la lecture à voix haute. la compréhension de l'écrit. la compréhension orale. la richesse du vocabulaire.
En fin de cycle, l'enfant doit être capable de : Comprendre et utiliser des nombres entiers pour dénombrer, ordonner, repérer, comparer. Nommer, lire, écrire, représenter des nombres entiers. Résoudre des problèmes en utilisant des nombres entiers et le calcul.
Ce que sait faire l'élève
Savoir décoder et comprendre un texte. - Après préparation, il lit un texte adapté à son niveau de lecture avec fluidité. Identifier les marques de ponctuation et les prendre en compte. - Il lit des textes (récits, documentaires, textes prescriptifs, etc.)
En français, le programme de CE1 est le prolongement logique de celui du CP. Il implique la maîtrise progressive d'une lecture fluide de textes variés, d'une écriture lisible et compréhensible, de formulations orales claires et des bases de la grammaire, de l'orthographe et du lexique.
Un élève de fin CP/CE1 en lit en moyenne 57 Une lecture fluide : 80 mots à la minute. essentielle pour faire progresser les élèves qui maîtrisent le décodage, mais qui restent lents en lecture de textes.
Les CE1 ont besoin de reprendre tous les gestes, ils ont donc 2 séances d'écriture par semaine: -entrainement collectif (gestes en l'air, ardoise ) puis sur une fiche donnée le lundi à faire en autonomie avant le vendredi -sur le cahier du jour le vendredi + tautogramme de la lettre étudiée…
En CE1: La fluence continue de faire l'objet d'un travail très régulier. fluidité et l'aisance. Le travail de lecture, à voix haute et silencieuse, se poursuit tout au long de l'école élémentaire afin que les élèves lisent avec assez d'aisance pour poursuivre leur scolarité au collège.
Il a commencé à apprendre en CE1 les tables de 1 à 5. Les tables de 7 et 8 sont des tables particulièrement difficiles. Il est tout à fait normal que trouver un résultat de mémoire ne soit pas encore rapide et automatique.
L'année de CM1 peut paraitre comme étant l'année la plus difficile pour les élèves du primaire.
Le cycle 2, ou cycle des apprentissages fondamentaux, comprend le cours préparatoire (CP), le cours élémentaire première année (CE1) et le cours élémentaire deuxième année (CE2).
Le programme de CE1 en Français
3) Conjugaison : en CE1, l'élève commence à apprendre à conjuguer les verbes en « er » du 1er groupe. Les auxiliaires « avoir » et « être » doivent être maîtrisés, de même que les verbes irréguliers au présent de l'indicatif tels que : aller, faire, venir et dire.
-Le présent de l'indicatif est le temps privilégié du discours : Il sert principalement à traduire les faits constatés au moment on l'on s'exprime, aussi bien à l'oral qu'à l'écrit ; il s'agit dans ce cas d'un présent d'actualité (ou présent d'énonciation). Ex. : Nous sommes en classe.
Les évaluations nationales offrent donc toutes les garanties de protection des données personnelles des élèves. Ces évaluations permettent aux professeurs et aux familles de connaître en début d'année les forces et les faiblesses de chaque élève afin de mieux les aider.
Langage oral
Compréhension orale GS/CP (Ou + pour les élèves en difficulté) La Cigale : On trouve cette évaluation dans leur outil de compréhension et en téléchargement gratuit sur leur site. Il permet de faire des groupes d'enfants à risque, ou non. On trouve d'autres tests intéressants (Vocabulaire, phono...)
Pour faire une description au passé, on utilise l'imparfait.
En vous connectant à l'adresse https://reperes.cp-ce1.fr/, vous arrivez sur la page d'accueil du portail. Il vous suffit de renseigner les identifiant et mot de passe transmis par votre directrice ou directeur, afin d'accéder à l'étape suivante. Une fois connecté(e), il faut cliquer sur la classe concernée.
Il faut partager son temps entre les différents niveaux. Il est conseillé de répartir sa présence avec chaque cours en « escalier ». Exemple en GS/CP/CE1, commencer par les GS, puis aller avec les CP et terminer avec les CE1, puis recommencer avec les GS etc.
Cela va stimuler leurs capacités d'adaptation. Cela va également inciter les élèves à plus de coopération, quand par exemple l'enseignant est occupé avec un autre groupe. Les frontières par tranche d'âge sont elles-aussi plus nuancées.
En général, le double niveau est choisi quand la structure de l'école (nombre d'élèves et d'enseignants) ne permet pas de maintenir une classe par niveau. C'est souvent le cas dans les petites communes. La création de ce type de classe peut aussi relever d'un choix pédagogique.
Il est possible d'apprendre les tables de multiplication avec des flashs cards. Ces fiches cartonnées posent une question au recto et donnent la réponse au verso. L'enfant peut alors s'autocorriger. Cette méthode peut permettre à certains enfants de mémoriser plus facilement les tables de multiplication.
La division est au programme de la classe de CM1 avec une marge pour que les écoliers apprennent parfaitement la dernière grande opération mathématique qui est enseignée à l'école primaire.
Par exemple, pour 9×3, on met les mains devant soi paume face à soi et on baisse le 3ème doigt de la main gauche. A gauche du doigt baissé, c'est le chiffre des dizaines (2 doigts levés -> 2 dizaines) et à droite du doigt baissé, c'est le chiffre des unités (7 doigts baissés -> 7 unités). Le résultat de 9×3 est 27.
Un texte est une suite de phrases (qui commencent par des majuscules et finissent par des points). Les phrases sont toujours écrites dans un ordre précis. Au début, on trouve généralement un titre qui va indiquer de quoi on va parler.
Le principe est simple. Il vous suffit de choisir un texte court, entre 50 et 200 mots, et de le lire à voix haute, en suivant les mots avec votre doigt. Après votre lecture, n'hésitez pas à expliquer à votre enfant les mots qu'il ne connait pas ou qu'il n'a pas compris, ainsi que le sens du texte.
Il correspond à une moyenne relative à la durée de lecture : nombre de mots correctement lus ÷ durée de la lecture (en secondes) × 60. Le nombre de mots correctement lus est le nombre de mots contenus dans le texte diminué du nombre total d'erreurs (y compris les omissions, ajouts et substitutions).