Ils identifient trois types de stratégies : le coping centré sur le problème, qui vise à réduire les exigences de la situation ou à augmenter ses propres ressources pour mieux y faire face; le coping centré sur l'émotion, qui comprend les tentatives pour réguler les tensions émotionnelles induites par la situation; et ...
Une des étapes qui va suivre est de renouer avec ses émotions, les différencier, les nommer, les choisir et les évacuer. Les soins corporels et les plantes ayurvédiques sont des outils précieux dans cette appréhension de nos émotions, dans la manière on va les reconnaître, les accepter, les garder ou les faire fuir.
Aller courir, faire de la boxe ou une séance de fitness aide à gérer ses émotions et à se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. L'activité physique n'a que des bienfaits. Recommandée à tous, le sport est également bénéfique pour stabiliser l'humeur, lutter contre les états dépressifs et la baisse de moral.
Dans cet article nous vous proposons de commencer par un premier petit pas, celui de la compréhension de l'utilité des 4 émotions de base : la peur, la colère, la tristesse et la joie.
Pour cela, vous pouvez la verbaliser, effectuer des exercices de respiration ou de l'exercice physique pour évacuer. La sophrologie fonctionne aussi très bien en mêlant exercices de respiration ciblés pour évacuer les tensions et visualisations positives pour apaiser les émotions négatives.
Cette émotion peut être déclenchée par un événement « extérieur » (rencontre, dispute, bonne ou mauvaise nouvelle…) ou par une pensée, une image, un souvenir… La nature ne laissant rien au hasard, si les émotions existent, c'est qu'elles ont une utilité !
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
Relaxation et méditation peuvent également passer par le Taï-Chi, la sophrologie, le Qi Gong et beaucoup d'autres… Ces pratiques réduisent le niveau de stress et améliorent le contrôle de soi, une qualité bien utile pour bien vivre les émotions !
Il existe des conseils de bon sens : prendre conscience des émotions et les accepter, se donner du temps pour réfléchir à ce qui arrive et ne pas réagir dans l'immédiateté, respirer profondément et s'accorder un temps de relaxation, marcher ou pratiquer une activité physique…
Prendre conscience de la situation, ce qui ne veut pas dire admettre la situation mais constater que notre corps dit STOP pour trouver des solutions. C'est une façon d'être transparent(e) avec soi-même. Un peu comme si on faisait le bilan de notre situation sur nos domaines de vie.
L'alexithymie consiste en « une inhabilité à pouvoir faire des connexions entre les émotions et les idées, les pensées, les fantasmes, qui en général les accompagnent ».
Lazarus et Folkman (1984) définissent le coping comme « l'ensemble des efforts cognitifs et comportementaux destinés à maîtriser, réduire ou tolérer les exigences internes ou externes qui menacent ou dépassent les ressources d'un individu ».
Lazarus et Folkman insistent sur le fait que « le stress psychologique est une relation particulière entre la personne et l'environnement qui est évaluée par la personne comme astreignante ou excédant ses ressources et menaçant son bien-être » (Lazarus et Folkman, 1984).
Difficultés pour communiquer ses sentiments
La première caractéristique de l'alexithymie réside dans la difficulté à pouvoir communiquer ses sentiments aux autres. L'alexithymique est incapable d'exprimer ses émotions verbalement.
L'aubépine permet de se calmer dans une situation stressante. Elle rééquilibre les mouvements du cœur, pour que le corps éprouve un réel bien-être même en situation de stress. La valériane est très efficace en cas de contractions musculaires dues à une situation d'angoisse.
La tristesse (You) est associée au Poumon. Les soucis (Si) sont associés à la Rate/Pancréas. La peur (Kong) est associée aux Reins.
Les émotions primaires (ou dites « de ba- se») peuvent être observées chez la plu- part des vertébrés. Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
Le système limbique fait figure du centre des émotions et de la mémoire. Le néocortex représente le centre des fonctions cognitives supérieures et concerne ainsi par exemple la stratégie, les raisonnements spatiaux et long terme, la perception, la pensée consciente ou encore le langage.
L'émotion est quelque chose de tellement fort qu'elle a tendance à nous submerger et nous faire perdre nos moyens. Elle est passagère. Le sentiment est la prise de conscience d'un état émotionnel.