Les matériaux plastiques, enveloppes de substrats et paillages du sol sont à l'origine chaque année de 1,5 t/ha de déchets. Le principal problème reste celui de la surconsommation en eau et de la pollution qui en découle. En effet, la quantité de solution nutritive apportée à la culture est supérieure à ses besoins.
La culture hors sol représente aussi l'hydroponie ou culture hydroponique. C'est une culture dont les racines des plantes reposent dans un milieu reconstitué, détaché du sol. Le substrat, minéral ou organique, est neutre et inerte comme du sable, de l'argile ou de la laine de roche par exemple.
L'agriculture hors sol ou culture hydroponique, est la culture de plantes réalisée sur substrat neutre et inerte (ex: fibre de coco, billes d'argile, laine de roche etc). Le substrat est régulièrement irrigué d'un courant de solution qui apporte les sels minéraux et nutriments essentiels à la plante.
- La culture donne un accès à l'expérience des ancêtres et à leurs créations. - Nécessaire à la reconnaissance, elle permet de s'identifier, d'être accepté. - Les difficultés viennent des contradictions de valeurs, ou des interprétations erronées de comportement.
L'engrais hydroponique est un fertilisant utilisé pour la culture hors-sol et sans terre. C'est un additif à un substrat inerte. Ce substrat peut être composé de billes d'argile, de fibres de coco ou de laine de roche.
La majorité des plantes vertes d'intérieur sont cultivables sans terre : anthurium, dracaena, dieffenbachia, ficus, lierre, philodendron, schefflera, yuca… Cette liste est loin d'être exhaustive. Pensez aussi aux herbes aromatiques, qui poussent très bien dans l'eau.
- La culture se substitue à la programmation instinctuelle et permet ne évolution rapide, mais n'étant pas transmissible génétiquement, elle implique une vulnérabilité à la naissance et une dépendance plus longue, elle a fait de l'homme un être curieux non spécialisé.
Le principal inconvénient de la serre de jardin est son coût qui prend en compte les coûts de construction ainsi que les charges d'exploitation courantes comme l'éclairage, l'eau et la chaleur supplémentaire. D'autant plus qu'une serre bas de gamme est fortement déconseillée.
Mode de culture distinct
La culture en serre, aussi appelée serriculture, consiste à faire pousser des végétaux à l'intérieur de constructions de verre ou de plastique, dotées d'un système d'irrigation, de chauffage et de ventilation.
Les cultures de tomates hors-sol sont installées sur des rangées recouvertes de laine de rochelaine de roche. Leur développement est entièrement programmé, avec notamment une alimentation, totalement artificielle, par un mélange d'eau et d'engrais.
La fibre de coco apporte au substrat une bonne aération ainsi qu'une bonne rétention d'eau et de nutriments permettant ainsi aux racines de respirer et d'absorber l'humidité dont elles ont besoin. La fibre de coco est disponible sous différentes formes : pain, brique, bloc, cube, vrac...
L'idéal en hydroponie consiste à irriguer le substrat avec de l'eau pure (osmosée, distillée, ou de l'eau de pluie) à laquelle on a ajouté de la solution nutritive. En effet, c'est ainsi que les plantes reçoivent exactement ce dont elles besoin.
Les fermes hydroponiques exploitent les cycles des éléments minéraux essentiels comme l'azote et le phosphore. L'hydroculture apporte tous les nutriments avec un courant d'eau peu profond. L'hydroculture est un système en boucle fermée.
Les légumes-feuilles comme les laitues, les épinards, l'oseille, les cardons et toutes les plantes aromatiques à feuilles telles que le persil, le cerfeuil, le basilic, la ciboulette. Les légumes-fleurs comme les brocolis, les choux-fleurs, les artichauts mais aussi les œillets d'inde, les bégonias, la bourrache.
La culture offre également le moyen d'exprimer sa créativité, de se forger une identité propre et de renforcer ou de préserver le sentiment d'appartenance à la communauté. Les expériences culturelles offrent des occasions de loisirs, de divertissement, d'apprentissage et de partage d'expériences avec d'autres.
A la fois tristesse devant le constat qu'une culture peut avoir atteint ses limites (décadence, affaiblissement, perte de sa puissance…) et crainte devant le caractère illimité d'une culture (dans un système politique qui se veut total, dans une puissance technique qui rend tout possible et donc qui ne laisse rien ...
Vivre au contact de la diversité, de la différence, me permet de me sentir en sécurité face à mes propres différences. Si je vis dans une société qui accepte la différence, alors je me sens plus libre d'exprimer ma propre singularité.