Poser une question ouverte permet de valoriser le répondant car on lui demande de détailler son avis. De plus, cela permet de casser la monotonie du questionnaire et ainsi de dynamiser sa passation. Ces questions ouvertes sont engageantes pour le répondant car il lui permet de s'exprimer au-delà des questions fermées.
Les questions ouvertes servent à comprendre, à faciliter l'expression, à dialoguer, à échanger. Elles commencent par un adverbe (pourquoi, combien, comment, quand) ou un adjectif/pronom interrogatif (quel, quoi, qui) d'où le fameux QQOQCP (Quoi, Qui, Où, Quand, Combien voire comment, Pourquoi).
Une question fermée demande aux participants d'effectuer un ou plusieurs choix parmi des réponses prédéfinies, tandis qu'une question ouverte demande aux participants de donner leur réponse dans leur propres termes.
Les questions ouvertes. La question ouverte est une question à laquelle votre interlocuteur ne peut pas répondre par “oui” ou “non”. Elle porte sur une partie de la phrase et sert à obtenir une information nouvelle, une information spécifique. Elle demande donc une réponse plus détaillée que la question fermée.
contre-question — Wiktionnaire.
S'agissant plus particulièrement des questions ouvertes, vous pouvez spécifier dans les précisions le type de réponse attendue, pour aider les répondants : une ou deux phrases ou juste des mots-clés ou encore un nombre de caractères conseillé, par exemple.
Il existe 5 grands types de questions : fermées, ouvertes, directives, de rappel ou de réflexion, et rhétoriques. Les questions fermées sont souvent simples. Le plus souvent, il suffit de répondre par oui ou par non selon la question.
Une question semi-ouverte se construit au départ comme une question fermée, c'est-à-dire avec proposition de réponses, mais une des réponses proposées est la réponse « autre » et afin de pouvoir savoir ce qui se cache derrière le « autre » il est demandé à l'enquêté de préciser sa réponse.
La forme de la question fermée facilite l'expression de la réponse par l'interviewé (par rapport à une question ouverte). Cela permet de rendre le questionnaire plus court pour le répondant, et limite l'effort à faire.
On utilise les questions fermées lorsqu'on souhaite collecter et analyser simplement les données. En effet, comme les choix de réponses correspondent à des cases à cocher, un logiciel de questionnaire en ligne va traiter automatiquement les résultats. L'utilisateur n'a pas besoin de produire lui-même des statistiques.
Pourquoi poser une question? Pour amener la personne à trouver ses propres réponses, parce que justement, elle est l'expert de son travail et de son domaine, elle connaît ses outils et elle sait ce qu'elle est prête à déployer. Il n'y a rien d'aussi puissant et incarné que les réponses que nous trouvons nous-même.
L'avantage de ce type d'observations est de pouvoir apporter un questionnement qui peut délivrer des informations supplémentaires. En revanche, en intervenant, ou en étant visible, l'observateur peut modifier le comportement de la personne observée.
Contrairement à l'interview, le questionnaire ne permet pas au vérificateur de clarifier certaines questions, de s'assurer qu'il comprend bien les réponses, de demander des éclaircissements ou des explications sur des réponses, ou encore de s'assurer que le répondant répond à toutes les questions du formulaire.
Questions fermées
Voici quelques exemples de questions fermées : « Pendant combien d'années avez-vous travaillé pour votre dernier employeur ? » « Avez-vous déjà travaillé dans un autre secteur ? » « Combien de temps maximum avez-vous passé dans une même entreprise ? »
La question O est une question neutre, dans le sens où elle ne reflète pas les pensées ou les croyances de celui qui l'émet. Elle invite l'interlocuteur à fournir de l'information, à développer son point de vue.
On parle de « question fermée » ou « question totale » pour les questions appelant une réponse de type oui/non (→ Réponse à une question, Oui-si-non). Pour formuler une question fermée en français, on peut agir soit sur la construction de la phrase, soit sur l'intonation (ou la ponctuation à l'écrit).
Contrairement à une question portant sur vos connaissances, vous ne serez pas seulement évalué sur le fait de savoir ou ne pas savoir, mais aussi sur vos habiletés d'analyse, de communication et sur votre manière de gérer la pression.
Elle commence toujours par un mot interrogatif : comment, qui, que, combien, où, quand, pourquoi. En posant une question ouverte, nous allons faire réfléchir notre interlocuteur et nous allons obtenir de sa part une réponse développée avec potentiellement beaucoup d'informations.
En linguistique, l'interrogation est un acte de langage par laquelle l'émetteur d'un énoncé adresse au destinataire (réel ou fictif) de celui-ci une demande d'information portant sur son contenu. Une phrase interrogative est couramment appelée « question ».
Les questions de suivi et relances sont posées au milieu de l'entretien pour approfondir un sujet que la personne vient de mentionner. Mais elles peuvent aussi être posées à la fin pour revenir sur un sujet précis.
Définition "questionneur"
Personne qui aime poser des questions.
Aucun malaise, pas de confusion, au contraire : la question permet au public d'apporter une réponse et de l'engager. Prenons l'interrogation suivante comme exemple de question rhétorique : "N'avez-vous donc aucun cœur ?" Question rhétorique par excellence, la réponse étant connue d'avance.
En linguistique moderne (pragmatique), on appelle question rhétorique une question qui attend une réponse dichotomique : soit oui soit non, par opposition aux questions indirectes, qui attendent une réponse construite comme dans « Avez-vous l'heure ? ». L'interlocuteur ne répondra pas oui mais donnera l'heure.