Indiquez le montant des salaires des 25 derniers mois pour les salariés âgés de moins de 53 ans à la date de fin de contrat de travail et le montant des salaries des 37 derniers mois pour les salariés âgés de 53 ans et plus à la date de fin de contrat de travail.
Ce dont vous avez besoin pour compléter votre attestation
Les 37 derniers bulletins de salaire de votre salarié, son contrat de travail, son solde de tout compte, son numéro de sécurité sociale et sa date de naissance.
Il suffit de : cocher la case “attestation rectificative” se trouvant en haut à droite du formulaire d'attestation de salaire pour le paiement des indemnités journalières ; remplir uniquement les rubriques relatives à “l'employeur” et “l'assuré(e)” ainsi que les champs modifiés ; dater et signer l'attestation.
Cliquez sur « Connexion » puis « Employeur » pour accéder à la page d'authentification. Cliquez sur « Saisissez en ligne l'attestation destinée à Pôle emploi ». Si vous êtes un employeur public accédez directement, au service depuis la rubrique « Votre compte ».
À compter du 1er octobre 2021, le salaire de référence est le salaire brut que le salarié a perçu au cours d'une période de référence, de 24 ou 36 mois selon l'âge de l'intéressé. Il comprend tous les salaires pour lesquels il a cotisé à l'assurance chômage.
Lors de l'actualisation mensuelle :
Exemple : si vous avez reçu 250,30 € brut pour une première activité, 400,12 € brut pour une deuxième et 200,46 € en indemnités de congés payés, le salaire brut à faire figurer sera de 850 €.
Pour calculer son salaire de référence annuel, il faut additionner tous les salaires perçus au cours des douze derniers mois, y compris les treizièmes mois, les primes et les bonus. Il faut toujours se référer aux montants bruts. Une fois la somme totale déterminée, il suffit de la diviser par 12.
L'employeur ne peut se dispenser de la délivrance de l'Attestation Pôle Emploi sous prétexte qu'il estime que la rupture n'ouvrira pas droit aux allocations chômage.
IMPORTANT : cette attestation doit être remplie exclusivement par l'employeur ou son représentant ; l'exactitude des renseignements fournis engage sa responsabilité. Le salarié ne doit rien y écrire et doit la joindre à la demande d'allocations qu'il obtiendra lors de son inscription comme demandeur d'emploi.
Les salaires de référence :
Ils correspondent aux salaires bruts avant cotisations (salaires soumis aux cotisations légales, réglementaires, conventionnelles et à la CSG). La case « salaire rétabli » est à remplir si le salarié n'a pas travaillé trois mois consécutifs dans la société.
La personne inscrite à Pôle emploi doit impérativement déclarer l'arrêt de travail dans les 72 heures (sur Internet dans l'espace personnel, par téléphone ou en utilisant la borne Unidialog dans une agence Pôle emploi). Cette déclaration est, en plus, confirmée lors de l'actualisation mensuelle de situation.
Les congés sans solde, autorisés par l'employeur, font l'objet d'un rétablissement de salaire. Lorsque le contrat est de courte durée (contrat à l'heure ou à la journée) sans mensualisation, le salaire rétabli est le salaire prévu au contrat, hors, le cas échéant, des absences non autorisées.
Si l'attestation de salaire existe en version papier, il est aussi possible de la remplir en ligne, directement depuis un ordinateur, après l'avoir téléchargé sur le site internet Ameli.fr. Cette attestation à remplir en ligne est disponible dans la rubrique employeur/vos démarches/arrêt maladie.
Faux ! Il est possible de s'inscrire à Pôle emploi dès le lendemain de la fin de son contrat de travail. Pas besoin d'avoir tous les documents sous la main! Vous pouvez vous inscrire comme demandeur d'emploi dès la fin de votre contrat de travail.
Je soussigné(e) Monsieur (ou Madame) (précisez le nom), agissant en qualité de (précisez votre fonction) de (précisez le nom de l'entreprise), certifie que Monsieur (ou Madame ou Mademoiselle) (précisez le nom), demeurant (précisez l'adresse), est embauché(e) dans notre société, en qualité de (précisez), depuis le ( ...
Par contre, depuis quelques années, lorsque l'employeur remet l'attestation au salarié, il envoie aussi un exemplaire à Pôle emploi. C'est donc auprès de Pôle emploi qu'il est théoriquement possible de vérifier qu'une attestation existe, à condition de trouver le bon interlocuteur.
Lors de la rupture ou la fin d'un contrat de travail, l'employeur doit obligatoirement remettre au salarié un certificat de travail, un reçu pour solde de tout compte et une attestation Pôle emploi.
L'employeur remet l'attestation au salarié à la date de fin du contrat de travail. Par exemple, si le contrat de travail s'achève le 30 novembre, le certificat doit être remis au salarié à cette date.
1 an si le montant concerne la rupture du contrat ; 2 ans si cela concerne un litige entre le salarié et l'employeur intervenu pendant l'exécution du contrat de travail ; 3 ans pour tout ce qui relève des salaires.
L'employeur remet au salarié l'un des exemplaires du reçu pour solde de tout compte lors de la rupture du contrat de travail. Toutefois, en cas de dispense du préavis, l'employeur peut remettre le reçu le jour du départ physique du salarié de l'entreprise, sans attendre la fin du préavis.
Ainsi, l'attestation de travail peut être demandée de la part de l'employé afin de justifier son engagement auprès de la société en question et de bénéficier, par exemple, d'un prêt. Toutefois, le certificat de travail a une valeur juridique et il ne peut être remis qu'à la fin de contrat.
Pour pouvoir recevoir un complément allocation chômage, le total de votre nouveau salaire, en plus de votre complément d'allocation, ne devra pas dépasser le montant de votre salaire mensuel qui a servi de référence au calcul de vos droits.
L'indemnité de chômage partiel est prise en compte dans le montant du 13ème mois. Il faut donc prendre en compte les indemnités de chômage partiel que vous avez perçues dans le calcul de la prime de 13ème mois.
En cas d'arrêt maladie, de congé maternité ou de congé paternité, avant ou pendant votre période de chômage, vous ne perdez pas vos droits aux allocations chômage. Durant ces périodes, le versement de votre ARE cesse et est remplacé par des indemnités journalières de la Sécurité sociale.