avantages nutritionnels du poisson cru
renferment également des acides gras oméga-3 participant à la prévention des maladies cardiovasculaires. Tous ces éléments nutritionnels sont présents dans un poisson cru, mais peuvent être détruits lors de la cuisson du poisson.
Le saumon frais contient de nombreux acides gras oméga 3* bons pour la santé et ravit les papilles. Ce tartare de saumon léger en est la preuve ultime et il suffit de 10 minutes seulement pour le préparer ! Le saumon frais contient de nombreux acides gras oméga 3 bons pour la santé et ravit les papilles.
Faire mariner le poisson dans un liquide acide, comme du jus de citron par exemple permet de le cuire sans chaleur. Ainsi, les principales bactéries sont détruites. On peut aussi utiliser du gros sel, comme dans la recette du saumon gravlax.
Mieux vaut privilégier le saumon sauvage d'Alaska, où la mer est moins polluée, ou mieux encore, le saumon sauvage de l'Adour. Un véritable produit d'exception, selon Jonathan Goube, MOF poissonnier.
Le saumon, le bar, le thon et la daurade sont particulièrement adaptés à une consommation crue.
Le saumon d'Alaska est celui qui s'en sort le mieux car la mer est moins polluée. C'est donc celui qui permet de bénéficier des bienfaits du saumon sauvage en limitant les méfaits liés à la contamination des océans.
Une portion de 120 à 130 g de poisson (pesé cru) est suffisante. Cela correspond à peu près à la taille d'une main ou d'un quart d'assiette.
La congélation…
D'une façon générale, les poissons sauvages sont susceptibles de porter des parasites, comme le ver anisakis par exemple. Par précaution, il vaut mieux les congeler avant de les consommer cru, au minimum 24h à -20°C.
Du saumon fumé contaminé à la listeria rappelé en magasin
Le mercredi 5 octobre 2022, le site Rappel Conso a émis un rappel de produit concernant des tranches de saumon fumé sous vide. Comme indiqué sur le site du Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, ce produit de la mer ne doit en aucun cas être consommé.
L'AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments) donne des recommandations vis-à-vis de la consommation du poisson : pas de poissons crus ou fumés pour les femmes enceintes et pour les enfants de moins de 30 mois. Le saumon devra être consommé cuit, et à partir de 9 mois pour bébé.
Gravlax de saumon : quelle origine ? Le gravlax trouve son origine en Suède. Il s'agit d'une spécialité de saumon cru mariné dans du sel, du sucre et des herbes, et consommé dans toute la Scandinavie.
"Une portion de saumon par semaine est intéressante parce que c'est une excellente source d'omégas 3 et de protéines. Pour autant, ce poisson accumulant aussi des métaux lourds et des polluants, il faut être vigilant sur sa provenance" insiste-t-elle.
La qualité essentielle du saumon
S'y ajoute le Manganèse, zinc, fer. Enfin, les protéines de la chair du saumon sont d'excellente qualité biologique, apportant les 8 acides aminés essentiels.
Saumon : 1 saumon sauvage (brut) de 2 kg pour 8 personnes, soit 1 portion de 250 à 300 g /personne.
Pour les premiers, attention à ne pas choisir n'importe lequel. Il vaut mieux privilégier les petits poissons type sardines, maquereaux, harengs. On peut sans problème les consommer tous les jours car outre une teneur en protéines, ils sont riches en omega 3, excellent pour le cœur. Attention au saumon et au thon.
Les produits de la mer représentent une excellente source de protéines de haute qualité. La grande majorité de ceux-ci sont pauvres en gras et peu caloriques. Les poissons les plus gras comme le saumon, la truite, le maquereau, le hareng et la sardine contiennent de 8 à 10 % de matières grasses.
Le saumon cru a d'abord une saveur suave, puis un goût puissant et profond, qui reste en bouche. C'est à la fois subtil et intense. Il ne faut pas masquer cette saveur par trop d'herbes ou d'épices.
Et nous aussi ! On vous déconseille alors fortement de consommer du saumon de Norvège. Si vous souhaitez le prendre au supermarché, il faut aller vers du saumon d'Alaska. Il est automatiquement sauvage et la mer est moins polluée que les autres eaux.
Si le saumon sauvage (de la mer Baltique) est beige-pâle car il se nourrit de harengs, le saumon d'élevage (Écosse ou Norvège) tire plutôt vers le rose-orange. Les tranches doivent être striées de petites lignes blanches mais pas épaisses, car cela indiquerait un poisson trop gras.
Les poissons et les mollusques et crustacés qui contiennent des concentrations plus élevées de ces acides gras tout en présentant une faible concentration de mercure sont les suivants : anchois, capelan, omble, merlu, hareng, maquereau, meunier noir, goberge, saumon, éperlan, truite arc-en-ciel, corégone, crabe, ...
L'espadon. D'un point de vue général, il est recommandé d'éviter les poissons prédateurs. En effet, ces gros spécimens sont souvent riches en mercure parce qu'ils consomment eux-mêmes d'autres petits poissons contaminés au mercure. C'est le cas de l'espadon dont la chair peut rappeler celle du thon.
Les poissons gras, comme le saumon, le maquereau et le hareng, sont riches en oméga-3 et vous aident à vous protéger contre les maladies cardio-vasculaires.
Les poissons gras, riches en bonnes graisses, comme le thon, le maquereau ou encore le saumon, sont les poissons les plus riches en protéines. Le saumon est très riche en protéines, ainsi qu'en Oméga-3, des acides gras essentiels au bon fonctionnement de l'organisme.